La concertation régionale avant la concertation nationale à Nouakchott sur la situation de l’enseignement ne laisse pas indifférent le porte-parole de l’UFP Lô Gourmo qui s’interroge sur l’opportunité de ces rencontres à quelques semaines d’une concertation nationale ouverte aux partis politiques dont l’une des thématiques principales est relative au système éducatif.
C’est une interrogation légitime de l’UFP, un des principaux partis de l’opposition qui fait partie de l’opposition parlementaire, très active au niveau de la coordination parlementaire initiatrice de la feuille de route de la prochaine concertation nationale, approuvée par le président mauritanien.
Sur sa page Facebook,le porte-parole de l’UFP est dubitatif sur la concertation sectorielle de l’éducation nationale à quelques semaines d’un dialogue national qui fait l’unanimité des partis politiques et dont l’un des points importants concerne la situation de l’enseignement.
Pour les observateurs aucun parti participant à ces assises ne doit pas être dupe du double jeu du pouvoir qui consiste à faire croire son adhésion à la feuille de route et d’exclure la société civile et parallèlement d’ouvrir une autre concertation sur une question aussi cruciale qui concerne l’éducation nationale.
Pour éviter un tel piège, le juriste mauritanien propose un ajustement rapide de cette initiative du ministère. Dans le cas échéant c’est l’esprit du futur dialogue qui risque d’être affecté selon les propres termes de Lô Gourmo. C’est une analyse pertinente à laquelle devront répondre les autres participants pour accorder leurs violons avant l’ouverture du dialogue national.
Cherif Kane
Kassataya
C’est une interrogation légitime de l’UFP, un des principaux partis de l’opposition qui fait partie de l’opposition parlementaire, très active au niveau de la coordination parlementaire initiatrice de la feuille de route de la prochaine concertation nationale, approuvée par le président mauritanien.
Sur sa page Facebook,le porte-parole de l’UFP est dubitatif sur la concertation sectorielle de l’éducation nationale à quelques semaines d’un dialogue national qui fait l’unanimité des partis politiques et dont l’un des points importants concerne la situation de l’enseignement.
Pour les observateurs aucun parti participant à ces assises ne doit pas être dupe du double jeu du pouvoir qui consiste à faire croire son adhésion à la feuille de route et d’exclure la société civile et parallèlement d’ouvrir une autre concertation sur une question aussi cruciale qui concerne l’éducation nationale.
Pour éviter un tel piège, le juriste mauritanien propose un ajustement rapide de cette initiative du ministère. Dans le cas échéant c’est l’esprit du futur dialogue qui risque d’être affecté selon les propres termes de Lô Gourmo. C’est une analyse pertinente à laquelle devront répondre les autres participants pour accorder leurs violons avant l’ouverture du dialogue national.
Cherif Kane
Kassataya