Le présent article revêtira exprès une allure aussi opaque et sibylline que les sujets qu’il se proposerait d’aborder et à cet effet l’attention et le sens du discernement du lecteur seraient constamment mis à contribution pour essayer de démêler avec moi l’écheveau des fils d’une trame qui, à bien des aspects, semblerait de fait n’être accessible qu’à quelques initiés.
Initiés dont je serais bien à mon corps défendant et par la force des choses.Par conséquent le ton aura été très tôt donné pour une plongée dans la partie la plus trouble et saumâtre des eaux de notre paysage politique où surnagent déjà toute une procession de «soutiens de la démocratie de la 25ème heure» tous plus insolites, sinistres voire inquiétants les uns que les autres.
Une jeune et émergente démocratie serait suffisamment fragile et perfectible à souhaits pour que ne viennent s’y agglutiner et s’y incruster d’autres hideux greffons et avatars qui risqueraient à coup sûr d'en saper les fondements encore chancelants mais résolument prometteurs aussi.
Et ce serait bien dans ce cadre et à ce titre que je m'autoriserais volontiers encore une fois, quelques mises en garde à l'adresse du tout nouveau président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz en tirant tout de go la sonnette d'alarme.Et cela, rien moins que pour dénoncer les graves et dangereuses menaces que constituent assurément pour notre démocratie en herbe les extrémistes à tous crins et autres aventuriers «turfistes» opportunistes de tous poils.
Comme tout nouveau-né à l'immunité encore imparfaite et délicate, la démocratie même «rectifiée» que le peuple s'est choisi en élisant démocratiquement et de suite 2 présidents, l'actuel Mr Ould Abdel Aziz et avant lui son prédécesseur et aîné l'ex président Mr Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, se doit d'être cultivée et entretenue dans le milieu le plus aseptisé possible, loin de tout contact avec les germes nocifs vecteurs de toutes sortes de pathologies fatales.
Et cela, dans le souci permanent d'éviter toute contamination éventuelle à défaut de vaccination possible à même d'immuniser contre ces affections malignes et insidieuses. Ne dit-on donc pas qu'il vaudrait mieux prévenir que guérir? Les porteurs de ces germes si infectieux, contagieux et nocifs pour la santé de notre démocratie naissante ne seraient rien moins que les mêmes qui auront été si létaux par le passé au point d'avoir provoqué la descente aux enfers et au final la déchéance d'un dictateur aussi surentraîné pourtant que Taya.
Dictateur à la chute duquel le président nouvellement élu Mr Mohamed Ould Abdel Aziz «n'aura pas été étranger». J'ai dû intentionnellement utiliser cette circonlocution juste pour ne pas donner l'air de parler comme les «Saffagas» style que je ne prise vraiment pas à la différence d'un certain «écrivain Bonapartiste» et plagiaire à ses heures perdues par moi confondu et bien d'autres encore que lui, soit dit en passant.Passons justement!Cela dit, il faudrait bien rendre à l'ex officier Ould Abdel Aziz ce qui est à Ould Abdel Aziz sans aller jusqu'à le comparer à César ou Bonaparte pour autant.Sans plus.
Tant qu'à faire, examinons donc le sujet plus en détails. D'une sommaire observation de cette «mélasse inqualifiable ou culture microbienne» autoproclamée «soutiens inconditionnels et indéfectibles de la démocratie (sic)» se détacheraient en gros, ipso facto et nettement deux catégories bien distinctes : *Celle des politicaillons sans envergure ni ancrage réels vraiment n’obeissant qu’aux lois du marché politique soit celles du meilleur offrant et aussi affriandables que mon marmot Ahmed âgé de 4 ans le serait avec des sucreries bon marché.Paradoxalement, ceux là seraient de loin et même de très loin les moins pernicieux, dangereux voire terrifiants.
Peccadilles et menu fretin que tout cela donc!Au diable vauvert le péché maudit par Satan même comparé à la seconde engeance crachant le feu comme les dragons mythiques ou le venin comme les crotales du «Wilde West» soit l'Ouest sauvage US, ci après.(Etfou bi endhemb elli essta'wedh minnou Ibliss!) *Nous y sommes, soit la catégorie des machiavéliques chevaux de retour jadis anathématisés même par Taya en raison de leur fanatisme, de leur rigide idéologie sectaire et obscurantiste assortie de surcroît de douteuses et extraverties allégeances.
