Parmi les personnalités présentes figuraient l'ancien président Bill Clinton, sa femme Hillary, sénatrice de l'État de New York, et Winnie Madikizela-Mandela, ex-femme de l'ancien président de l'Afrique du Sud, Nelson Mandela.
M. Clinton a livré un vibrant plaidoyer sur les leçons exemplaires de Mme Parks. « Jusqu'à la fin, elle aura gardé cette grâce et cette sérénité divine de ceux qui se tiennent debout pour la liberté », a-t-il dit.
Le pasteur noir Jesse Jackson a prononcé une homélie où il a qualifié la défunte de « mère d'une nouvelle Amérique », tandis que la fille de Martin Luther King, la révérende Bernice King, a aussi fait un discours émouvant. La chanteuse soul Aretha Franklin a aussi interprété un chant.
60 000 Américains se recueillent
Les funérailles clôturaient plus d'une semaine de recueillement dans l'Alabama, à Washington et à Detroit en souvenir de Rosa Parks, morte le 24 octobre à 92 ans. Plus de 60 000 Américains sont venus lui rendre hommage au cours de cette période.
Le cercueil de Mme Parks a notamment été exposé dans la rotonde du Capitole, une première pour une femme dans cet endroit, habituellement réservé aux hommes politiques et aux militaires. Sa dépouille a aussi été exposée dans le musée de Detroit jusqu'à mercredi matin.
Le président George W. Bush avait ordonné la mise en berne des drapeaux sur les édifices publics pour la journée de mercredi.
Le 1er décembre 1955, Rosa Parks a inspiré la lutte contre la ségrégation raciale en refusant de céder sa place à un blanc dans un autobus de Montgomery, en Alabama. Arrêtée par la police, elle s'est vu infliger une amende de 14 $.
Un jeune pasteur noir, Martin Luther King, a alors lancé une campagne de protestation et de boycottage contre la société de transport, qui a duré 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême des États-Unis a cassé les lois ségrégationnistes de Montgomery.
Après cet épisode, Rosa Parks, victime de menaces, a dû quitter l'Alabama pour Detroit, au Michigan, où elle a travaillé jusqu'à sa retraite, en 1988.
M. Clinton a livré un vibrant plaidoyer sur les leçons exemplaires de Mme Parks. « Jusqu'à la fin, elle aura gardé cette grâce et cette sérénité divine de ceux qui se tiennent debout pour la liberté », a-t-il dit.
Le pasteur noir Jesse Jackson a prononcé une homélie où il a qualifié la défunte de « mère d'une nouvelle Amérique », tandis que la fille de Martin Luther King, la révérende Bernice King, a aussi fait un discours émouvant. La chanteuse soul Aretha Franklin a aussi interprété un chant.
60 000 Américains se recueillent
Les funérailles clôturaient plus d'une semaine de recueillement dans l'Alabama, à Washington et à Detroit en souvenir de Rosa Parks, morte le 24 octobre à 92 ans. Plus de 60 000 Américains sont venus lui rendre hommage au cours de cette période.
Le cercueil de Mme Parks a notamment été exposé dans la rotonde du Capitole, une première pour une femme dans cet endroit, habituellement réservé aux hommes politiques et aux militaires. Sa dépouille a aussi été exposée dans le musée de Detroit jusqu'à mercredi matin.
Le président George W. Bush avait ordonné la mise en berne des drapeaux sur les édifices publics pour la journée de mercredi.
Le 1er décembre 1955, Rosa Parks a inspiré la lutte contre la ségrégation raciale en refusant de céder sa place à un blanc dans un autobus de Montgomery, en Alabama. Arrêtée par la police, elle s'est vu infliger une amende de 14 $.
Un jeune pasteur noir, Martin Luther King, a alors lancé une campagne de protestation et de boycottage contre la société de transport, qui a duré 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême des États-Unis a cassé les lois ségrégationnistes de Montgomery.
Après cet épisode, Rosa Parks, victime de menaces, a dû quitter l'Alabama pour Detroit, au Michigan, où elle a travaillé jusqu'à sa retraite, en 1988.