C’est dans une salle, à la cité universitaire de Paris, pleine à craquer, que s’est tenue la conférence publique animée par le président Ibrahima Moctar SARR devant les militants et les sympathisants mais aussi devant les représentants des ONG comme AVOMM, OCVIDH, COVIRE, AFMAF. Le représentant de la campagne de Kane Hamadou Baba a également pris part à cette conférence.
Cette présence, hautement symbolique, est le résultat d’une politique d’ouverture aux autres formations politiques et organisations qui se déploient dans la défense des causes mauritaniennes. Sans nul doute, l’AJD/MR est une formation qui a toujours refusé un repli sur soi et a, depuis sa création, privilégié une approche participative et un dialogue sincère entre les différents protagonistes sur la scène politique mauritanienne.
La diaspora a tenu à faire le déplacement, en dépit du fait que la journée soit une journée ouvrable. L’objectif, pour bon nombre d’entre eux, est de lever l’équivoque sur une participation aux élections voulue par la Conseil National du parti et d’avoir la version du président en ce qui concerne la calomnie et la désinformation entreprises par un certaine presse locale irresponsable, en mal de professionnalisme et de thèmes médiatiques, si ce n’est que de s’attaquer à des personnalités dont la lucidité, le sens du discernement et le patriotisme sont incontestables.
C’est à 19h30 heure de Paris que monsieur Ousmane Diagana, chargé des Relations Extérieures du parti, a ouvert la conférence publique. Il a salué la présence de tout ce beau monde venu de partout, de Belgique, d’Espagne, de la Hollande pour prendre part à cette conférence et magnifier la présence des organisations non gouvernementales avant de donner la parole au conférencier.
Le président a tenu, au prime abord, à saluer la présence de Madame Marième KANE, présidente de l’AFMAF et à se recueillir sur la mémoire de Seydou KANE qu’il a qualifié de monument de l’histoire africaine. Il s’est félicité également de la participation de toutes les ONG citées un peu plus haut.
En ce qui concerne la désinformation, Monsieur SARR a démenti les articles diffamatoires et sans preuve au sujet du financement de sa campagne. Le président a apporté un démenti formel à ces allégations. SARR a précisé que, visiblement, sa candidature dérange à plus d’un titre. A défaut de l’avoir sur le plan des idées, cette « presse » s’adonne, à cœur joie, à des attaques personnelles. « Personne ne peut m’acheter », martèle-t-il.
Journaliste de carrière, il a lancé un appel solennel à la presse à faire preuve de responsabilité et de respecter la déontologie journalistique qui interdit d’écrire ou de mettre en ligne des éléments diffamatoires sans aucune investigation ni enquête. Concluant son mot sur la désinformation, le président SARR a plaidé pour une presse beaucoup plus professionnelle et inspirée des vertus cardinales de notre sainte religion qui interdit la calomnie et le mensonge.
Par la suite, l’essentiel de sa communication a axé sur la prise d’acte du coup d’état et les raisons de sa candidature.
En visionnaire, Monsieur SARR avait, dans son célèbre article « La transition en dérive, se ressaisir », attiré l’attention de l’opinion nationale et internationale sur l’échec de la transition menée par le CMJD. Il a souligné que ceux qui ont déposé Ould TAYA ne l’ont pas fait dans l’intérêt suprême de la nation mais, au contraire, ils ont mis en place une transition taillée sur mesure. C’est pourquoi, a-t-il dit, il avait appelé à boycotter le référendum constitutionnel qui était soumis au peuple et qui ne prenait pas en compte la diversité de la Mauritanie.
Le président issu de ces élections était investi mais ne remplissait pas pleinement toutes les fonctions présidentielles. Monsieur SARR a souligné que cette situation a fait que la présidence de Sidi a été instable, constamment soumise aux rudes épreuves des parlementaires sans scrupules, acquise à la cause des militaires. SARR a précisé que le président Sidi était constamment pris en otage par ceux-la même qui l’ont porté au perchoir et n’était pas capable de résoudre, en toute souveraineté, certaines questions nationales comme le retour des réfugiés, le passif humanitaire et l’esclavage. Voilà, en gros, les raisons qui ont amené l’AJD/MR à prendre acte du coup d’état afin de permettre une nouvelle transition de manière à éviter les erreurs de la précédente transition, résume le président IMS.
Au sujet de sa participation aux élections, Monsieur SARR a souligné qu’il a est investi par le Conseil National de son parti qui a travaillé en toute autonomie.
Monsieur SARR a précisé que sa jeune formation politique a besoin d’occuper le terrain et de se positionner sur l’échiquier politique nationale en participant à toutes les prochaines échéances électorales. Convaincu de sa capacité à battre Ould AZIZ, à conditions que la transparence soit garantie, SARR a précisé qu’il n’éprouve aucune gêne d’aller seul aux élections face à un militaire en rappelant au public qu’il a quitté seul l’APP et que aujourd’hui il dirige un grand parti politique. « INA WONA » qui signifie littéralement « c’est possible » est le slogan de campane de SARR inspiré de celui de Obama « yes we can », scandé par un public en délire et convaincu de la sincérité du candidat à être au service de toute la Mauritanie. Le candidat aux élections présidentielles finira son intervention en appelant les mauritaniens à voter massivement pour lui qui incarne le vrai changement.
Après cette brillante communication, le public en effervescence a longuement applaudi, convaincu qu’il est de la pertinence des idées et des arguments développés.
Les représentants des ONG, l’auteur de « L’enfer d’Inal » et d’autres anonymes ont pris, tour à tour, la parole. Sans détours, SARR a répondu à une question sur la candidature de KANE Hamidou Baba. Il a précisé que KANE reste son adversaire politique malgré les affinités qui le lie au vice-président de l’Assemblée nationale.
