Des Journées nationales de concertation ou Etats généraux de la démocratie s'ouvrent ce samedi à Nouakchott avec la participation de 900 délégués, annonce-t-on de source officielle dans la capitale.
La rencontre, qui va durer dix jours, doit réunir les représentants des partis politiques ayant généralement soutenu le coup d'Etat militaire, c'est-à-dire, plusieurs dizaines de formations, les membres du parlement, dont la majorité soutient le putsch, les maires des communes, des représentants de la société civile, des leaders d'opinion, des notabilités traditionnelles et des personnalités religieuses.
Le Rassemblement des forces démocratiques (RFD), qui compte 16 députés à l'Assemblée nationale, et l'Alliance pour la justice et la démocratie/mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR) ont décidé de participer au forum en posant un certain nombre de conditions.
Par contre, le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), une alliance de 13 partis politiques, et des organisations de la société civile, membres du Forum national de défense des droits de l'homme (FONADH) et six centrales syndicales regroupées au sein de la Coordination des forces de défense de la démocratie (CFDD), boycottent la rencontre, exigeant le rétablissement du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi.
Le coup d'envoi du forum sera donné par le président du Haut Conseil d'Etat (HCE) et chef de l'Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, en présence des membres de la junte au pouvoir depuis le 6 août dernier, des membres du gouvernement, de hautes personnalités de l'Etat et d'invités étrangers.
Au programme des journées figurent, la détermination de la durée d'une transition et la fixation de mécanismes pour la tenue d'une élection présidentielle libre et transparente en 2009.
Ainsi, ces journées de concertation auront à débattre de tous les sujets: amendements constitutionnels, rôle du président de la République, rapports entre le président de la République et le parlement, rôle de l'armée dans une démocratie, éligibilité des militaires.
En Mauritanie, rappelle-t-on, une junte dirigée par le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a renversé le pouvoir de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le 6 août dernier.
Ce dernier, après avoir été retenu en résidence surveillée dans son village natal, vient de recouvrer la liberté, suite à la pression internationale exercée sur la junte.
PANA
La rencontre, qui va durer dix jours, doit réunir les représentants des partis politiques ayant généralement soutenu le coup d'Etat militaire, c'est-à-dire, plusieurs dizaines de formations, les membres du parlement, dont la majorité soutient le putsch, les maires des communes, des représentants de la société civile, des leaders d'opinion, des notabilités traditionnelles et des personnalités religieuses.
Le Rassemblement des forces démocratiques (RFD), qui compte 16 députés à l'Assemblée nationale, et l'Alliance pour la justice et la démocratie/mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR) ont décidé de participer au forum en posant un certain nombre de conditions.
Par contre, le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), une alliance de 13 partis politiques, et des organisations de la société civile, membres du Forum national de défense des droits de l'homme (FONADH) et six centrales syndicales regroupées au sein de la Coordination des forces de défense de la démocratie (CFDD), boycottent la rencontre, exigeant le rétablissement du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi.
Le coup d'envoi du forum sera donné par le président du Haut Conseil d'Etat (HCE) et chef de l'Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, en présence des membres de la junte au pouvoir depuis le 6 août dernier, des membres du gouvernement, de hautes personnalités de l'Etat et d'invités étrangers.
Au programme des journées figurent, la détermination de la durée d'une transition et la fixation de mécanismes pour la tenue d'une élection présidentielle libre et transparente en 2009.
Ainsi, ces journées de concertation auront à débattre de tous les sujets: amendements constitutionnels, rôle du président de la République, rapports entre le président de la République et le parlement, rôle de l'armée dans une démocratie, éligibilité des militaires.
En Mauritanie, rappelle-t-on, une junte dirigée par le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a renversé le pouvoir de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le 6 août dernier.
Ce dernier, après avoir été retenu en résidence surveillée dans son village natal, vient de recouvrer la liberté, suite à la pression internationale exercée sur la junte.
PANA