Ces chevronnés de l’agit-prop et de l’intox au service d’idéaux glaçants et horrifiants de par leur étroitesse sont de loin et même de très loin les plus dangereux et nuisibles car bien structurés, financés et disciplinés, leur dogmatisme à toute épreuve aidant et faisant le reste. Ces parias politiques et idéologiques intolérants, d'un autre âge et passés de mode (sic) partout au monde seraient pourtant en passe de se refaire la main et de se soustraire au confinement prophylactique de mise déjà imposé même par Taya qui n'était pourtant pas un tendre en soi.
Pour ce faire, ils compteraient bien se faufiler au travers des inévitables et incontournables failles et interstices de notre nouvelle construction démocratique en projet ;la perfection n'étant pas encore de ce monde hélas.Pas moins que cela!Et compte tenu de leurs motivations intimes, il ne serait à craindre qu’ils ne soient déjà sur des charbons ardents tout impatients et enflammés qu’ils seraient de souffler au plus vite sur les brasier enfin éteint et apaisé au prix d’énormes efforts et renoncements consentis par notre peuple pour se réconcilier avec lui même.
En fait de re-souffler sur les foyers pour rallumer leur dévorante «fournaise» en passe de s’éteindre car ne s’accommodant pas de la démocratie que nous nous sommes choisis tout banalement. Exactement comme ils l’avaient déjà fait durant les années de braise avec Taya qui ne le leur a jamais pardonné du reste, avec à la clef les conséquences désastreuses nationales et de triste mémoire que l’on sait.
Cela dit, les responsabilités personnelles du dictateur Taya ne sont plus à prouver même s'il aurait agi quasiment sous hypnose totale pratiquée par ces prosélytes de l'exclusion sociale pour ne pas employer un mot plus trivial encore mais plus juste toutefois.Et d’ailleurs, on n’a toujours pas fini de casquer et de ressentir les effets des fixations de ces incorrigibles champions de l’exclusionnisme tous azimuts ;le syndrome des pro-ceci, pro-cela, des pro-tout-ce-qu’on-voudrait-bien sauf la Mauritanie risquerait bien de se refaire une nouvelle santé aux crochets de notre démocratie encore en devenir.
Cela étant, c’en serait vraiment à ce point à se demander aussi ce qu’il en serait bien au juste de l'apurement du passif humanitaire et du programme de retour et de réinsertion de nos déportés face à la réincarnation éventuelle des nazillons atteints de la «peste brune»?Deux problèmes qui auront bien fait partie et à juste titre de la charpente fondamentale du programme de l'ex candidat élu président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au vu donc des pesantes menaces qui précèdent et des convictions de l'homme, Ould Abdel Aziz que nous tiendrions volontiers pour cosmopolite et à cheval entre les cultures arabo-berbère et négro-mauritanienne pour y avoir baigné très tôt depuis sa tendre enfance déjà (y compris linguistiquement), l'on pourrait logiquement et optimistiquement conjecturer que le nouveau chef de l'Etat qu'il est devenu aura tôt fait de poursuivre et de systématiser la marginalisation de ces fanatiques dogmatiques et survoltés.Marginalisation qu'il aura déjà commencée dès sa campagne électorale en écartant justement et à raison les « nationalistes étroits » des deux bords de son staff électoral.
Ce qui est en soi bon signe. Tout comme il serait juste et d’à propos de stigmatiser l’existence dans certains pays de fous de Dieu religieux ou de fous doctrinaires extrémistes de tous acabits, il serait par analogie permis de sonner l'hallali chez nous pour dénoncer la montée en puissance de certaines forces obscurantistes qui n’auraient d’autres ambitions vraiment pour la Mauritanie que l’exclusion de segments entiers de nos populations.Pas moins que cela et le tout en s’accrochant telles des ventouses voire des sangsues aux basques de notre démocratie en empruntant des mimétismes et camouflages polychromes dignes des caméléons ou du prisme des couleurs.
