En nommant un ancien argentier de Ould Aziz comme chef du nouveau gouvernement et un ancien premier ministre de Ould Aziz comme ministre secrétaire général de la présidence de la République, Ould Ghazouani fait du neuf avec du vieux alors que les Mauritaniens attendent un renouvellement de générations. .
Ce retour en force sur la scène politique de deux anciennes personnalités de l’ancien régime de Ould Aziz est considéré par les observateurs comme un nouveau signal d’une gouvernance clientéliste et tribale en déphasage avec les énormes défis qui attendent Ould Ghazouani.
Si le nouveau premier ministre est considéré compétent, il n’en demeure pas moins que ce n’est pas la bonne personne pour lutter contre la corruption, une des promesses du président mauritanien. Ould Diaye ne garantit pas le succés du deuxième quinquennat décisif pour le régime de Ould Ghazouani.
La nomination de Ould Mohamed Laghdaf au secrétariat général de la présidence confirme une gouvernance qui ne va pas dans le sens du renouvellement de génération. Les observateurs s’interrogent sur une deuxième mandature aux allures du déjà vu synonyme d’immobilisme.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Ce retour en force sur la scène politique de deux anciennes personnalités de l’ancien régime de Ould Aziz est considéré par les observateurs comme un nouveau signal d’une gouvernance clientéliste et tribale en déphasage avec les énormes défis qui attendent Ould Ghazouani.
Si le nouveau premier ministre est considéré compétent, il n’en demeure pas moins que ce n’est pas la bonne personne pour lutter contre la corruption, une des promesses du président mauritanien. Ould Diaye ne garantit pas le succés du deuxième quinquennat décisif pour le régime de Ould Ghazouani.
La nomination de Ould Mohamed Laghdaf au secrétariat général de la présidence confirme une gouvernance qui ne va pas dans le sens du renouvellement de génération. Les observateurs s’interrogent sur une deuxième mandature aux allures du déjà vu synonyme d’immobilisme.
Cherif Kane
Source : Kassataya