En déclinant les grandes lignes de la politique de la jeunesse pour 2024-2026, le gouvernement mauritanien laisse penser au niveau du calendrier un second mandat pour Ould Ghazouani en 2024.Le chef de l’Etat compte sur la réussite de la stratégie de croissance accélérée et de prospérité partagée pour booster l’emploi des jeunes.
Mais cette ambition du gouvernement de Ould Bilal est conditionnée par la croissance accélérée du pays qui est passée de plus de 2 pour cent en2021 à plus de 5 pour cent en 2022. Et c’est l’inflation qui reste la bête noire du reégime avec plus de 9 pour cent en 2022 dans un contexte international de hausse des prix des produits de base qui impacte sur les ménages sans revenus.
Cette résilience des Mauritaniens a un prix. L’Etat a dépensé en 2023 près de 770 milliards d’ouguiyas pour réduire la pauvreté. En 2024 ce qui a changé c’est l’émergence de fonctionnaires millionnaires à moins de cinq mois de la fin du quinquennat. Une politique de la jeunesse qui dépend de la santé économique est aléatoire.
D’ici 2030, les mesures en attendant pour faire face au chômage de ces milliers de jeunes qui séjournent illégalement aux Etats-Unis et d’autres en Europe appelés à revenir prochainement au bercail dans le cadre d’un accor avec l’UE, un jeune sur trois en quête d’emploi sur le sol national, l’objectif de professionnalisation, de promotion de l’engagement civique et politique, constitue de la poudre aux yeux avec des exécutants qui s’autocongratulent rapidement sans résultats concrets c’est-à-dire sans impact considérable des milliards sur la pauvreté. En parlant de loisirs de sports sans créer un environnement favorable à l’épanouissement de la jeunesse dans un pays fortement influencé par les barbus qui confondent modernité et islam et les tribus qui partagent le gâteau la Mauritanie depuis 1960.
Cherif Kane
Source : kassataya
Mais cette ambition du gouvernement de Ould Bilal est conditionnée par la croissance accélérée du pays qui est passée de plus de 2 pour cent en2021 à plus de 5 pour cent en 2022. Et c’est l’inflation qui reste la bête noire du reégime avec plus de 9 pour cent en 2022 dans un contexte international de hausse des prix des produits de base qui impacte sur les ménages sans revenus.
Cette résilience des Mauritaniens a un prix. L’Etat a dépensé en 2023 près de 770 milliards d’ouguiyas pour réduire la pauvreté. En 2024 ce qui a changé c’est l’émergence de fonctionnaires millionnaires à moins de cinq mois de la fin du quinquennat. Une politique de la jeunesse qui dépend de la santé économique est aléatoire.
D’ici 2030, les mesures en attendant pour faire face au chômage de ces milliers de jeunes qui séjournent illégalement aux Etats-Unis et d’autres en Europe appelés à revenir prochainement au bercail dans le cadre d’un accor avec l’UE, un jeune sur trois en quête d’emploi sur le sol national, l’objectif de professionnalisation, de promotion de l’engagement civique et politique, constitue de la poudre aux yeux avec des exécutants qui s’autocongratulent rapidement sans résultats concrets c’est-à-dire sans impact considérable des milliards sur la pauvreté. En parlant de loisirs de sports sans créer un environnement favorable à l’épanouissement de la jeunesse dans un pays fortement influencé par les barbus qui confondent modernité et islam et les tribus qui partagent le gâteau la Mauritanie depuis 1960.
Cherif Kane
Source : kassataya