Contrairement aux opportunistes impécunieux et cupides courant seulement derrière l’argent facile ou les fonctions grasses, ces ascètes de la barbarie et de l’exclusion sociale seraient capables de vivre carrément de haine gratuite et d’eau fraîche comme des amoureux vivraient d’amour et d’eau fraîche!D'amour du prochain, ils n'en ont jamais cure sinon ils n'auraient pas fait leur une telle satanique profession de foi comme d'autres entreraient en religion banalement.Voici leur seul sacerdoce!Encore qu’ils ne soient pas si désintéressés et détachés, l’argent ayant toujours été le nerf de toutes les guerres.
Et la leur (guerre) ne dérogerait point à cette règle belliqueuse et belliciste, presque leur « trademark » en fait. Par conséquent, je monterais volontiers au créneau pour stigmatiser le «Directoire du ténébreux Opus Dei» reprenant du poil de la bête. Et l'initié que je suis devenu serait à même d'affirmer sans ambages que l'Opus Dei exclusionniste commencerait déjà à sévir sur la scène politico-médiatique noyautée à grand renfort d’hommes de main surmotivés, cyniques, aguerris voire talentueux parfois.
Manifestement la bête immonde blessée à mort et qui était sur le point de rendre l’âme déjà sous la chape de plomb de la dictature Tayiste par « elle » abusée semblerait s’être refaite un nouveau karma politique dans un second cycle de vie porteur et annonciateur de tous les dangers comme aurait pu dire le Dalai Lama, ce moine supérieur boudhiste Tibétain. Ces quarantaineux pervers et d’un autre âge n’ont pas encore dit leur confiteor, par conséquent le ver est bel et bien dans le jeune et précoce fruit de la démocratie.
Le «ver ou enemy within ou der innere Feind» est bien à nos portes.Il s'agirait donc pour le président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement d'être plus que jamais vigilants et sur le qui-vive permanent pour anticiper et conjurer éventuellement les sombres desseins nourris par ces sectateurs de l'exclusionnisme au sein de notre Nation plurielle, une et indivisible.Une réalité tangible et pas une vue de l'esprit, hélas.Autant donc en emporteront vraiment le simoun et l’harmattan Sahariens bien de chez nous !
NB : *Karma = vie antérieure à la réincarnation selon le boudhisme. *«Dire son confiteor» = se confesser ou se repentir de ses péchés, pratique de mise uniquement dans la liturgie catholique et non pas protestante. *Opus Dei=Organisation secrète, mystique et affairiste chrétienne.
Khalil Balla Gueye
Initiés dont je serais bien à mon corps défendant et par la force des choses.Par conséquent le ton aura été très tôt donné pour une plongée dans la partie la plus trouble et saumâtre des eaux de notre paysage politique où surnagent déjà toute une procession de «soutiens de la démocratie de la 25ème heure» tous plus insolites, sinistres voire inquiétants les uns que les autres.
Une jeune et émergente démocratie serait suffisamment fragile et perfectible à souhaits pour que ne viennent s’y agglutiner et s’y incruster d’autres hideux greffons et avatars qui risqueraient à coup sûr d'en saper les fondements encore chancelants mais résolument prometteurs aussi.
Et ce serait bien dans ce cadre et à ce titre que je m'autoriserais volontiers encore une fois, quelques mises en garde à l'adresse du tout nouveau président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz en tirant tout de go la sonnette d'alarme.Et cela, rien moins que pour dénoncer les graves et dangereuses menaces que constituent assurément pour notre démocratie en herbe les extrémistes à tous crins et autres aventuriers «turfistes» opportunistes de tous poils.
Comme tout nouveau-né à l'immunité encore imparfaite et délicate, la démocratie même «rectifiée» que le peuple s'est choisi en élisant démocratiquement et de suite 2 présidents, l'actuel Mr Ould Abdel Aziz et avant lui son prédécesseur et aîné l'ex président Mr Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, se doit d'être cultivée et entretenue dans le milieu le plus aseptisé possible, loin de tout contact avec les germes nocifs vecteurs de toutes sortes de pathologies fatales.
Et cela, dans le souci permanent d'éviter toute contamination éventuelle à défaut de vaccination possible à même d'immuniser contre ces affections malignes et insidieuses. Ne dit-on donc pas qu'il vaudrait mieux prévenir que guérir? Les porteurs de ces germes si infectieux, contagieux et nocifs pour la santé de notre démocratie naissante ne seraient rien moins que les mêmes qui auront été si létaux par le passé au point d'avoir provoqué la descente aux enfers et au final la déchéance d'un dictateur aussi surentraîné pourtant que Taya.
