Au cours d’une conférence de presse conjointe organisée par le FNDD et le RFD, tenue au siège de ce dernier, les leaders de ces deux coalitions, respectivement Mohamed Jemil Ould Mansour et Ahmed Ould Daddah, ont tour à tour souligné que depuis 48 heures un accord non écrit a été obtenu sur les principaux points objets de discussions mais sur lequel l’autre partie serait revenu.
Prenant la parole le premier, Jemil Mansour, président en exercice du FNDD dira que «cette conférence de presse qui intervient après quelques jours de silence de notre part parce que nous avons estimé qu’il faut donner plus de chance à ce dialogue organisé à Dakar pour aboutir à un résultat positif. Nous voudrions avec cette conférence de presse, expliquer notre attitude que nous sommes toujours partant pour un dialogue constructif, positif.»
De son côté, Ahmed Ould Daddah précisera que «cet accord non écrit a été obtenu entre, naturellement, les partenaires mauritaniens, (c’est-à-dire) les trois pôles comme on les appelle, en présence de la communauté internationale et de la presse à Dakar. Cet accord non écrit a été exposé par les trois partenaires mauritaniens au président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, en présence des partenaires et des représentants de la communauté internationale.
Depuis 48H on sent, peut-être, un certain regret, une certaine volonté de retour en arrière sur certains points importants de ce projet d’accord. Je dis projet parce qu’il n’a pas été signé mais je confirme qu’il a été accepté verbalement par l’ensemble des protagonistes mauritaniens. Donc on sent depuis 48H, un certain regret, une certaine volonté de retour en arrière sur des points-clefs de cet accord et les deux délégations du FNDD et du RFD essaient depuis 48H avec patience, détermination mais aussi avec beaucoup de savoir faire de sauvegarder cet accord et j’espère qu’ils y parviendront parce qu’il va de soi qu’un accord qu’un accord est la seule issue positive de la crise grave, très grave que nous vivons depuis pas mal de temps et que comme le disent les partenaires extérieurs, notamment le Groupe de contact international sur la Mauritanie dans sa déclaration du 20 février dernier, seul un accord consensuel permettra de sortir le pays de la crise d’extrême gravité dans laquelle il se débat. Et tout accord, toute solution non consensuelle, non seulement est inacceptable mais n’a pas d’avenir.»
Source: ANI
Prenant la parole le premier, Jemil Mansour, président en exercice du FNDD dira que «cette conférence de presse qui intervient après quelques jours de silence de notre part parce que nous avons estimé qu’il faut donner plus de chance à ce dialogue organisé à Dakar pour aboutir à un résultat positif. Nous voudrions avec cette conférence de presse, expliquer notre attitude que nous sommes toujours partant pour un dialogue constructif, positif.»
De son côté, Ahmed Ould Daddah précisera que «cet accord non écrit a été obtenu entre, naturellement, les partenaires mauritaniens, (c’est-à-dire) les trois pôles comme on les appelle, en présence de la communauté internationale et de la presse à Dakar. Cet accord non écrit a été exposé par les trois partenaires mauritaniens au président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, en présence des partenaires et des représentants de la communauté internationale.
Depuis 48H on sent, peut-être, un certain regret, une certaine volonté de retour en arrière sur certains points importants de ce projet d’accord. Je dis projet parce qu’il n’a pas été signé mais je confirme qu’il a été accepté verbalement par l’ensemble des protagonistes mauritaniens. Donc on sent depuis 48H, un certain regret, une certaine volonté de retour en arrière sur des points-clefs de cet accord et les deux délégations du FNDD et du RFD essaient depuis 48H avec patience, détermination mais aussi avec beaucoup de savoir faire de sauvegarder cet accord et j’espère qu’ils y parviendront parce qu’il va de soi qu’un accord qu’un accord est la seule issue positive de la crise grave, très grave que nous vivons depuis pas mal de temps et que comme le disent les partenaires extérieurs, notamment le Groupe de contact international sur la Mauritanie dans sa déclaration du 20 février dernier, seul un accord consensuel permettra de sortir le pays de la crise d’extrême gravité dans laquelle il se débat. Et tout accord, toute solution non consensuelle, non seulement est inacceptable mais n’a pas d’avenir.»
Source: ANI