Aéroport du Bourget, lundi 26 octobre, un peu avant 14 heures. Les gendarmes fouillent minutieusement tous les membres de la délégation d’accueil du Président de la République : personnel de l’ambassade, journalistes.
Le Préfet de Police fait les derniers réglages en compagnie du chargé d’Affaires de l’Ambassade de Mauritanie à Paris, Traoré Harouna et une responsable du Quai d’Orsay. Un quart d’heures plus tard, l’avion présidentiel s’immobilise sur le tarmac. Ould Abdel Aziz est salué par Alain Joyandet, ministre français de la Coopération et Emmatt Mint Ewnen, Ambassadeur de Mauritanie à Paris.
Tapis rouge, haies d’honneur d’un régiment d’infanterie de la Garde Républicaine, sirènes ouvrant la voie au cortège officiel jusqu’à l’hôtel Meurice, grand palace parisien réservé aux chefs d’Etat étrangers. Mardi, à 17 h 30 Ould Abdel Aziz sera reçu par le Président Sarkozy au Palais de l’Elysée.
La délégation présidentielle comprend la Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Naha Mint Mouknass, le Ministre des Finances, Kane Ousmane ; La Commissaire chargée de la Promotion du secteur privé, Maty Mint Hamady ; le Dircab du président, Cheyakh Ould Ely, des conseillers à la Présidence et l’homme d’Affaires, Mohamed Ould Bouamatou (chaleureusement salué par Alain Joyandet et Albert Bourgi) et pour qui cette visite doit revêtir un cachet singulier, car quelque part, la victoire d’Aziz est aussi la sienne.
Visite très attendue, et particulièrement suivie par Washington et Rabat, l’Ambassadeur américain à Nouakchott, Mark Boulwere et Yassine Al Mansouri, chef du contre-espionnage marocain ont rencontré Ould Abdel Aziz avant son départ. L’intérêt de deux capitales est-il en rapport avec le déplacement du chef de l’Etat en France ou porte-t-il sur uniquement sur les questions de sécurité dans la zone sahélo-saharienne ?
Toujours est-il qu’après Paris, le Président Mohamed Ould Abdel Aziz va effectuer une visite, mercredi, à Madrid. Un déplacement, visiblement, qui n’était pas au programme.
De Paris, Mohamed Ould Khayar
cridem.org
Le Préfet de Police fait les derniers réglages en compagnie du chargé d’Affaires de l’Ambassade de Mauritanie à Paris, Traoré Harouna et une responsable du Quai d’Orsay. Un quart d’heures plus tard, l’avion présidentiel s’immobilise sur le tarmac. Ould Abdel Aziz est salué par Alain Joyandet, ministre français de la Coopération et Emmatt Mint Ewnen, Ambassadeur de Mauritanie à Paris.
Tapis rouge, haies d’honneur d’un régiment d’infanterie de la Garde Républicaine, sirènes ouvrant la voie au cortège officiel jusqu’à l’hôtel Meurice, grand palace parisien réservé aux chefs d’Etat étrangers. Mardi, à 17 h 30 Ould Abdel Aziz sera reçu par le Président Sarkozy au Palais de l’Elysée.
La délégation présidentielle comprend la Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Naha Mint Mouknass, le Ministre des Finances, Kane Ousmane ; La Commissaire chargée de la Promotion du secteur privé, Maty Mint Hamady ; le Dircab du président, Cheyakh Ould Ely, des conseillers à la Présidence et l’homme d’Affaires, Mohamed Ould Bouamatou (chaleureusement salué par Alain Joyandet et Albert Bourgi) et pour qui cette visite doit revêtir un cachet singulier, car quelque part, la victoire d’Aziz est aussi la sienne.
Visite très attendue, et particulièrement suivie par Washington et Rabat, l’Ambassadeur américain à Nouakchott, Mark Boulwere et Yassine Al Mansouri, chef du contre-espionnage marocain ont rencontré Ould Abdel Aziz avant son départ. L’intérêt de deux capitales est-il en rapport avec le déplacement du chef de l’Etat en France ou porte-t-il sur uniquement sur les questions de sécurité dans la zone sahélo-saharienne ?
Toujours est-il qu’après Paris, le Président Mohamed Ould Abdel Aziz va effectuer une visite, mercredi, à Madrid. Un déplacement, visiblement, qui n’était pas au programme.
De Paris, Mohamed Ould Khayar
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