Le projet de construction d’un tramway à Nouakchott avec une extension à Nouadhibou par la Compagnie Arab Contractors s’inscrit dans une volonté du gouvernement de Ould Diay de résoudre la mobilité des transports dans les deux plus grandes villes peuplées du pays.
Dans cette phase actuelle de faisabilité technique et de procédures entre l’Etat mauritanien et son partenaire arabe pour la réalisation d’un si grand projet ambitieux, le ministère de l’Equipement et des Transports constitue une pièce importante dans la co-construction du tramway. L’idée de résoudre la mobilité des transports à Nouakchott, une capitale surpeuplée avec une circulation dense entraînant des embouteillages fréquents.
Une capitale avec des périphéries qui pourraient bénéficier de ce nouveau moyen de transport public. L’extension du réseau dans la capitale économique permettra de relier les deux villes et de résoudre le manque de transport en commun à Nouadhibou dont l’attractivité industrielle n’est plus à démontrer.
Cependant les observateurs s’interrogent sur un pays qui n’a même pas une autoroute depuis 64 ans et ambitionne un réseau de tramways dont les lignes nécessitent souvent des travaux d’infrastructures complexes. Et puis les coûts sont élevés et les délais et les retards quasi imprévisibles. Pour les Mauritaniens l’impact environnemental est aussi important.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Dans cette phase actuelle de faisabilité technique et de procédures entre l’Etat mauritanien et son partenaire arabe pour la réalisation d’un si grand projet ambitieux, le ministère de l’Equipement et des Transports constitue une pièce importante dans la co-construction du tramway. L’idée de résoudre la mobilité des transports à Nouakchott, une capitale surpeuplée avec une circulation dense entraînant des embouteillages fréquents.
Une capitale avec des périphéries qui pourraient bénéficier de ce nouveau moyen de transport public. L’extension du réseau dans la capitale économique permettra de relier les deux villes et de résoudre le manque de transport en commun à Nouadhibou dont l’attractivité industrielle n’est plus à démontrer.
Cependant les observateurs s’interrogent sur un pays qui n’a même pas une autoroute depuis 64 ans et ambitionne un réseau de tramways dont les lignes nécessitent souvent des travaux d’infrastructures complexes. Et puis les coûts sont élevés et les délais et les retards quasi imprévisibles. Pour les Mauritaniens l’impact environnemental est aussi important.
Cherif Kane
Source : Kassataya