J'ai lu la note de notre Kane national et je reproduis ici une VERITE HISTORIQUE qui gise dans son message;
Ce qui est sûr, c’est que :
- Il n’y a aucun changement fondamental en Mauritanie. le système raciste est toujours là : gouvernement toujours tribaliste, avec trois petits négrillons en guise de guirlande ; sur 500 nominations (préfets, gouverneurs etc.), à peine 80 sont noirs, qui sont pourtant une majorité démographique.
- Les déportés moisissent toujours dans des camps de fortune au Sénégal et au Mali, et on évite soigneusement de parler de leur retour organisé et de leur indemnisation.
- Le recensement des électeurs est en cours, mais là encore on est entrain d’exclure des électeurs négro-africains ,car les mauritaniens à l’étranger sont majoritairement des noirs, sans parler des déportés qui sont, bien sûr, tous négro-mauritaniens. Faites le calcul :les déportés qui vivent dans des camps au Sénégal plus ceux du Mali plus les réfugiés dans les continent américain et européen plus les émigrés des cinq continents, et vous voilà édifiés ! Pour l’actuel chef de l’Etat, ils ne doivent pas rentrer maintenant, car leur nombre risque de changer fondamentalement la donne électorale.
Ah! j’ai oublié, il y a un changement ! Il est autorisé d’aboyer en Mauritanie maintenant…mais le chien aboie et la caravane (raciste) passe, et le pétrole coule !
Encore un nouveau poste qu’un nègre n’occupera jamais en RIM :le ministre du pétrole.
J'ajoute simplement a ce commentaire implaccable ce qui suit. Les familles negro-africaines sont encore en deuil. Que nos partis politiques, nos intellectuels et tous ceux et celles qui font la course aux fauteuils le sachent. Le CMJD nous a demontre que la vie d'un negro-africain mauritanien ne la preocupait point. Ce CMJD a confirme qu'il ne se soucit guere du sang de citoyens innocents abattus dans la vallee et ailleurs.
On le comprend encore mieux lorsque le president du CMJD declare n'avoir l'intention de poursuivre Taya ou quand il souhaite bonne retraite a CE DERNIER; celui dont la presidence est d'une infinie douleur; un ex-president dont l'armee a traque des populations paisibles jusque dans leurs lits a coucher ou dans leur conge (ce fut le cas de Dia Ousmane, ce fut le cas du gendarme Dialagui assassine par des hommes qui ont agi sous l'ordre de ce Colonel d'une "grande famille de Chinguetti) . Voila des gens qui voudraient, avec une collaboration "new age", traiter le dossier des tueries par la distribution de pactoles et de fauteuils; Ils veulent immoler a jamais la verite et soumettre les negres mauritaniens a une politique de subordination eternelle.
Mais dans cette aventure douloureuse et cette adversite douloureuse, Mr Kane, je pense que nous ne sommes pas seuls et nous devons, en complicite avec les autres victimes, meme au milieu des contradictions, nous imposer une demarche, une rigueur et surtout AVOIR CONFIANCE en nous meme et avoir confiance aux autres qui sont sinceres a aller jusqu'au bout de nos capacites diverses et complemmentaires.
En toute objectivite, je suis de ceux qui pensent que beaucoup d'erreurs ont ete commises; Et comme si une "main enigmatique" dejouer nos plans, a chaque fois des evenements inattendus se produisent sous notre regard sans que nous n'en tirions le minimum de lecons....................."Rebellion" dans les FLAM, Immobilisme et au CDDHM, Disparition des Cavaliers dont les doleances ne sont pourtant pas satisfaites....................Et en meme temps nous semblons toujours refuser de traiter de telles crises.
Pour les traiter nous devons commencer par assainir la politique par:
Rediger une charte de l'ethique
1 Apprendre a etre tolerant dans la diversite pour mieux civiliser nos rapports
2 Accepter la difference et renoncer definitivement aux invectives
2 Arreter les calculs d'epicier qui gangrene notre ideal politique
3 Renoncer aux intrigues et autres calculs qui sont de nature a detruire l'edifice de l'opposition.
Ces 4 points pourraient figurer dans une charte de l'ethique de l'opposition, celle qui rejette la transition pour barrer la route aux infiltrations et autres querelles personnelles qui, dans le court terme, n'agiront qu'en obstacles au combat.
