La semaine dernière, une nouvelle s’est répandue dans toute la ville et même au-delà. Il s’agit du limogeage du président de la Commission centrale des marchés et de celui du Directeur général de la Sonimex.
Si le limogeage de ces deux responsables a fait tant de bruits, l’opinion est restée sur sa faim quant aux raisons qui sont à l’origine de cette fracassante mesure de discipline.
Dans un Etat de droit comme le nôtre, la transparence devrait être de mise. C’est pourquoi, le Premier ministre où les responsables de sa communication, devraient tenir une conférence de presse ou publier un communiqué de presse pour expliquer les raisons d’une telle mesure et non pas laisser l’imagination des uns et des autres spéculer sur le pourquoi de ce qui ressemble fort à des sanctions.
Si les personnes incriminées ont commis des actes graves, ils doivent être vigoureusement dénoncés, ensuite jugé sans complaisance ; tout comme s’ils sont innocents ils doivent recouvrir leurs droits et non pas être jeté en pâture à la vindicte populaire.
Pourquoi ne nous dit-on pas si cette mesure qui est intervenu aux premiers jours de l’installation du nouveau gouvernement s’inscrit dans la nouvelle philosophie de lutte contre la gabegie et les prévaricateurs initiée par le président Mohamed Ould Abdel Aziz.
source :Le Véridique
Si le limogeage de ces deux responsables a fait tant de bruits, l’opinion est restée sur sa faim quant aux raisons qui sont à l’origine de cette fracassante mesure de discipline.
Dans un Etat de droit comme le nôtre, la transparence devrait être de mise. C’est pourquoi, le Premier ministre où les responsables de sa communication, devraient tenir une conférence de presse ou publier un communiqué de presse pour expliquer les raisons d’une telle mesure et non pas laisser l’imagination des uns et des autres spéculer sur le pourquoi de ce qui ressemble fort à des sanctions.
Si les personnes incriminées ont commis des actes graves, ils doivent être vigoureusement dénoncés, ensuite jugé sans complaisance ; tout comme s’ils sont innocents ils doivent recouvrir leurs droits et non pas être jeté en pâture à la vindicte populaire.
Pourquoi ne nous dit-on pas si cette mesure qui est intervenu aux premiers jours de l’installation du nouveau gouvernement s’inscrit dans la nouvelle philosophie de lutte contre la gabegie et les prévaricateurs initiée par le président Mohamed Ould Abdel Aziz.
source :Le Véridique