La société civile mauritanienne vient de lancer une nouvelle initiative dans le but de mettre fin à la crise née du coup d’état du 6 août.Cette initiative de la société civile a été annoncée ce dimanche matin à Nouakchott au cours d’une conférence de presse tenue au siège de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH).
Le point de presse fut présidé par M.Said Ould Homody, président de cette commission.
Un communiqué de presse avait été lu à cette occasion.
On pouvait y lire : «Inquiètes pour la Mauritanie, en raison de la présente division en deux camps antagonistes de sa classe politique avec tous les dangers potentiels que couve cette situation, un groupe de personnalités, représentant les trois institutions et organisations suivantes, spécialisées dans la protection et la promotion des droits humains : Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) ; Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) ; Forum des Organisations Nationales des Droits Humains (FONADH), ont décidé de constituer un groupe de contact en vue de « conduire une facilitation pour une sortie de crise réelle et définitive ».
Par ailleurs, les initiateurs, après analyse approfondie des contributions des personnalités rencontrées, notamment les chefs de partis politiques et le président de l’assemblée nationale, dans le cadre de sa préparation, des positions de toutes les parties engagées dans la problématique de la crise actuelle et des documents présentés, a estimé, devoir appeler les parties, afin d’aboutir à un consensus, à engager un dialogue autour des propositions suivantes :
libération du Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi pour lui permettre de contribuer avec toutes les parties prenantes à la recherche d’une solution acceptable et définitive ;
organisation d’une rencontre sans exclusive entre toutes les parties prenantes dont l’agenda reste à définir ; retour à l’ordre constitutionnel passant par l’organisation de consultations électorales pour permettre au suffrage universel de jouer son rôle d’arbitre (Présidentielles et Législatives notamment) ;
garantie d’élections transparentes :
par un Gouvernement consensuel de transition ; par une institution électorale nationale aux compétences élargies ;
par l’interdiction aux membres des forces armées et de sécurité en activité, conformément à la loi, d’être candidats à tout poste électif et/ou de manifester leur opinion ou leur choix politique ;
Inviter les partenaires au développement de la Mauritanie à accompagner ce processus.
____________
Source: ani
(M) avomm
Le point de presse fut présidé par M.Said Ould Homody, président de cette commission.
Un communiqué de presse avait été lu à cette occasion.
On pouvait y lire : «Inquiètes pour la Mauritanie, en raison de la présente division en deux camps antagonistes de sa classe politique avec tous les dangers potentiels que couve cette situation, un groupe de personnalités, représentant les trois institutions et organisations suivantes, spécialisées dans la protection et la promotion des droits humains : Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) ; Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) ; Forum des Organisations Nationales des Droits Humains (FONADH), ont décidé de constituer un groupe de contact en vue de « conduire une facilitation pour une sortie de crise réelle et définitive ».
Par ailleurs, les initiateurs, après analyse approfondie des contributions des personnalités rencontrées, notamment les chefs de partis politiques et le président de l’assemblée nationale, dans le cadre de sa préparation, des positions de toutes les parties engagées dans la problématique de la crise actuelle et des documents présentés, a estimé, devoir appeler les parties, afin d’aboutir à un consensus, à engager un dialogue autour des propositions suivantes :
libération du Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi pour lui permettre de contribuer avec toutes les parties prenantes à la recherche d’une solution acceptable et définitive ;
organisation d’une rencontre sans exclusive entre toutes les parties prenantes dont l’agenda reste à définir ; retour à l’ordre constitutionnel passant par l’organisation de consultations électorales pour permettre au suffrage universel de jouer son rôle d’arbitre (Présidentielles et Législatives notamment) ;
garantie d’élections transparentes :
par un Gouvernement consensuel de transition ; par une institution électorale nationale aux compétences élargies ;
par l’interdiction aux membres des forces armées et de sécurité en activité, conformément à la loi, d’être candidats à tout poste électif et/ou de manifester leur opinion ou leur choix politique ;
Inviter les partenaires au développement de la Mauritanie à accompagner ce processus.
____________
Source: ani
(M) avomm