Hady NDIATH
Chargé de Communication Section AJD/MR France
Source: ajd/mr
Cette présence, hautement symbolique, est le résultat d’une politique d’ouverture aux autres formations politiques et organisations qui se déploient dans la défense des causes mauritaniennes. Sans nul doute, l’AJD/MR est une formation qui a toujours refusé un repli sur soi et a, depuis sa création, privilégié une approche participative et un dialogue sincère entre les différents protagonistes sur la scène politique mauritanienne.
La diaspora a tenu à faire le déplacement, en dépit du fait que la journée soit une journée ouvrable. L’objectif, pour bon nombre d’entre eux, est de lever l’équivoque sur une participation aux élections voulue par la Conseil National du parti et d’avoir la version du président en ce qui concerne la calomnie et la désinformation entreprises par un certaine presse locale irresponsable, en mal de professionnalisme et de thèmes médiatiques, si ce n’est que de s’attaquer à des personnalités dont la lucidité, le sens du discernement et le patriotisme sont incontestables.
C’est à 19h30 heure de Paris que monsieur Ousmane Diagana, chargé des Relations Extérieures du parti, a ouvert la conférence publique. Il a salué la présence de tout ce beau monde venu de partout, de Belgique, d’Espagne, de la Hollande pour prendre part à cette conférence et magnifier la présence des organisations non gouvernementales avant de donner la parole au conférencier.
Le président a tenu, au prime abord, à saluer la présence de Madame Marième KANE, présidente de l’AFMAF et à se recueillir sur la mémoire de Seydou KANE qu’il a qualifié de monument de l’histoire africaine. Il s’est félicité également de la participation de toutes les ONG citées un peu plus haut.
En ce qui concerne la désinformation, Monsieur SARR a démenti les articles diffamatoires et sans preuve au sujet du financement de sa campagne. Le président a apporté un démenti formel à ces allégations. SARR a précisé que, visiblement, sa candidature dérange à plus d’un titre. A défaut de l’avoir sur le plan des idées, cette « presse » s’adonne, à cœur joie, à des attaques personnelles. « Personne ne peut m’acheter », martèle-t-il.
Journaliste de carrière, il a lancé un appel solennel à la presse à faire preuve de responsabilité et de respecter la déontologie journalistique qui interdit d’écrire ou de mettre en ligne des éléments diffamatoires sans aucune investigation ni enquête. Concluant son mot sur la désinformation, le président SARR a plaidé pour une presse beaucoup plus professionnelle et inspirée des vertus cardinales de notre sainte religion qui interdit la calomnie et le mensonge.
Par la suite, l’essentiel de sa communication a axé sur la prise d’acte du coup d’état et les raisons de sa candidature.
En visionnaire, Monsieur SARR avait, dans son célèbre article « La transition en dérive, se ressaisir », attiré l’attention de l’opinion nationale et internationale sur l’échec de la transition menée par le CMJD. Il a souligné que ceux qui ont déposé Ould TAYA ne l’ont pas fait dans l’intérêt suprême de la nation mais, au contraire, ils ont mis en place une transition taillée sur mesure. C’est pourquoi, a-t-il dit, il avait appelé à boycotter le référendum constitutionnel qui était soumis au peuple et qui ne prenait pas en compte la diversité de la Mauritanie.
Le président issu de ces élections était investi mais ne remplissait pas pleinement toutes les fonctions présidentielles. Monsieur SARR a souligné que cette situation a fait que la présidence de Sidi a été instable, constamment soumise aux rudes épreuves des parlementaires sans scrupules, acquise à la cause des militaires. SARR a précisé que le président Sidi était constamment pris en otage par ceux-la même qui l’ont porté au perchoir et n’était pas capable de résoudre, en toute souveraineté, certaines questions nationales comme le retour des réfugiés, le passif humanitaire et l’esclavage. Voilà, en gros, les raisons qui ont amené l’AJD/MR à prendre acte du coup d’état afin de permettre une nouvelle transition de manière à éviter les erreurs de la précédente transition, résume le président IMS.
Au sujet de sa participation aux élections, Monsieur SARR a souligné qu’il a est investi par le Conseil National de son parti qui a travaillé en toute autonomie.
Monsieur SARR a précisé que sa jeune formation politique a besoin d’occuper le terrain et de se positionner sur l’échiquier politique nationale en participant à toutes les prochaines échéances électorales. Convaincu de sa capacité à battre Ould AZIZ, à conditions que la transparence soit garantie, SARR a précisé qu’il n’éprouve aucune gêne d’aller seul aux élections face à un militaire en rappelant au public qu’il a quitté seul l’APP et que aujourd’hui il dirige un grand parti politique. « INA WONA » qui signifie littéralement « c’est possible » est le slogan de campane de SARR inspiré de celui de Obama « yes we can », scandé par un public en délire et convaincu de la sincérité du candidat à être au service de toute la Mauritanie. Le candidat aux élections présidentielles finira son intervention en appelant les mauritaniens à voter massivement pour lui qui incarne le vrai changement.
Après cette brillante communication, le public en effervescence a longuement applaudi, convaincu qu’il est de la pertinence des idées et des arguments développés.
Les représentants des ONG, l’auteur de « L’enfer d’Inal » et d’autres anonymes ont pris, tour à tour, la parole. Sans détours, SARR a répondu à une question sur la candidature de KANE Hamidou Baba. Il a précisé que KANE reste son adversaire politique malgré les affinités qui le lie au vice-président de l’Assemblée nationale.
Hady NDIATH
Chargé de Communication Section AJD/MR France
Source: ajd/mr