Les dirigeants de l'opposition ont décidé de participer à l'élection présidentielle du 18 juillet et de déposer les dossiers de leurs candidats aux dates fixées par le Conseil constitutionnel, a affirmé lundi à l'AFP un haut responsable de l'opposition.
Les dirigeants de l'opposition ont décidé de participer à l'élection présidentielle du 18 juillet et de déposer les dossiers de leurs candidats aux dates fixées par le Conseil constitutionnel, a affirmé lundi à l'AFP un haut responsable de l'opposition.
"Les dirigeants ont décidé de participer quels que soient leurs griefs contre la façon dont les décisions ont été prises" dimanche en conseil de ministre pour la convocation du collège électoral, a affirmé le député du front anti-putsch Khalil Ould Teyeb.
Le Conseil constitutionnel a validé dimanche la convocation du collège électoral pour le 18 juillet "conformément à l'accord cadre de Dakar et au décret du gouvernement".
"Notre candidat (du Front national pour la défense de la démocratie, FNDD) déposera son dossier de candidature ce (lundi) soir", a annoncé M. Ould Teyeb.
Dans les autres états-majors politiques de l'opposition, on affirme que l'opposant Ahmed Ould Daddah, leader du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), et le chef du parti islamiste Tewassoul, Jemil Ould Mansour, ont déposé dimanche soir leur dossier de candidature.
Cette décision de l'opposition met fin à une polémique née de la procédure, contestée par l'opposition, suivie par le gouvernement pour fixer le calendrier de l'élection du 18 juillet. Selon ce chronogramme, le délai de dépôt des dossiers de candidature s'achève mardi, 48 heures avant le lancement jeudi de la campagne présidentielle.
Ce scrutin doit permettre à la Mauritanie de régler la crise née du coup d'Etat militaire du 6 août contre le premier président démocratiquement élu du pays, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Le décret portant formation du gouvernement de transition, composé à parité de pro et anti-putsch, avait été signé vendredi soir par le président déchu Sidi Ould Cheikh Abdallahi, qui avait ensuite donné sa "démission volontaire".
Source: AFP
Les dirigeants de l'opposition ont décidé de participer à l'élection présidentielle du 18 juillet et de déposer les dossiers de leurs candidats aux dates fixées par le Conseil constitutionnel, a affirmé lundi à l'AFP un haut responsable de l'opposition.
"Les dirigeants ont décidé de participer quels que soient leurs griefs contre la façon dont les décisions ont été prises" dimanche en conseil de ministre pour la convocation du collège électoral, a affirmé le député du front anti-putsch Khalil Ould Teyeb.
Le Conseil constitutionnel a validé dimanche la convocation du collège électoral pour le 18 juillet "conformément à l'accord cadre de Dakar et au décret du gouvernement".
"Notre candidat (du Front national pour la défense de la démocratie, FNDD) déposera son dossier de candidature ce (lundi) soir", a annoncé M. Ould Teyeb.
Dans les autres états-majors politiques de l'opposition, on affirme que l'opposant Ahmed Ould Daddah, leader du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), et le chef du parti islamiste Tewassoul, Jemil Ould Mansour, ont déposé dimanche soir leur dossier de candidature.
Cette décision de l'opposition met fin à une polémique née de la procédure, contestée par l'opposition, suivie par le gouvernement pour fixer le calendrier de l'élection du 18 juillet. Selon ce chronogramme, le délai de dépôt des dossiers de candidature s'achève mardi, 48 heures avant le lancement jeudi de la campagne présidentielle.
Ce scrutin doit permettre à la Mauritanie de régler la crise née du coup d'Etat militaire du 6 août contre le premier président démocratiquement élu du pays, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Le décret portant formation du gouvernement de transition, composé à parité de pro et anti-putsch, avait été signé vendredi soir par le président déchu Sidi Ould Cheikh Abdallahi, qui avait ensuite donné sa "démission volontaire".
Source: AFP