Un homme de 18 ans, qui aurait des sympathies d'extrême droite, a mené jeudi matin un raid meurtrier dans les rues d'Anvers. Il a tué une femme africaine et un enfant dont elle avait la garde après avoir fait feu sur une femme turque qui a été grièvement blessée, a-t-on appris au parquet d'Anvers. L'homme a été appréhendé par la police qui a fait feu sur lui. L'homme a tout d'abord tiré sur la femme turque dans la Kleine Goddaard avec une arme de gros calibre. La victime a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger.
Il a ensuite poursuivi son «raid meurtrier à travers la ville », a ajouté le parquet. Dans la Zwartzusstraat, il a fait feu sur une femme africaine qui était avec une fillette blanche dont elle avait la garde. Les deux victimes sont mortes sur place.
Un policier, qui était par hasard dans les environs, a entendu plusieurs personnes parler d'un homme armé qui se déplaçait dans les environs. Le policier a localisé le tireur. Il lui a demandé à trois reprises de déposer son arme sur le sol. L'homme a refusé et a fait un mouvement suspect. Le policier a fait feu, le blessant au ventre.
Le tireur a été hospitalisé sous bonne garde. Ses jours ne sont pas en danger. Dès que son état le permettra, il sera entendu par le juge d'instruction.
Cet homme, né en février 1988, n'était pas connu de la justice. »L'auteur avait des marques distinctives des skinheads. Il était porteur de signes faisant référence à l'extrême droite », a expliqué la porte-parole du parquet d'Anvers, Dominique Reyniers, sans vouloir détailler ces signes.
Un témoin, contacté par Belga après avoir été entendu par la police, a expliqué que le tireur s'était faufilé entre lui et un ami avant de faire feu sur les deux victimes décédées. Il a précisé qu'il n'y avait aucune raison apparente pour que l'homme fasse feu.
Il l'a décrit comme un homme habillé de noir, avec de grosses bottines. Il avait des cheveux longs sur le sommet du crâne et rasés sur les côtés.
Il a expliqué qu'après avoir fait feu, le tireur s'est tourné en direction de lui et de son ami et qu'ils ont sauté derrière le coin de la rue car ils pensaient que le tireur dirigeait son arme vers eux. Le policier est alors intervenu, a précisé ce témoin.
http://www.lalibre.be
Il a ensuite poursuivi son «raid meurtrier à travers la ville », a ajouté le parquet. Dans la Zwartzusstraat, il a fait feu sur une femme africaine qui était avec une fillette blanche dont elle avait la garde. Les deux victimes sont mortes sur place.
Un policier, qui était par hasard dans les environs, a entendu plusieurs personnes parler d'un homme armé qui se déplaçait dans les environs. Le policier a localisé le tireur. Il lui a demandé à trois reprises de déposer son arme sur le sol. L'homme a refusé et a fait un mouvement suspect. Le policier a fait feu, le blessant au ventre.
Le tireur a été hospitalisé sous bonne garde. Ses jours ne sont pas en danger. Dès que son état le permettra, il sera entendu par le juge d'instruction.
Cet homme, né en février 1988, n'était pas connu de la justice. »L'auteur avait des marques distinctives des skinheads. Il était porteur de signes faisant référence à l'extrême droite », a expliqué la porte-parole du parquet d'Anvers, Dominique Reyniers, sans vouloir détailler ces signes.
Un témoin, contacté par Belga après avoir été entendu par la police, a expliqué que le tireur s'était faufilé entre lui et un ami avant de faire feu sur les deux victimes décédées. Il a précisé qu'il n'y avait aucune raison apparente pour que l'homme fasse feu.
Il l'a décrit comme un homme habillé de noir, avec de grosses bottines. Il avait des cheveux longs sur le sommet du crâne et rasés sur les côtés.
Il a expliqué qu'après avoir fait feu, le tireur s'est tourné en direction de lui et de son ami et qu'ils ont sauté derrière le coin de la rue car ils pensaient que le tireur dirigeait son arme vers eux. Le policier est alors intervenu, a précisé ce témoin.
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