Depuis le 3 août 2005 la Mauritanie vit une période cruciale de son histoire, puisque jamais une occasion ou une possibilité aussi précise ne s’était offerte aux mauritaniens qui pouvait les permettre de voir le bout du tunnel, alors qu’il y’ a à peine quelques mois le pays frôlait le chaos. Mais en même temps, malgré les espoirs nés de ce changement, jamais la situation nationale, sous-régionale et internationale n’est devenue autant dangereuse et préoccupante.
Le climat d’apaisement et de décrispation perceptible en ce moment au plan national, est encore très précaire parce qu’il n’a pas pour fondement la résolution des problèmes fondamentaux auxquels le pays est confronté. L’un de ces problèmes et non le moindre est la question nationale qui représente un obstacle majeur pour l’unité nationale.
Il ne faut pas perdre de vue sur les réels dangers qui pourront menacer le processus en cours et avoir à l’esprit que dans des pays semblables au notre, des transitions prometteuses n’ont pourtant abouti qu’à des catastrophes.
Puisque les difficultés demeures entières, il est du devoir de tous les acteurs de la vie nationale de contribuer à créer les conditions indispensables pour pérenniser ce climat et de veiller à l’application effective de ces conditions.
La proposition de l’Ufp sur la nécessité de la conclusion d’un pacte national et républicain entre tous les partis politiques sans exclusive autour des règles démocratiques minimales comprenant notamment un code de bonne conduite entre acteurs politiques, ainsi que certaines valeurs essentielles communes (l’Islam, l’esclavage, la question nationale, le statut de la femme, le statut de l’armée), participe au renforcement du climat d’apaisement et de décrispation.
Un pays meurtri par tant d’années d’injustices et de violences comme le notre, pour se relever et relever les défis auxquels il fait face doit être dirigé par des hommes et des femmes qui soient à la hauteur des enjeux et des attentes. La situation particulièrement difficile et délicate de notre pays exige donc qu’il soit dirigé par des hommes et femmes honnêtes, qui ont une intégrité morale, intellectuelle irréprochable et une vision claire de la situation actuelle et de l’avenir. Des femmes et des hommes de consensus qui ont à cœur l’intérêt national et qui oeuvreront avec détermination pour l’unité de toutes les composantes nationales dans l’égalité des droits.
L’Ufp qui a toujours mis en avant la défense de l’unité nationale, la justice sociale et qui a toujours prôné la voie du dialogue et du consensus pour résoudre nos difficultés en particulier celle de la coexistence pacifique entre nos différentes communautés nationales et qui est toujours restée fidèle à ces principes en toute circonstance et quelque soit le prix politique à payer, pourra légitimement occuper une place du premier plan pour la conduite des affaires de notre pays.
En décidant aujourd’hui de se porter candidate pour assumer les plus hautes charges de l’Etat, l’Ufp a une fois de plus su prendre la bonne décision qui est à la hauteur de ses ambitions politiques et au moment où notre pays a besoin de refonder son unité nationale sur des bases justes et faire face aux défis mondiaux.
En désignant son Président Mohamed Ould Maouloud candidat à la magistrature suprême de notre pays pour mars 2007, l’Ufp a fat le choix d’un homme dont tous ceux qui l’ont approché ou connu, reconnaissent son intégrité morale, son honnêteté intellectuelle son sens du compromis, du consensus et son expérience politique incontestable qui sont des qualités indispensables pour occuper cette charge suprême.
L’Ufp est déterminé, si le peuple mauritanien lui fait confiance en mars 2007, à mettre en place un gouvernement de large union nationale pour engager notre pays dans la voie du progrès social, économique et culturel, et de trouver une solution consensuelle à la question nationale et apporter des réparation nécessaires et justes à tous les préjudices subis par l’ensemble des victimes de la dictature des années 89-91, et panser les plaies de ceux qui en souffrent encore.
Maréga Baba/France
Le climat d’apaisement et de décrispation perceptible en ce moment au plan national, est encore très précaire parce qu’il n’a pas pour fondement la résolution des problèmes fondamentaux auxquels le pays est confronté. L’un de ces problèmes et non le moindre est la question nationale qui représente un obstacle majeur pour l’unité nationale.
Il ne faut pas perdre de vue sur les réels dangers qui pourront menacer le processus en cours et avoir à l’esprit que dans des pays semblables au notre, des transitions prometteuses n’ont pourtant abouti qu’à des catastrophes.
Puisque les difficultés demeures entières, il est du devoir de tous les acteurs de la vie nationale de contribuer à créer les conditions indispensables pour pérenniser ce climat et de veiller à l’application effective de ces conditions.
La proposition de l’Ufp sur la nécessité de la conclusion d’un pacte national et républicain entre tous les partis politiques sans exclusive autour des règles démocratiques minimales comprenant notamment un code de bonne conduite entre acteurs politiques, ainsi que certaines valeurs essentielles communes (l’Islam, l’esclavage, la question nationale, le statut de la femme, le statut de l’armée), participe au renforcement du climat d’apaisement et de décrispation.
Un pays meurtri par tant d’années d’injustices et de violences comme le notre, pour se relever et relever les défis auxquels il fait face doit être dirigé par des hommes et des femmes qui soient à la hauteur des enjeux et des attentes. La situation particulièrement difficile et délicate de notre pays exige donc qu’il soit dirigé par des hommes et femmes honnêtes, qui ont une intégrité morale, intellectuelle irréprochable et une vision claire de la situation actuelle et de l’avenir. Des femmes et des hommes de consensus qui ont à cœur l’intérêt national et qui oeuvreront avec détermination pour l’unité de toutes les composantes nationales dans l’égalité des droits.
L’Ufp qui a toujours mis en avant la défense de l’unité nationale, la justice sociale et qui a toujours prôné la voie du dialogue et du consensus pour résoudre nos difficultés en particulier celle de la coexistence pacifique entre nos différentes communautés nationales et qui est toujours restée fidèle à ces principes en toute circonstance et quelque soit le prix politique à payer, pourra légitimement occuper une place du premier plan pour la conduite des affaires de notre pays.
En décidant aujourd’hui de se porter candidate pour assumer les plus hautes charges de l’Etat, l’Ufp a une fois de plus su prendre la bonne décision qui est à la hauteur de ses ambitions politiques et au moment où notre pays a besoin de refonder son unité nationale sur des bases justes et faire face aux défis mondiaux.
En désignant son Président Mohamed Ould Maouloud candidat à la magistrature suprême de notre pays pour mars 2007, l’Ufp a fat le choix d’un homme dont tous ceux qui l’ont approché ou connu, reconnaissent son intégrité morale, son honnêteté intellectuelle son sens du compromis, du consensus et son expérience politique incontestable qui sont des qualités indispensables pour occuper cette charge suprême.
L’Ufp est déterminé, si le peuple mauritanien lui fait confiance en mars 2007, à mettre en place un gouvernement de large union nationale pour engager notre pays dans la voie du progrès social, économique et culturel, et de trouver une solution consensuelle à la question nationale et apporter des réparation nécessaires et justes à tous les préjudices subis par l’ensemble des victimes de la dictature des années 89-91, et panser les plaies de ceux qui en souffrent encore.
Maréga Baba/France