Dictateur à la chute duquel le président nouvellement élu Mr Mohamed Ould Abdel Aziz «n'aura pas été étranger». J'ai dû intentionnellement utiliser cette circonlocution juste pour ne pas donner l'air de parler comme les «Saffagas» style que je ne prise vraiment pas à la différence d'un certain «écrivain Bonapartiste» et plagiaire à ses heures perdues par moi confondu et bien d'autres encore que lui, soit dit en passant.Passons justement!Cela dit, il faudrait bien rendre à l'ex officier Ould Abdel Aziz ce qui est à Ould Abdel Aziz sans aller jusqu'à le comparer à César ou Bonaparte pour autant.Sans plus.
Tant qu'à faire, examinons donc le sujet plus en détails. D'une sommaire observation de cette «mélasse inqualifiable ou culture microbienne» autoproclamée «soutiens inconditionnels et indéfectibles de la démocratie (sic)» se détacheraient en gros, ipso facto et nettement deux catégories bien distinctes : *Celle des politicaillons sans envergure ni ancrage réels vraiment n’obeissant qu’aux lois du marché politique soit celles du meilleur offrant et aussi affriandables que mon marmot Ahmed âgé de 4 ans le serait avec des sucreries bon marché.Paradoxalement, ceux là seraient de loin et même de très loin les moins pernicieux, dangereux voire terrifiants.
Peccadilles et menu fretin que tout cela donc!Au diable vauvert le péché maudit par Satan même comparé à la seconde engeance crachant le feu comme les dragons mythiques ou le venin comme les crotales du «Wilde West» soit l'Ouest sauvage US, ci après.(Etfou bi endhemb elli essta'wedh minnou Ibliss!) *Nous y sommes, soit la catégorie des machiavéliques chevaux de retour jadis anathématisés même par Taya en raison de leur fanatisme, de leur rigide idéologie sectaire et obscurantiste assortie de surcroît de douteuses et extraverties allégeances.
Ces chevronnés de l’agit-prop et de l’intox au service d’idéaux glaçants et horrifiants de par leur étroitesse sont de loin et même de très loin les plus dangereux et nuisibles car bien structurés, financés et disciplinés, leur dogmatisme à toute épreuve aidant et faisant le reste. Ces parias politiques et idéologiques intolérants, d'un autre âge et passés de mode (sic) partout au monde seraient pourtant en passe de se refaire la main et de se soustraire au confinement prophylactique de mise déjà imposé même par Taya qui n'était pourtant pas un tendre en soi.
Pour ce faire, ils compteraient bien se faufiler au travers des inévitables et incontournables failles et interstices de notre nouvelle construction démocratique en projet ;la perfection n'étant pas encore de ce monde hélas.Pas moins que cela!Et compte tenu de leurs motivations intimes, il ne serait à craindre qu’ils ne soient déjà sur des charbons ardents tout impatients et enflammés qu’ils seraient de souffler au plus vite sur les brasier enfin éteint et apaisé au prix d’énormes efforts et renoncements consentis par notre peuple pour se réconcilier avec lui même.
En fait de re-souffler sur les foyers pour rallumer leur dévorante «fournaise» en passe de s’éteindre car ne s’accommodant pas de la démocratie que nous nous sommes choisis tout banalement. Exactement comme ils l’avaient déjà fait durant les années de braise avec Taya qui ne le leur a jamais pardonné du reste, avec à la clef les conséquences désastreuses nationales et de triste mémoire que l’on sait.
Cela dit, les responsabilités personnelles du dictateur Taya ne sont plus à prouver même s'il aurait agi quasiment sous hypnose totale pratiquée par ces prosélytes de l'exclusion sociale pour ne pas employer un mot plus trivial encore mais plus juste toutefois.Et d’ailleurs, on n’a toujours pas fini de casquer et de ressentir les effets des fixations de ces incorrigibles champions de l’exclusionnisme tous azimuts ;le syndrome des pro-ceci, pro-cela, des pro-tout-ce-qu’on-voudrait-bien sauf la Mauritanie risquerait bien de se refaire une nouvelle santé aux crochets de notre démocratie encore en devenir.
