Une dette, en principe, est faite pour être remboursée, certainement pas pour embellir vos dernières acquisitions immobilières ou financer vos dernières voitures « made in Japan ». Avez-vous demandé l'avis des enfants des KEBBAS ? Savez-vous au moins que les fonds que gére le FMI sont le fruit de la sueur des contribuables des pays occidentaux ?
Vous vous êtes comportés comme des vautours, des hyènes, des chacals de la plaine du « SERENGHETTI », reniflant l'odeur nauséabonde des charniers, à la recherche des miettes pour gonfler vos comptes bancaires, par analogie aux charniers d'INNAL, de JREIDA, de WALATA et de la valleé du fleuve SENEGAL que vous refusez de voir.
Nous attendons plus de nos hommes politiques que de prostituer leur âme pour plaire à la bande de passage du CMJD. Une bande, dont les « réformettes » sélectives ont fait évaporer tous leurs crédits.
Il est temps que nos partis politiques, nos leaders politiques se ressaisissent et posent les vrais problèmes qui risquent d'hypothéquer l'avenir du pays : exiger des comptes aux gouvernements précedents, réclamer le retour organisé des déportés le plus vite possible, éradiquer définivement l'esclavage et se positionner clairement sur le réglement judiciaire des centaines d'auteurs du génocide en Mauritanie.
Les enfants dont la vie des pères a été arrachée, les enfants dont les parents ont été déportés, ont grandi. Ne dites pas, s'ils décident de réclamer JUSTICE par d'autres moyens, que vous n'avez pas été prévenus.
Naturellement à titre personnel,
Salam
Oumar Sall
Vous vous êtes comportés comme des vautours, des hyènes, des chacals de la plaine du « SERENGHETTI », reniflant l'odeur nauséabonde des charniers, à la recherche des miettes pour gonfler vos comptes bancaires, par analogie aux charniers d'INNAL, de JREIDA, de WALATA et de la valleé du fleuve SENEGAL que vous refusez de voir.
Nous attendons plus de nos hommes politiques que de prostituer leur âme pour plaire à la bande de passage du CMJD. Une bande, dont les « réformettes » sélectives ont fait évaporer tous leurs crédits.
Il est temps que nos partis politiques, nos leaders politiques se ressaisissent et posent les vrais problèmes qui risquent d'hypothéquer l'avenir du pays : exiger des comptes aux gouvernements précedents, réclamer le retour organisé des déportés le plus vite possible, éradiquer définivement l'esclavage et se positionner clairement sur le réglement judiciaire des centaines d'auteurs du génocide en Mauritanie.
Les enfants dont la vie des pères a été arrachée, les enfants dont les parents ont été déportés, ont grandi. Ne dites pas, s'ils décident de réclamer JUSTICE par d'autres moyens, que vous n'avez pas été prévenus.
Naturellement à titre personnel,
Salam
Oumar Sall