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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

L'ex-tortionnaire en chef des Khmers rouges devant la justice (pour quand celui de Taya)


L'ex-tortionnaire en chef des Khmers rouges devant la justice (pour quand celui de Taya)
L'ex-tortionnaire en chef du régime des Khmers rouges a comparu mardi devant un tribunal cambodgien à participation internationale pour le premier procès tant attendu d'un responsable présumé d'atrocités commises il y a trente ans au nom d'une révolution communiste.

Kaing Guek Eav, 66 ans, plus connu sous le nom de «Douch», a participé à une audience préliminaire devant cette cour spéciale, parrainée par l'ONU, où il est accusé d'avoir dirigé avec zèle le principal centre de détention et de torture des Khmers rouges à Phnom Penh.

Quelque deux millions de personnes, soit environ un quart de la population cambodgienne, ont trouvé la mort sous le régime de Pol Pot qui a fait régner la terreur de 1975 à 1979.

«Cette première audience représente la réalisation d'efforts significatifs dans l'établissement d'un tribunal honnête et indépendant chargé de juger ceux qui occupaient des fonctions de direction» dans l'appareil d'Etat, a déclaré le juge Nil Nonn qui présidait la séance.


«Douch» commandait à l'époque la prison de Tuol Sleng, dont le nom de code était S-21, un centre d'interrogatoires établi dans un ancien lycée où plus de 15.000 personnes ont été torturées avant d'être tuées dans des «killing fields» voisins, dans le cadre de vastes purges ordonnées par l'équipe au pouvoir.

«Douch» est formellement accusé de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité, de tortures et de meurtres avec préméditation.

Selon son avocat François Roux, il a pris acte des accusations contre lui et entend utiliser les audiences pour demander publiquement pardon à ses victimes, ainsi qu'à tous les Cambodgiens.

«Douch voudrait que la porte reste ouverte, afin d'être un jour pardonné», a déclaré Me Roux à la presse. Il «essaiera d'expliquer certaines choses» mais «est-il possible d'expliquer ce qui est allé à l'encontre de l'humanité même», s'est demandé l'avocat.

L'accusé --un ancien professeur de mathématiques converti au christianisme dans les années 1990-- est arrivé au tribunal à bord d'un Land Cruiser blindé, aux vitres teintées.

Vêtu d'une chemise bleue, cet homme, maigre et petit de taille, s'est assis, le regard impassible et l'air maussade, dans le box des accusés installé sur une estrade derrière une immense baie vitrée pare-balles.

«C'est un jour très important pour moi», a déclaré à l'AFP Chum Mey, un des rares survivants de Tuol Sleng. «Je serai témoin (au procès). Je veux voir Douch et lui demander pourquoi il m'a emprisonné».

Arrêté en 1999 par les autorités cambodgiennes après avoir été démasqué par un journaliste, «Douch» est le premier ex-responsable Khmer rouge à avoir été transféré en 2007 vers le tribunal spécial de Phnom Penh. Il risque au maximum la réclusion à perpétuité, la Cour ayant exclu la peine de mort.

Quatre dirigeants au profil plus politique du régime de Pol Pot, lui-même décédé en 1998, seront jugés à des dates ultérieures. Ils sont âgés de 76 à 83 ans et de nombreux Cambodgiens redoutent qu'ils ne meurent avant leur procès.

Le tribunal s'est mis péniblement en place en 2006, après une décennie de tractations entre l'ONU et le gouvernement cambodgien de Hun Sen.

L'audience concernant «Douch», qui se poursuivra mercredi, est destinée à fixer certaines procédures, les débats au fond n'étant pas prévus avant la deuxième moitié de mars, selon des responsables de la Cour.

Le juge d'instruction français Marcel Lemonde a souligné que le procès des Khmers rouges fournissait l'occasion «non seulement de se prononcer sur des responsabilités individuelles, mais aussi d'organiser un débat public» sur cette page sombre de l'Histoire du XXe siècle.

Source: cyberpresse

Et son procès à ce meurtrier? Il est pour quand?
L'ex-tortionnaire en chef des Khmers rouges devant la justice (pour quand celui de Taya)
Mardi 17 Février 2009 - 17:25
Mardi 17 Février 2009 - 17:36
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1.Posté par XMANDIALLO le 17/02/2009 19:32
C'est une très bonne question, et qui doit être posée à nous les noirs.
Si nous voulons un jour voir Taya traduit devant la justice, il faudrait d'abord qu'on arrive à nous entendre, qu'on arrête de nous entretuer comme des enfants de 3 ans. Nos dirigeants devraient s'occuper de la plainte de Taya et ses alliés au lieu de chercher le retour de Sidi l'incapable. Nous n'avons rien à foutre à ces gens là qui ne cherchent que le fauteuil et qui nous méprisent. Réveillez vous il est trop tard et arrêtez de vous focaliser sur le retour constitutionnel qui ne vous reconnait pas.

2.Posté par Abdoul le 17/02/2009 19:37


Pour Quand celui de Taya et de ses tortionnaires bientôt.



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