Une réunion ministérielle sur la sécurité et le développement du Sahel s'est ouverte mardi à Bamako en présence de représentants de six pays de cette région menacée par "le banditisme et les réseaux criminels", a constaté l'AFP.
Cette rencontre d'une journée «doit permettre de jeter les bases d'une coopération dans l'espace sahélo-saharien pour faire face aux nombreuses menaces qui affectent la sous-région», a déclaré le ministre malien des Affaires étrangères Moctar Ouane, dans une courte allocution.
«Le banditisme transfrontalier, les réseaux criminels et des trafics de tous genre empêchent nos populations de vivre paisiblement. C'est pour cette raison qu'il est nécessaire que nos pays puissent avoir une coopération multiforme», a-t-il ajouté.
La réunion rassemble notamment le ministre algérien délégué aux Affaires africaines et maghrébines Messahel Abdelkader, la ministre burkinabé de la Coopération régionale Minata Samaté, le ministre libyen des Affaires africaines Ali Triki, le secrétaire d'Etat tchadien aux Relations extérieures Djida Moussa Ousmane et la ministre nigérienne des Affaires étrangères Aïchatou Mindaoudou.
La Mauritanie devait prendre part à cette réunion mais elle n'a finalement pas été invitée en raison de la "situation interne" toujours marquée par le coup d'Etat du 6 août qui a renversé le président élu Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a appris l'AFP de sources concordantes.
«Il ne faut pas oublier qu'au Mali le coup d'Etat est un crime imprescriptible», a expliqué un responsable malien sous couvert de l'anonymat. «Nous nous alignons sur les positions de l'Union africaine» (UA), qui a suspendu la Mauritanie après ce putsch, et de «la communauté internationale» qui l'a largement condamné, a-t-il ajouté.
La réunion de Bamako, qui s'achève mardi soir, est organisée en prélude à une rencontre de chefs d'Etat du Sahel sur le même thème de «la sécurité, la paix et le développement» à une date qui n'a pas été précisée, selon les organisateurs.
Cette rencontre de chefs d'Etats du Sahel, prévue dans la capitale malienne, a été plusieurs fois reportée.
AFP
Cette rencontre d'une journée «doit permettre de jeter les bases d'une coopération dans l'espace sahélo-saharien pour faire face aux nombreuses menaces qui affectent la sous-région», a déclaré le ministre malien des Affaires étrangères Moctar Ouane, dans une courte allocution.
«Le banditisme transfrontalier, les réseaux criminels et des trafics de tous genre empêchent nos populations de vivre paisiblement. C'est pour cette raison qu'il est nécessaire que nos pays puissent avoir une coopération multiforme», a-t-il ajouté.
La réunion rassemble notamment le ministre algérien délégué aux Affaires africaines et maghrébines Messahel Abdelkader, la ministre burkinabé de la Coopération régionale Minata Samaté, le ministre libyen des Affaires africaines Ali Triki, le secrétaire d'Etat tchadien aux Relations extérieures Djida Moussa Ousmane et la ministre nigérienne des Affaires étrangères Aïchatou Mindaoudou.
La Mauritanie devait prendre part à cette réunion mais elle n'a finalement pas été invitée en raison de la "situation interne" toujours marquée par le coup d'Etat du 6 août qui a renversé le président élu Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a appris l'AFP de sources concordantes.
«Il ne faut pas oublier qu'au Mali le coup d'Etat est un crime imprescriptible», a expliqué un responsable malien sous couvert de l'anonymat. «Nous nous alignons sur les positions de l'Union africaine» (UA), qui a suspendu la Mauritanie après ce putsch, et de «la communauté internationale» qui l'a largement condamné, a-t-il ajouté.
La réunion de Bamako, qui s'achève mardi soir, est organisée en prélude à une rencontre de chefs d'Etat du Sahel sur le même thème de «la sécurité, la paix et le développement» à une date qui n'a pas été précisée, selon les organisateurs.
Cette rencontre de chefs d'Etats du Sahel, prévue dans la capitale malienne, a été plusieurs fois reportée.
AFP