De plus en plus le concept de pardon surgit en premier lieu quand il s'agit de parler des tueries et exactions sommaires perpetrées à l'encontre des populations négro-africaines.
En effet, certains victimes commencent souvent l'analyse de la situation politique de notre pays par cette notion imbécile de pardon. Qui doit demander pardon ? La victime ou le coupable?
Le danger de cette posture intellectuelle risque de laisser penser pour les tortionnaires et les architectes de notre humiliation qu'il suffit juste de demander pardon pour que tout se régle.
A ce titre nous ne devons pas être surpris que les mêmes causes produisent les mêmes effets.Certains maures blancs ont instrumentalisé certains haratins pour s'abattre sur leurs frères négro-africains, tous doivent donc répondre de leurs forfaits.C'est aprés des sanctions sévères et une humilition démocratique à vie que le pardon doit avoir lieu.
Pour qu'un discours négro-africain ne soit consideré comme extrémiste il faut que les légumes du pardon soient mis dans la marmite, avant les poisssons de la discrimination raciale.C'est en adoptant une telle démarche que certains nègres acquiérent leurs diplômes de modestie et de démocratie.Une telle forme de modestie ne nous intéresse point.Justice d'abort avant le pardon!
Beaucoup de politiques négro-africains tombent aujourd'hui dans ce grand champs d'illusion.
De plus, c'est même le coupable qui définit les termes de références pour la réconcialtion nationale ou je ne sais internationale.
Je recommande aux responsables politiques Mauritaniens de penser cette formule célébre de deux totionnaires: "ce qui se décide sur nous, sans nous, se décide contre nous"
Raky Nasaara
Nouakhott
En effet, certains victimes commencent souvent l'analyse de la situation politique de notre pays par cette notion imbécile de pardon. Qui doit demander pardon ? La victime ou le coupable?
Le danger de cette posture intellectuelle risque de laisser penser pour les tortionnaires et les architectes de notre humiliation qu'il suffit juste de demander pardon pour que tout se régle.
A ce titre nous ne devons pas être surpris que les mêmes causes produisent les mêmes effets.Certains maures blancs ont instrumentalisé certains haratins pour s'abattre sur leurs frères négro-africains, tous doivent donc répondre de leurs forfaits.C'est aprés des sanctions sévères et une humilition démocratique à vie que le pardon doit avoir lieu.
Pour qu'un discours négro-africain ne soit consideré comme extrémiste il faut que les légumes du pardon soient mis dans la marmite, avant les poisssons de la discrimination raciale.C'est en adoptant une telle démarche que certains nègres acquiérent leurs diplômes de modestie et de démocratie.Une telle forme de modestie ne nous intéresse point.Justice d'abort avant le pardon!
Beaucoup de politiques négro-africains tombent aujourd'hui dans ce grand champs d'illusion.
De plus, c'est même le coupable qui définit les termes de références pour la réconcialtion nationale ou je ne sais internationale.
Je recommande aux responsables politiques Mauritaniens de penser cette formule célébre de deux totionnaires: "ce qui se décide sur nous, sans nous, se décide contre nous"
Raky Nasaara
Nouakhott