Après le passage au forceps du projet de loi sur les partis politiques au conseil des ministres en décembre dernier, l’opposition tire des boulets rouges sur cette réforme qui porte atteinte à la démocratie.
Le dernier boulet rouge en date vient de l’AJDM-MR qui compare la nouvelle loi à celle des symboles pour la protection de l’Etat qualifiée de liberticide. Le rejet de ce projet de loi est unanime, de TAWASSOUL en passant par la coalition Espoir Mauritanie, l’UFP, les FPC et la nouvelle coalition de l’opposition antisystème sous la houlette du député Biram Abeid.
C’est la pire des réformes depuis l’instauration de la démocratie en 1991 sous le régime de Ould Taya. Ould Ghazouani franchit le Rubicon. C’est la mort cérébrale des partis politiques et un sursis pour ceux qui arriveront à relever la tête sous l’eau après avoir traversé un océan. Cette loi qui va passer comme une lettre à la poste au parlement en ce début de nouvelle année, pourrait basculer la Mauritanie dans un parti unique des années 60.
Cherif Kane
journaliste
Source : Kassataya
Le dernier boulet rouge en date vient de l’AJDM-MR qui compare la nouvelle loi à celle des symboles pour la protection de l’Etat qualifiée de liberticide. Le rejet de ce projet de loi est unanime, de TAWASSOUL en passant par la coalition Espoir Mauritanie, l’UFP, les FPC et la nouvelle coalition de l’opposition antisystème sous la houlette du député Biram Abeid.
C’est la pire des réformes depuis l’instauration de la démocratie en 1991 sous le régime de Ould Taya. Ould Ghazouani franchit le Rubicon. C’est la mort cérébrale des partis politiques et un sursis pour ceux qui arriveront à relever la tête sous l’eau après avoir traversé un océan. Cette loi qui va passer comme une lettre à la poste au parlement en ce début de nouvelle année, pourrait basculer la Mauritanie dans un parti unique des années 60.
Cherif Kane
journaliste
Source : Kassataya