L’atelier de restitution et de validation du processus d’intégration de l’environnement dans les politiques publiques du projet d’Articulation entre pauvreté et Environnement (APE), issue de l’initiative Pauvreté et Environnement PNUD-PNUE a ouvert ses rideaux le mercredi 10 février 2010 à l’hôtel Khaima, Nouakchott.
Un atelier de deux jours (10 au 11 février 2010) qui a vu la participation des ministères sectoriels, du secteur privé, de la société civile et des partenaires techniques et financiers. La journée du mercredi 10 février a commencé par la présentation des objectifs et du Programme de l’atelier.
Une occasion pour le coordonnateur du projet M Saleck de faire une présentation spécifique du projet aux différents participants.
Une cérémonie marquée par le retard accru des ministres, qui a permis au Coordonnateur du projet d’ouvrir les débats pour rappeler la genèse du projet qui selon lui résulte de la dégradation des ressources naturelles, malgré les efforts consentis.
Selon lui la non prise en compte de l’environnement et des services qu’il procure dans les politiques publiques constitue un frein à la croissance économique. Il a indiqué que la contribution de l’environnement au développement économique et social est bien souvent mal comprise et mal gérer.
Ensuite, il a rappelé aux participants l’objectif de la Mauritanie dans ce programme qui est dira t-il d’identifier et d’analyser les liens entre pauvreté et environnement, d’élaborer des instruments d’intégration des liens entre pauvreté et environnement, relever les défis par la mise en œuvré des recommandations et par le renforcement des capacités de gestion de l’environnement.
Plus loin, il a rappelé les approches méthodologiques du projet qui est d’améliorer le processus de gouvernance par la production d’indicateurs et par une évaluation des couts et bénéfices dans la gestion de l’environnement. Pour cela il indique que des évaluations environnementales stratégiques et intégrées des écosystèmes sont nécessaires.
Pour finir, il a parlé des principaux résultats attendus et ces différentes perspectives. La deuxième journée sera consacrée aux travaux de groupes sur les liens entre pauvreté et environnement, sur les outils et instruments d’intégration des liens entre pauvreté et environnement et sur les mécanismes de mobilisation des fonds pour l’intégration de l’environnement.
Dialtabé
Source: quotidiennouakchott VIA CRIDEM
Un atelier de deux jours (10 au 11 février 2010) qui a vu la participation des ministères sectoriels, du secteur privé, de la société civile et des partenaires techniques et financiers. La journée du mercredi 10 février a commencé par la présentation des objectifs et du Programme de l’atelier.
Une occasion pour le coordonnateur du projet M Saleck de faire une présentation spécifique du projet aux différents participants.
Une cérémonie marquée par le retard accru des ministres, qui a permis au Coordonnateur du projet d’ouvrir les débats pour rappeler la genèse du projet qui selon lui résulte de la dégradation des ressources naturelles, malgré les efforts consentis.
Selon lui la non prise en compte de l’environnement et des services qu’il procure dans les politiques publiques constitue un frein à la croissance économique. Il a indiqué que la contribution de l’environnement au développement économique et social est bien souvent mal comprise et mal gérer.
Ensuite, il a rappelé aux participants l’objectif de la Mauritanie dans ce programme qui est dira t-il d’identifier et d’analyser les liens entre pauvreté et environnement, d’élaborer des instruments d’intégration des liens entre pauvreté et environnement, relever les défis par la mise en œuvré des recommandations et par le renforcement des capacités de gestion de l’environnement.
Plus loin, il a rappelé les approches méthodologiques du projet qui est d’améliorer le processus de gouvernance par la production d’indicateurs et par une évaluation des couts et bénéfices dans la gestion de l’environnement. Pour cela il indique que des évaluations environnementales stratégiques et intégrées des écosystèmes sont nécessaires.
Pour finir, il a parlé des principaux résultats attendus et ces différentes perspectives. La deuxième journée sera consacrée aux travaux de groupes sur les liens entre pauvreté et environnement, sur les outils et instruments d’intégration des liens entre pauvreté et environnement et sur les mécanismes de mobilisation des fonds pour l’intégration de l’environnement.
Dialtabé
Source: quotidiennouakchott VIA CRIDEM