Les sécheresses, les inondations, la fonte des glaces, les ouragans sont aujourd’hui, entre autre, des conséquences des changements climatiques. La rencontre de Nouakchott, qui va regrouper du 14 au 16 octobre 2009 des pays vulnérables d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie, sera une occasion d’adopter une vision commune en vue de la session mondiale de Copenhague 2009.
Le Palais des congrès de la République de Mauritanie abrite ce matin l’ouverture d’un symposium international sur le changement climatique. Un évènement qui sera présidé par son Excellence Mohamed Ould Abdel Aziz, président de la République islamique de la Mauritanie. Une initiative de l’African network of environmental journalists (Anej) parrainée conjointement par le gouvernement de la République de Mauritanie et le Programme des Nations unies pour l’Environnement (Pnue).
Durant trois jours, les participants vont réfléchir et partager sur les arrangements post-Kyoto, en vue de la grande session sur la problématique du changement climatique, qui se déroulera au mois de décembre prochain à Copenhague.
C’est, somme toute, l’enjeu du symposium dont le thème est : « Copenhague 2009, enjeux et perspectives pour les pays d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie. Partager une vision commune des arrangements post-Kyoto ».
Les objectifs prioritaires de cette rencontre sont de 4 ordres. Il s’agit d’abord de créer et de renforcer une dynamique d’opinion entre les continents concernés par le symposium, en vue d’influer sur la future session de Copenhague.
Ensuite, explorer les voies et moyens de soutenir les négociateurs des pays en développement, pour une meilleure prise en compte des intérêts des pays vulnérables. Puis tenter de marquer le contexte évènementiel de la gestion environnementale dans les articulations politiques et stratégiques entre la pauvreté et l’environnement au niveau du pays hôte et partenaire du symposium. Enfin, partager des informations récentes et vulgariser les principales lignes de financement mobilisables.
A cet effet, la participation du Sénégal est très attendue, compte tenu du rôle du président Wade, coordonnateur du volet Environnement du Nepad, mais aussi des projets majeurs panafricanistes à l’image de la Grande muraille verte, dont la présentation aux participants enrichirait le niveau des débats.
Babacar Bachir SANE
Source: lesoleil
Le Palais des congrès de la République de Mauritanie abrite ce matin l’ouverture d’un symposium international sur le changement climatique. Un évènement qui sera présidé par son Excellence Mohamed Ould Abdel Aziz, président de la République islamique de la Mauritanie. Une initiative de l’African network of environmental journalists (Anej) parrainée conjointement par le gouvernement de la République de Mauritanie et le Programme des Nations unies pour l’Environnement (Pnue).
Durant trois jours, les participants vont réfléchir et partager sur les arrangements post-Kyoto, en vue de la grande session sur la problématique du changement climatique, qui se déroulera au mois de décembre prochain à Copenhague.
C’est, somme toute, l’enjeu du symposium dont le thème est : « Copenhague 2009, enjeux et perspectives pour les pays d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie. Partager une vision commune des arrangements post-Kyoto ».
Les objectifs prioritaires de cette rencontre sont de 4 ordres. Il s’agit d’abord de créer et de renforcer une dynamique d’opinion entre les continents concernés par le symposium, en vue d’influer sur la future session de Copenhague.
Ensuite, explorer les voies et moyens de soutenir les négociateurs des pays en développement, pour une meilleure prise en compte des intérêts des pays vulnérables. Puis tenter de marquer le contexte évènementiel de la gestion environnementale dans les articulations politiques et stratégiques entre la pauvreté et l’environnement au niveau du pays hôte et partenaire du symposium. Enfin, partager des informations récentes et vulgariser les principales lignes de financement mobilisables.
A cet effet, la participation du Sénégal est très attendue, compte tenu du rôle du président Wade, coordonnateur du volet Environnement du Nepad, mais aussi des projets majeurs panafricanistes à l’image de la Grande muraille verte, dont la présentation aux participants enrichirait le niveau des débats.
Babacar Bachir SANE
Source: lesoleil