Les enseignants mauritaniens sont victimes d’injustice dans le domaine foncier depuis des décennies. L’accession au pouvoir du président Ould Ghazouani en 2019 n’a rien changé malgré les multiples grèves des concernés pour améliorer leurs conditions de vie.
C’est une situation injuste a laquelle sont confrontés les enseignants par rapport aux professeurs d’université ou aux magistrats et greffiers, aux hauts fonctionnaires et aux notables. La liste est longue. C’est un paradoxe mauritanien qui perdure et révélateur d’une politique de l’habitat à deux vitesses et un manque de considération à une profession qui est à la base de l’éducation en Mauritanie. Cette exclusion au foncier est une anomalie dans un pays qui recèle suffisamment de terrains à Nouakchott et à l’intérieur du pays pour les milliers d’enseignants du Fondamental et du secondaire.
L’amélioration des conditions de travail va de pair avec l’accession à la propriété de tous les enseignants. Cette négligence d’une des catégories professionnelles importantes de l’éducation nationale, est un scandale pour un chef de l’Etat qui fait de l’école républicaine son principal cheval de bataille. A cinq mois de la présidentielle c’est un échec du quinquennat et un cri d’alarme des observateurs pour combler une injustice.
Cherif Kane
Source : Kassataya
C’est une situation injuste a laquelle sont confrontés les enseignants par rapport aux professeurs d’université ou aux magistrats et greffiers, aux hauts fonctionnaires et aux notables. La liste est longue. C’est un paradoxe mauritanien qui perdure et révélateur d’une politique de l’habitat à deux vitesses et un manque de considération à une profession qui est à la base de l’éducation en Mauritanie. Cette exclusion au foncier est une anomalie dans un pays qui recèle suffisamment de terrains à Nouakchott et à l’intérieur du pays pour les milliers d’enseignants du Fondamental et du secondaire.
L’amélioration des conditions de travail va de pair avec l’accession à la propriété de tous les enseignants. Cette négligence d’une des catégories professionnelles importantes de l’éducation nationale, est un scandale pour un chef de l’Etat qui fait de l’école républicaine son principal cheval de bataille. A cinq mois de la présidentielle c’est un échec du quinquennat et un cri d’alarme des observateurs pour combler une injustice.
Cherif Kane
Source : Kassataya