Pour le candidat indépendant, le ministère de l’Intérieur refuserait de faire valider ses parrainages.
Le dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle en Mauritanie avait été fixé à la date du 15 mai. Cependant, certains candidats de l’opposition déclarent que le gouvernement, par le biais du ministère de l’Intérieur, exerce des pressions sur les préfets pour qu’ils refusent de valider les signatures nécessaires au parrainage de certains candidats. L’un de ces derniers, le candidat indépendant Dr Hamedine Lamine Kane, dit être dans cette situation.
La cellule de communication de Dr Kane a contacté les médias, parmi lesquels Le Quotidien, pour sensibiliser sur cette situation. La Présidentielle en Mauritanie a été fixée pour le 29 juin prochain. Le Président sortant, Mohamed Ould El Ghazouani, se présente pour un second mandat. Dans sa volonté de se baliser un chemin sans trop d’embûches, il avait déjà fait éliminer son prédécesseur, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui cherchait à se représenter.
Dr Hamedine Lamine Kane, par le biais de son service de communication, estime que «cette tentative flagrante de bloquer la candidature d’un individu légitime est inacceptable. Cela va à l’encontre des valeurs démocratiques que nous, en tant que société, devons protéger et promouvoir. Nous soulignons également que le candidat visé, Dr Hamedine Lamine Kane, a un projet qui suscite un intérêt réel et une adhésion significative de la part de nombreux citoyens mauritaniens».
Ses collaborateurs se désolent d’autant plus que, pour eux, «cette situation est alarmante compte tenu du rôle actif de la Mauritanie en tant que présidente de l’Union africaine. En tant que pays membre de cette organisation et représentant de ses valeurs, il est impératif que la Mauritanie montre l’exemple en matière de démocratie et de respect des droits politiques de ses citoyens». Les partisans du candidat mauritanien espèrent et souhaitent que les autorités administratives de la Mauritanie reculeront face à une grande mobilisation de l’opinion nationale et internationale, et pourront laisser tous les candidats prendre part au suffrage à venir.
Source : Le Quotidien (Sénégal)
Le dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle en Mauritanie avait été fixé à la date du 15 mai. Cependant, certains candidats de l’opposition déclarent que le gouvernement, par le biais du ministère de l’Intérieur, exerce des pressions sur les préfets pour qu’ils refusent de valider les signatures nécessaires au parrainage de certains candidats. L’un de ces derniers, le candidat indépendant Dr Hamedine Lamine Kane, dit être dans cette situation.
La cellule de communication de Dr Kane a contacté les médias, parmi lesquels Le Quotidien, pour sensibiliser sur cette situation. La Présidentielle en Mauritanie a été fixée pour le 29 juin prochain. Le Président sortant, Mohamed Ould El Ghazouani, se présente pour un second mandat. Dans sa volonté de se baliser un chemin sans trop d’embûches, il avait déjà fait éliminer son prédécesseur, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui cherchait à se représenter.
Dr Hamedine Lamine Kane, par le biais de son service de communication, estime que «cette tentative flagrante de bloquer la candidature d’un individu légitime est inacceptable. Cela va à l’encontre des valeurs démocratiques que nous, en tant que société, devons protéger et promouvoir. Nous soulignons également que le candidat visé, Dr Hamedine Lamine Kane, a un projet qui suscite un intérêt réel et une adhésion significative de la part de nombreux citoyens mauritaniens».
Ses collaborateurs se désolent d’autant plus que, pour eux, «cette situation est alarmante compte tenu du rôle actif de la Mauritanie en tant que présidente de l’Union africaine. En tant que pays membre de cette organisation et représentant de ses valeurs, il est impératif que la Mauritanie montre l’exemple en matière de démocratie et de respect des droits politiques de ses citoyens». Les partisans du candidat mauritanien espèrent et souhaitent que les autorités administratives de la Mauritanie reculeront face à une grande mobilisation de l’opinion nationale et internationale, et pourront laisser tous les candidats prendre part au suffrage à venir.
Source : Le Quotidien (Sénégal)