Le bureau provisoire des FLAM/RENOVATION a tenu une importante conférence de presse ce vendredi 17 février 2006 à Paris, au cours de laquelle il a expliqué longuement les raisons de la création de ce mouvement.
Dans son exposé liminaire le président du bureau provisoire, Monsieur BA Mamadou Bocar a rappelé les conditions qui ont présidé à la création des FLAM en 1983 à Nouakchott. La répression qui s’est abattue par la suite sur les principaux animateurs du mouvement dont plusieurs seront arrêtés et emprisonnés (certains y laisseront leur vie à cause des mauvais traitements) conduira d’autres à prendre le chemin de l’exil.
C’est fondamentalement ce qui explique la présence de ce mouvement à l’extérieur du pays.
Au fil des années avec la multiplication des événements malheureux entre 1987 et 1992 (déportations, purges au sein de l’armée assassinats …), le mouvement s’est radicalisé, allant jusqu’à opter pour la lutte armée comme mode dérèglement du conflit qui l’oppose au pouvoir.
Or, le 3 août 2005 il s’est produit un changement à la tête de l’état .La junte militaire loin satisfaire les revendications des FLAM a libéré la parole et mit un terme à la répression, du moins pour l’instant.
Nous sommes donc conscient ajoute , Mr BA des insuffisances de l’existant et mieux ressentons énormément de frustrations que les problèmes fondamentaux soient ignorés par le CMJD.
Mais étant donné que le mouvement s’était engagé solennellement le 14 août 2005, avec la coalition des Forces Patriotiques dans la déclaration de Dakar à renoncer à la lutte armée et que cette option n’a pas été remise en cause à l’occasion du congrès de Cincinnati, plus rien ne justifiait à nos yeux le maintien de l’organisation en exil. Nous avons donc pris la décision difficile de la rupture pour poursuivre le combat à l’intérieur et à l’extérieur du pays avec les forces progressistes pour le mieux être de nos populations et l’avènement d’une société plus juste , plus égalitaire et réellement démocratique.
Après cet exposé BA Mamadou Bocar et ses collaborateurs ont répondu aux questions des journalistes.
Mr BA a ensuite accordé une série d’interview aux journalistes présents.
La conférence s’est poursuivie par un débat nourri, contradictoire mais courtois qui a pris à fin à 17h30.
Pour le bureau provisoire : Le Porte Parole : Boubacar Tidiane Diagana.
Dans son exposé liminaire le président du bureau provisoire, Monsieur BA Mamadou Bocar a rappelé les conditions qui ont présidé à la création des FLAM en 1983 à Nouakchott. La répression qui s’est abattue par la suite sur les principaux animateurs du mouvement dont plusieurs seront arrêtés et emprisonnés (certains y laisseront leur vie à cause des mauvais traitements) conduira d’autres à prendre le chemin de l’exil.
C’est fondamentalement ce qui explique la présence de ce mouvement à l’extérieur du pays.
Au fil des années avec la multiplication des événements malheureux entre 1987 et 1992 (déportations, purges au sein de l’armée assassinats …), le mouvement s’est radicalisé, allant jusqu’à opter pour la lutte armée comme mode dérèglement du conflit qui l’oppose au pouvoir.
Or, le 3 août 2005 il s’est produit un changement à la tête de l’état .La junte militaire loin satisfaire les revendications des FLAM a libéré la parole et mit un terme à la répression, du moins pour l’instant.
Nous sommes donc conscient ajoute , Mr BA des insuffisances de l’existant et mieux ressentons énormément de frustrations que les problèmes fondamentaux soient ignorés par le CMJD.
Mais étant donné que le mouvement s’était engagé solennellement le 14 août 2005, avec la coalition des Forces Patriotiques dans la déclaration de Dakar à renoncer à la lutte armée et que cette option n’a pas été remise en cause à l’occasion du congrès de Cincinnati, plus rien ne justifiait à nos yeux le maintien de l’organisation en exil. Nous avons donc pris la décision difficile de la rupture pour poursuivre le combat à l’intérieur et à l’extérieur du pays avec les forces progressistes pour le mieux être de nos populations et l’avènement d’une société plus juste , plus égalitaire et réellement démocratique.
Après cet exposé BA Mamadou Bocar et ses collaborateurs ont répondu aux questions des journalistes.
Mr BA a ensuite accordé une série d’interview aux journalistes présents.
La conférence s’est poursuivie par un débat nourri, contradictoire mais courtois qui a pris à fin à 17h30.
Pour le bureau provisoire : Le Porte Parole : Boubacar Tidiane Diagana.