Toutefois, ce ne sont pas des nervis bleus-blancs-rouges qui agressent, mais bien malheureusement des jeunes d'origine maghrébines, qui agissent contre notre frère,
plutot que de s'allier à lui afin de faire cesser cette situation et lutter pour le respect des droits de tous les Hommes au pays du saucisson et des bouchons qui sautent.
Le Samedi 21 Janvier 2006, après avoir fini son travail d'agent de sécurité, mon frère Diko, un négro-mauritanien, rentre chez lui tranquillement vers 23 h 00 en pensant passer une bonne soirée et un bon dimanche. Malheureusement il eut la surprise de trouver quatre jeunes magrhébins qui lui bloquent l'accès son immeuble et l'empêchent de regagner son domicile. Il a aussitôt appelé les forces de l'ordre avec son portable. Avant l'arrivée des gendarmes, trois gars se jettent sur lui en l'insultant de "SALE NEGRE, ON VA TE FAIRE TA FETE. RETOURNE RECOLTER DU COTON EN AFRIQUE AU LIEU DE FAIRE LA SURVEILLANCE EN FRANCE".
Comprenez-le, il s'est défendu, mais trois contre un, c'est difficile et il a perdu deux dents. Il a été transporté d'urgence à l'hôpital par les pompiers et a déposé plainte le lendemain sous le n° PVNO 159.06. Je l'ai appelé hiers, inutile de vous dire qu'il était dans un état lamentable. Il exprime une colère rentrée, qui tot ou tard, ressortira comme un volcan de révolte contre cette société de merde, ou nous sommes toujours au fonds de la câle, enchainé à un destin de souffre douleur, un destin que nous ne voulons plus subir. Ni par les uns ni par les autres.
Cette histoire, je ne vous la raconte pas pour stigmatiser les jeunes de telles ou telle origine, mais aussi pour dire qu'il ne faut pas tomber dans le piège tendu de manière évidente, pour nous désunir. Les quatres connards coupâble de cela, alors là je le dit c'est vraiment de la racaille. Et pour une fois je persiste et signe.
Je souhaite tout simplement qu'un travail "intercommunautaire" soit fait, afin d'expliquer à nos jeunes que nous sommes tous des victimes du système et non pas des ennemis entre nous.
Mariam SERI SIDIBE
plutot que de s'allier à lui afin de faire cesser cette situation et lutter pour le respect des droits de tous les Hommes au pays du saucisson et des bouchons qui sautent.
Le Samedi 21 Janvier 2006, après avoir fini son travail d'agent de sécurité, mon frère Diko, un négro-mauritanien, rentre chez lui tranquillement vers 23 h 00 en pensant passer une bonne soirée et un bon dimanche. Malheureusement il eut la surprise de trouver quatre jeunes magrhébins qui lui bloquent l'accès son immeuble et l'empêchent de regagner son domicile. Il a aussitôt appelé les forces de l'ordre avec son portable. Avant l'arrivée des gendarmes, trois gars se jettent sur lui en l'insultant de "SALE NEGRE, ON VA TE FAIRE TA FETE. RETOURNE RECOLTER DU COTON EN AFRIQUE AU LIEU DE FAIRE LA SURVEILLANCE EN FRANCE".
Comprenez-le, il s'est défendu, mais trois contre un, c'est difficile et il a perdu deux dents. Il a été transporté d'urgence à l'hôpital par les pompiers et a déposé plainte le lendemain sous le n° PVNO 159.06. Je l'ai appelé hiers, inutile de vous dire qu'il était dans un état lamentable. Il exprime une colère rentrée, qui tot ou tard, ressortira comme un volcan de révolte contre cette société de merde, ou nous sommes toujours au fonds de la câle, enchainé à un destin de souffre douleur, un destin que nous ne voulons plus subir. Ni par les uns ni par les autres.
Cette histoire, je ne vous la raconte pas pour stigmatiser les jeunes de telles ou telle origine, mais aussi pour dire qu'il ne faut pas tomber dans le piège tendu de manière évidente, pour nous désunir. Les quatres connards coupâble de cela, alors là je le dit c'est vraiment de la racaille. Et pour une fois je persiste et signe.
Je souhaite tout simplement qu'un travail "intercommunautaire" soit fait, afin d'expliquer à nos jeunes que nous sommes tous des victimes du système et non pas des ennemis entre nous.
Mariam SERI SIDIBE