Creer un cadre de concertation de l'opposition
Creer un cadre de travail (pas de concertation) et d'elaboration de strategies agressives sur le terrain et a l'etranger pour continuer le combat autrement. Bien sur qu'il y 'a la un travail d'identification des structures credibles et d'intellectuels "clean";
Adama NGAIDE dit Ibrahima
Ce qui est sûr, c’est que :
- Il n’y a aucun changement fondamental en Mauritanie. le système raciste est toujours là : gouvernement toujours tribaliste, avec trois petits négrillons en guise de guirlande ; sur 500 nominations (préfets, gouverneurs etc.), à peine 80 sont noirs, qui sont pourtant une majorité démographique.
- Les déportés moisissent toujours dans des camps de fortune au Sénégal et au Mali, et on évite soigneusement de parler de leur retour organisé et de leur indemnisation.
- Le recensement des électeurs est en cours, mais là encore on est entrain d’exclure des électeurs négro-africains ,car les mauritaniens à l’étranger sont majoritairement des noirs, sans parler des déportés qui sont, bien sûr, tous négro-mauritaniens. Faites le calcul :les déportés qui vivent dans des camps au Sénégal plus ceux du Mali plus les réfugiés dans les continent américain et européen plus les émigrés des cinq continents, et vous voilà édifiés ! Pour l’actuel chef de l’Etat, ils ne doivent pas rentrer maintenant, car leur nombre risque de changer fondamentalement la donne électorale.
Ah! j’ai oublié, il y a un changement ! Il est autorisé d’aboyer en Mauritanie maintenant…mais le chien aboie et la caravane (raciste) passe, et le pétrole coule !
Encore un nouveau poste qu’un nègre n’occupera jamais en RIM :le ministre du pétrole.
J'ajoute simplement a ce commentaire implaccable ce qui suit. Les familles negro-africaines sont encore en deuil. Que nos partis politiques, nos intellectuels et tous ceux et celles qui font la course aux fauteuils le sachent. Le CMJD nous a demontre que la vie d'un negro-africain mauritanien ne la preocupait point. Ce CMJD a confirme qu'il ne se soucit guere du sang de citoyens innocents abattus dans la vallee et ailleurs.
On le comprend encore mieux lorsque le president du CMJD declare n'avoir l'intention de poursuivre Taya ou quand il souhaite bonne retraite a CE DERNIER; celui dont la presidence est d'une infinie douleur; un ex-president dont l'armee a traque des populations paisibles jusque dans leurs lits a coucher ou dans leur conge (ce fut le cas de Dia Ousmane, ce fut le cas du gendarme Dialagui assassine par des hommes qui ont agi sous l'ordre de ce Colonel d'une "grande famille de Chinguetti) . Voila des gens qui voudraient, avec une collaboration "new age", traiter le dossier des tueries par la distribution de pactoles et de fauteuils; Ils veulent immoler a jamais la verite et soumettre les negres mauritaniens a une politique de subordination eternelle.
Mais dans cette aventure douloureuse et cette adversite douloureuse, Mr Kane, je pense que nous ne sommes pas seuls et nous devons, en complicite avec les autres victimes, meme au milieu des contradictions, nous imposer une demarche, une rigueur et surtout AVOIR CONFIANCE en nous meme et avoir confiance aux autres qui sont sinceres a aller jusqu'au bout de nos capacites diverses et complemmentaires.
En toute objectivite, je suis de ceux qui pensent que beaucoup d'erreurs ont ete commises; Et comme si une "main enigmatique" dejouer nos plans, a chaque fois des evenements inattendus se produisent sous notre regard sans que nous n'en tirions le minimum de lecons....................."Rebellion" dans les FLAM, Immobilisme et au CDDHM, Disparition des Cavaliers dont les doleances ne sont pourtant pas satisfaites....................Et en meme temps nous semblons toujours refuser de traiter de telles crises.
Pour les traiter nous devons commencer par assainir la politique par:
Rediger une charte de l'ethique
1 Apprendre a etre tolerant dans la diversite pour mieux civiliser nos rapports
2 Accepter la difference et renoncer definitivement aux invectives
2 Arreter les calculs d'epicier qui gangrene notre ideal politique
3 Renoncer aux intrigues et autres calculs qui sont de nature a detruire l'edifice de l'opposition.
Ces 4 points pourraient figurer dans une charte de l'ethique de l'opposition, celle qui rejette la transition pour barrer la route aux infiltrations et autres querelles personnelles qui, dans le court terme, n'agiront qu'en obstacles au combat.
Creer un cadre de concertation de l'opposition
Creer un cadre de travail (pas de concertation) et d'elaboration de strategies agressives sur le terrain et a l'etranger pour continuer le combat autrement. Bien sur qu'il y 'a la un travail d'identification des structures credibles et d'intellectuels "clean";
Adama NGAIDE dit Ibrahima