Les annonces successives faites les 9 mars et 17 juin 2011 marquent un tournant historique sur la voie des réformes majeures initiées depuis l’accession au trône de Sa Majesté le Roi du Maroc. En prenant l’initiative de répondre favorablement à la demande de changement constitutionnel réclamé, à cor et à cri, par la jeunesse marocaine en particulier, le Roi a fait preuve d’une capacité d’anticipation rarement partagée par la plupart des dirigeants arabes et africains. Après avoir placé le Maroc sur la voie royale de la paix des esprits et des cœurs à travers la « Commission Equité et Réconciliation », voilà, que la plus haute Autorité du Royaume vient d’apporter sa bénédiction au projet d’une nouvelle constitution que lui envieraient bien des Républiques !
L’élan d’adhésion observé à travers les manifestations de joie et d’approbation par de nombreux segments de la société marocaine (partis politiques, Centrales syndicales, presse, Mouvements sociaux et leaders religieux) témoigne d’un large consensus qui augure déjà du sort qui sera réservé au nouveau projet constitutionnel. Quelque soit le choix que fera le peuple marocain, quant au référendum constitutionnel programmé le 1er juillet 2011, le Maroc peut s’enorgueillir - dans notre sous-région Nord-Ouest africaine « compliquée » - d’avoir ouvert la voie au dialogue national constructif et responsable, faisant ainsi l’économie des coups de fusil des révoltes armées qui ensanglantent encore le monde arabe et africain.
En traitant sur le fond des questions jugées essentielles, telles que l’officialisation de la langue Amazighe, la prise en compte d’une pluralité culturelle assumée, la rationalisation de la transhumance politique par la perte du mandat, l’approfondissement de la régionalisation, le renforcement des rôles du Premier Ministre et du Parlement ou la séparation des pouvoirs, le nouveau projet constitutionnel marque un moment historique dans la marche du Maroc vers une démocratie forte et paisible, l’Etat de droit et le développement dans l’équité.
De fait, en faisant du Maroc son 1er partenaire pour la démocratie, l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe (ACPE), réunie le 21 juin 2011 à Strasbourg, n’a fait que révéler, par un vote unanime (des 47 membres), « une reconnaissance du travail acharné et des réformes ambitieuses menées au Maroc au cours des dernières années », selon l’expression du Président de ladite ACPE.
Le Mouvement Pour la Refondation, fidèle aux valeurs de paix, de démocratie véritable, d’intégration nationale et régionale, félicite le peuple marocain tout entier pour sa lucidité et l’attitude hautement patriotique et éclairée de ses dirigeants dans l’accomplissement des réformes nécessaires.
Nouakchott le 25 juin 2011
Le Comité Permanent
Source: M. Kane
L’élan d’adhésion observé à travers les manifestations de joie et d’approbation par de nombreux segments de la société marocaine (partis politiques, Centrales syndicales, presse, Mouvements sociaux et leaders religieux) témoigne d’un large consensus qui augure déjà du sort qui sera réservé au nouveau projet constitutionnel. Quelque soit le choix que fera le peuple marocain, quant au référendum constitutionnel programmé le 1er juillet 2011, le Maroc peut s’enorgueillir - dans notre sous-région Nord-Ouest africaine « compliquée » - d’avoir ouvert la voie au dialogue national constructif et responsable, faisant ainsi l’économie des coups de fusil des révoltes armées qui ensanglantent encore le monde arabe et africain.
En traitant sur le fond des questions jugées essentielles, telles que l’officialisation de la langue Amazighe, la prise en compte d’une pluralité culturelle assumée, la rationalisation de la transhumance politique par la perte du mandat, l’approfondissement de la régionalisation, le renforcement des rôles du Premier Ministre et du Parlement ou la séparation des pouvoirs, le nouveau projet constitutionnel marque un moment historique dans la marche du Maroc vers une démocratie forte et paisible, l’Etat de droit et le développement dans l’équité.
De fait, en faisant du Maroc son 1er partenaire pour la démocratie, l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe (ACPE), réunie le 21 juin 2011 à Strasbourg, n’a fait que révéler, par un vote unanime (des 47 membres), « une reconnaissance du travail acharné et des réformes ambitieuses menées au Maroc au cours des dernières années », selon l’expression du Président de ladite ACPE.
Le Mouvement Pour la Refondation, fidèle aux valeurs de paix, de démocratie véritable, d’intégration nationale et régionale, félicite le peuple marocain tout entier pour sa lucidité et l’attitude hautement patriotique et éclairée de ses dirigeants dans l’accomplissement des réformes nécessaires.
Nouakchott le 25 juin 2011
Le Comité Permanent
Source: M. Kane