Cela étant, c’en serait vraiment à ce point à se demander aussi ce qu’il en serait bien au juste de l'apurement du passif humanitaire et du programme de retour et de réinsertion de nos déportés face à la réincarnation éventuelle des nazillons atteints de la «peste brune»?Deux problèmes qui auront bien fait partie et à juste titre de la charpente fondamentale du programme de l'ex candidat élu président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au vu donc des pesantes menaces qui précèdent et des convictions de l'homme, Ould Abdel Aziz que nous tiendrions volontiers pour cosmopolite et à cheval entre les cultures arabo-berbère et négro-mauritanienne pour y avoir baigné très tôt depuis sa tendre enfance déjà (y compris linguistiquement), l'on pourrait logiquement et optimistiquement conjecturer que le nouveau chef de l'Etat qu'il est devenu aura tôt fait de poursuivre et de systématiser la marginalisation de ces fanatiques dogmatiques et survoltés.Marginalisation qu'il aura déjà commencée dès sa campagne électorale en écartant justement et à raison les « nationalistes étroits » des deux bords de son staff électoral.
Ce qui est en soi bon signe. Tout comme il serait juste et d’à propos de stigmatiser l’existence dans certains pays de fous de Dieu religieux ou de fous doctrinaires extrémistes de tous acabits, il serait par analogie permis de sonner l'hallali chez nous pour dénoncer la montée en puissance de certaines forces obscurantistes qui n’auraient d’autres ambitions vraiment pour la Mauritanie que l’exclusion de segments entiers de nos populations.Pas moins que cela et le tout en s’accrochant telles des ventouses voire des sangsues aux basques de notre démocratie en empruntant des mimétismes et camouflages polychromes dignes des caméléons ou du prisme des couleurs.
Contrairement aux opportunistes impécunieux et cupides courant seulement derrière l’argent facile ou les fonctions grasses, ces ascètes de la barbarie et de l’exclusion sociale seraient capables de vivre carrément de haine gratuite et d’eau fraîche comme des amoureux vivraient d’amour et d’eau fraîche!D'amour du prochain, ils n'en ont jamais cure sinon ils n'auraient pas fait leur une telle satanique profession de foi comme d'autres entreraient en religion banalement.Voici leur seul sacerdoce!Encore qu’ils ne soient pas si désintéressés et détachés, l’argent ayant toujours été le nerf de toutes les guerres.
Et la leur (guerre) ne dérogerait point à cette règle belliqueuse et belliciste, presque leur « trademark » en fait. Par conséquent, je monterais volontiers au créneau pour stigmatiser le «Directoire du ténébreux Opus Dei» reprenant du poil de la bête. Et l'initié que je suis devenu serait à même d'affirmer sans ambages que l'Opus Dei exclusionniste commencerait déjà à sévir sur la scène politico-médiatique noyautée à grand renfort d’hommes de main surmotivés, cyniques, aguerris voire talentueux parfois.
Manifestement la bête immonde blessée à mort et qui était sur le point de rendre l’âme déjà sous la chape de plomb de la dictature Tayiste par « elle » abusée semblerait s’être refaite un nouveau karma politique dans un second cycle de vie porteur et annonciateur de tous les dangers comme aurait pu dire le Dalai Lama, ce moine supérieur boudhiste Tibétain. Ces quarantaineux pervers et d’un autre âge n’ont pas encore dit leur confiteor, par conséquent le ver est bel et bien dans le jeune et précoce fruit de la démocratie.
Le «ver ou enemy within ou der innere Feind» est bien à nos portes.Il s'agirait donc pour le président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement d'être plus que jamais vigilants et sur le qui-vive permanent pour anticiper et conjurer éventuellement les sombres desseins nourris par ces sectateurs de l'exclusionnisme au sein de notre Nation plurielle, une et indivisible.Une réalité tangible et pas une vue de l'esprit, hélas.Autant donc en emporteront vraiment le simoun et l’harmattan Sahariens bien de chez nous !
NB : *Karma = vie antérieure à la réincarnation selon le boudhisme. *«Dire son confiteor» = se confesser ou se repentir de ses péchés, pratique de mise uniquement dans la liturgie catholique et non pas protestante. *Opus Dei=Organisation secrète, mystique et affairiste chrétienne.
Khalil Balla Gueye