L'Asssociation des Femmes Familles (AFCF) a organisé, en collaboration avec le PASOC, durant les journées du 19 au 25 février, un atelier consacré à la « Formation de formateurs en droits humains et promotion des droits de la femme » auquel ont pris part des oulémas, des parlementaires, ainsi que des représentants d’ONG de défense des droits de la femme.
Cet atelier a permis aux participants de faire le tour de la problématique des droits de la femme et des textes de lois et des conventions traitant de ces droits.
Les séminaristes ont pu faire ressortir les grands axes des actions à entreprendre, nécessairement, pour une meilleure prise en compte des droits de la femme dans la société Mauritanienne.
Ils ont également identifié un certains nombre d’ « obstacles » qui empêchent les femmes mauritaniennes d’avoir accès à leurs droits, notamment les blocages divers au niveau des administrations, les mentalités archaïques, la pauvreté, l’esclavage et la ségrégation négative entre les genres.
Prenant la parole à l’occasion de la clôture de ce séminaire, Mme Aminettou Mint Elmocatr, présidente de l’AFCF, a souligné la nécessité d’unir toutes les synergies au sein des organisations de la société civile pour un plaidoyer en faveur des droits de la femme en associant les oulémas, pour mieux expliquer la nécessité d’accorder à la femme tous ses droits qui dira-t-elle « ne sont en rien contradictoires avec l’Islam », avant d’ajouter, « nous demandons en tant que organisation de lutte pour les droits humains, à ce que le code personnel soit amélioré, car il comprend beaucoup d’insuffisances ».
Les participants aux travaux de cet atelier ont émis un projet de recommandations qui devra être finalisé, prochainement pour être soumis aux députés ayant pris en charge une partie du plaidoyer visant l’application des lois relatives aux droits de la femme, ainsi qui les conventions s’y rapportant.
Source: ANI
Cet atelier a permis aux participants de faire le tour de la problématique des droits de la femme et des textes de lois et des conventions traitant de ces droits.
Les séminaristes ont pu faire ressortir les grands axes des actions à entreprendre, nécessairement, pour une meilleure prise en compte des droits de la femme dans la société Mauritanienne.
Ils ont également identifié un certains nombre d’ « obstacles » qui empêchent les femmes mauritaniennes d’avoir accès à leurs droits, notamment les blocages divers au niveau des administrations, les mentalités archaïques, la pauvreté, l’esclavage et la ségrégation négative entre les genres.
Prenant la parole à l’occasion de la clôture de ce séminaire, Mme Aminettou Mint Elmocatr, présidente de l’AFCF, a souligné la nécessité d’unir toutes les synergies au sein des organisations de la société civile pour un plaidoyer en faveur des droits de la femme en associant les oulémas, pour mieux expliquer la nécessité d’accorder à la femme tous ses droits qui dira-t-elle « ne sont en rien contradictoires avec l’Islam », avant d’ajouter, « nous demandons en tant que organisation de lutte pour les droits humains, à ce que le code personnel soit amélioré, car il comprend beaucoup d’insuffisances ».
Les participants aux travaux de cet atelier ont émis un projet de recommandations qui devra être finalisé, prochainement pour être soumis aux députés ayant pris en charge une partie du plaidoyer visant l’application des lois relatives aux droits de la femme, ainsi qui les conventions s’y rapportant.
Source: ANI