Abdallahi Ould Chriv, Superviseur des Journées
Plus de 1000 invitations adressées à des personnalités d'influence, 26 pays conviés, des dizaines d'accréditations de presse nationale et internationale. Le Général limogé ne fait pas dans la demie-mesure.
Même si leurs résultats sont connus d'avance, même si les "rusés" qui veulent amener le Général à accepter de quitter le pouvoir en auront pour leurs frais, même s'il y a là une débauche de moyens et de temps qui auraient été mieux utilisés ailleurs, les "Journées de Concertations" sont intéressantes à observer. Nous avons décidé, à For-Mauritania, de vous concocter, tous les deux jours, un "bêtisier" de ce qui s'y dira de plus intéressant, les pépites et autres perles rares comme peuvent en produire ces grands rassemblements où les places sont chères et où il fait bon de se faire remarquer si possible par l'une des sommités étoilées
Pépite n°1:
Un intervenant, sans doute "de la Mauritanie profonde" comme le qualifierait le Président d'un grand parti de "l'Opposition démocratique", propose de profiter des "Journées" pour donner un statut légal à la "tribu", aux "Emirats" et autres "Chefferies" religieuses et traditionnelles. C'est, d'après lui, l'abandon de ces valeurs originelles qui fit la perte de la Mauritanie.
Pépite n° 2:
Sur les conditions d'éligibilité au poste de Président de la République, les idées fusent. Rehausser le montant de la caution. Exiger une résidence de 5 ans consécutifs en Mauritanie. Rehausser le nombre de signatures d'élus. Mais, la plus belle, faire "abouber" le candidat à la magistrature suprême par un collège de "Ouléma", comme en Iran...
Pépite N° 3
Dans certains ateliers, une forte animosité s'est développée à l'encotre de Monsieur Ahmed Ould Daddah et ses représentants. Cette animosité trouve ses porteurs parmi les chefs de la miryade de "partis" que la Junte a mobilisés pour faire du chiffre. Elle trouve son origine dans l'insistance dont fait preuve le "Chef-de-file-de-l'Opposition-démocratique" auprès de Ould Mohamed Legdaf, l'Ambassadeur déserteur, pour que ce dernier limite la discussion des questions "politiques" aux partis politiques représentés au Parlement ou ménés par une personnalité d'envergure... Ould Daddah continue à penser pouvoir "ruser" avec le Général-qui-a-risqué-sa-vie pour accéder au pouvoir!
For Mauritania
Même si leurs résultats sont connus d'avance, même si les "rusés" qui veulent amener le Général à accepter de quitter le pouvoir en auront pour leurs frais, même s'il y a là une débauche de moyens et de temps qui auraient été mieux utilisés ailleurs, les "Journées de Concertations" sont intéressantes à observer. Nous avons décidé, à For-Mauritania, de vous concocter, tous les deux jours, un "bêtisier" de ce qui s'y dira de plus intéressant, les pépites et autres perles rares comme peuvent en produire ces grands rassemblements où les places sont chères et où il fait bon de se faire remarquer si possible par l'une des sommités étoilées
Pépite n°1:
Un intervenant, sans doute "de la Mauritanie profonde" comme le qualifierait le Président d'un grand parti de "l'Opposition démocratique", propose de profiter des "Journées" pour donner un statut légal à la "tribu", aux "Emirats" et autres "Chefferies" religieuses et traditionnelles. C'est, d'après lui, l'abandon de ces valeurs originelles qui fit la perte de la Mauritanie.
Pépite n° 2:
Sur les conditions d'éligibilité au poste de Président de la République, les idées fusent. Rehausser le montant de la caution. Exiger une résidence de 5 ans consécutifs en Mauritanie. Rehausser le nombre de signatures d'élus. Mais, la plus belle, faire "abouber" le candidat à la magistrature suprême par un collège de "Ouléma", comme en Iran...
Pépite N° 3
Dans certains ateliers, une forte animosité s'est développée à l'encotre de Monsieur Ahmed Ould Daddah et ses représentants. Cette animosité trouve ses porteurs parmi les chefs de la miryade de "partis" que la Junte a mobilisés pour faire du chiffre. Elle trouve son origine dans l'insistance dont fait preuve le "Chef-de-file-de-l'Opposition-démocratique" auprès de Ould Mohamed Legdaf, l'Ambassadeur déserteur, pour que ce dernier limite la discussion des questions "politiques" aux partis politiques représentés au Parlement ou ménés par une personnalité d'envergure... Ould Daddah continue à penser pouvoir "ruser" avec le Général-qui-a-risqué-sa-vie pour accéder au pouvoir!
For Mauritania