Nouakchott, 19 mars (AMI)- Un atelier de prise en charge de la malnutrition aigue en Mauritanie s'est ouvert lundi matin à Nouakchott. Cette rencontre de 7 jours organisée par le ministère de la santé et des affaires sociales, en collaboration avec l'UNICEF, l'OMS et le PAM au profit du personnel sanitaire chargé du traitement de la malnutrition aigue a pour but de permettre aux participants de se familiariser à la prise en charge des patients atteints de malnutrition sévère.
Elle permettra également aux personnes de terrain, de préférence médecins pédiatres et autres personnels de santé qualifiés, de prendre des décisions et d'être en mesure de faire face aux contraintes de terrain.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, le secrétaire général du ministère de la santé et des affaires sociales, le Dr. Mohamed Ould Ely Telmoudy a indiqué qu'au moins 38.100 enfants souffrent de malnutrition, annuellement, en Mauritanie, soulignant que les problèmes liés à la malnutrition ont de nombreuses implications sur la santé publique et le développement. Il a ajouté que le manque d'alimentation limite la capacité de la frange des travailleurs à travailler et entrave le développement spirituel des enfants.
Le secrétaire général a précisé que cet atelier permettra de consolider les programmes nationaux de lutte contre la malnutrition et de garantir leur efficacité et leur continuité, soulignant que le ministère a mis sur pied des centres de réadaptation et d'éducation nutritionnelles équipés, offrant les aliments et les médicaments essentiels, de manière gratuite, et aptes à prendre en charge correctement les cas de malnutrition aigue. Il a, par ailleurs, appelé tous à oeuvrer pour limiter considérablement la famine et la mortalité maternelle et infantiles à l'horizon 2015.
Pour sa part, M. Diallo Souleymane, représentant de l'UNICEF à Nouakchott a indiqué que " la malnutrition est une cause majeure de mortalité des enfants", soulignant que " des études récentes ont montré qu'au Sahel 50% de décès d'enfants, soit environ 300 000 décès annuels, sont attribuables à la malnutrition". Il a ajouté que "les enfants atteints de malnutrition aigue, particulièrement ses formes sévères, ont besoin d'être pris en charge de façon adéquate et dans l'immédiats".
M. Diallo Souleymane a, en outre, dit que " l'UNICEF avec la collaboration de ses partenaires des nations unies, soutient les programmes nationaux de prise en charge de la malnutrition dans la sous-région, afin de permettre l'accès à un traitement de qualité à la grande majorité des enfants".
Des représentants des différentes wilayas du pays et des délégués venant du Burkina Faso, de Côte d'Ivoire, de Gambie, du Liberia, du Mali et du Niger participent à cette rencontre.
La cérémonie d'ouverture s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère des affaires économiques et du développement et du directeur de cabinet de la secrétaire d'Etat de la condition féminine.
AMI
Elle permettra également aux personnes de terrain, de préférence médecins pédiatres et autres personnels de santé qualifiés, de prendre des décisions et d'être en mesure de faire face aux contraintes de terrain.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, le secrétaire général du ministère de la santé et des affaires sociales, le Dr. Mohamed Ould Ely Telmoudy a indiqué qu'au moins 38.100 enfants souffrent de malnutrition, annuellement, en Mauritanie, soulignant que les problèmes liés à la malnutrition ont de nombreuses implications sur la santé publique et le développement. Il a ajouté que le manque d'alimentation limite la capacité de la frange des travailleurs à travailler et entrave le développement spirituel des enfants.
Le secrétaire général a précisé que cet atelier permettra de consolider les programmes nationaux de lutte contre la malnutrition et de garantir leur efficacité et leur continuité, soulignant que le ministère a mis sur pied des centres de réadaptation et d'éducation nutritionnelles équipés, offrant les aliments et les médicaments essentiels, de manière gratuite, et aptes à prendre en charge correctement les cas de malnutrition aigue. Il a, par ailleurs, appelé tous à oeuvrer pour limiter considérablement la famine et la mortalité maternelle et infantiles à l'horizon 2015.
Pour sa part, M. Diallo Souleymane, représentant de l'UNICEF à Nouakchott a indiqué que " la malnutrition est une cause majeure de mortalité des enfants", soulignant que " des études récentes ont montré qu'au Sahel 50% de décès d'enfants, soit environ 300 000 décès annuels, sont attribuables à la malnutrition". Il a ajouté que "les enfants atteints de malnutrition aigue, particulièrement ses formes sévères, ont besoin d'être pris en charge de façon adéquate et dans l'immédiats".
M. Diallo Souleymane a, en outre, dit que " l'UNICEF avec la collaboration de ses partenaires des nations unies, soutient les programmes nationaux de prise en charge de la malnutrition dans la sous-région, afin de permettre l'accès à un traitement de qualité à la grande majorité des enfants".
Des représentants des différentes wilayas du pays et des délégués venant du Burkina Faso, de Côte d'Ivoire, de Gambie, du Liberia, du Mali et du Niger participent à cette rencontre.
La cérémonie d'ouverture s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère des affaires économiques et du développement et du directeur de cabinet de la secrétaire d'Etat de la condition féminine.
AMI