Nouakchott - Le ministre de l'intérieur et de la décentralisation, M. Mohamed Ould Boilil, a insisté sur la nécessité que les éléments de la Protection civile consentent davantage de sacrifice en faveur du pays et se comportent avec responsabilité et patriotisme vis-à-vis des vies et biens des citoyens.
Le ministre qui rendait visite dimanche à la Direction de la Protection civile à Nouakchott a réaffirmé la sincérité de la volonté des pouvoirs publics de mettre les éléments de ce corps dans des conditions juridiques, matérielles et morales leur permettant " d'accomplir convenablement leur noble mission ", celle de protéger les vies et les biens des citoyens contre les sinistres.
"La disponibilité de tous moyens ne sera suffisant ni efficace que si vous êtes convaincus de la lourdeur de votre mission et vous ressentez, en tant que soldats de votre pays, la nécessité d'accomplir le devoir national quel qu'en soient les conditions ", a-t-il ajouté.
M. Mohamed Ould Boilil a considéré que les tâches incombant à la Protection civile doivent être plus nombreuses que celles exercées aujourd'hui et qu'elles doivent être présentes et associées à l'élaboration de tous les programmes et plans urbains et de développement.
Il s'est engagé à disponibiliser et à diversifier les moyens et la formation et à oeuvrer pour faire de la Protection civile une unité autonome par ses compétences et ses moyens tout en renforçant sa présence et l'efficacité de son action dans l'ensemble du territoire national.
Le ministre a souligné que la disponibilisation des moyens sera toutefois accompagnée de la plus grande fermeté, transparence et contrôle dans leur gestion.
Il a écouté les problèmes soulevés au cours de la visite et qui ont axé sur les ressources matérielles et humaines et la mise en place d'un arsenal juridique protégeant les éléments de la Protection civile et assurant leur rôle dans la vie civile.
Créée en 1969, la Protection civile compte actuellement 247 éléments alors que la couverture du pays requiert l'existence de 3.000 éléments, selon des experts en la matière.
Le ministre était accompagné pendant la visite par le secrétaire général de ce département, M. Mohamed El Hadi Massina.
AMI
Le ministre qui rendait visite dimanche à la Direction de la Protection civile à Nouakchott a réaffirmé la sincérité de la volonté des pouvoirs publics de mettre les éléments de ce corps dans des conditions juridiques, matérielles et morales leur permettant " d'accomplir convenablement leur noble mission ", celle de protéger les vies et les biens des citoyens contre les sinistres.
"La disponibilité de tous moyens ne sera suffisant ni efficace que si vous êtes convaincus de la lourdeur de votre mission et vous ressentez, en tant que soldats de votre pays, la nécessité d'accomplir le devoir national quel qu'en soient les conditions ", a-t-il ajouté.
M. Mohamed Ould Boilil a considéré que les tâches incombant à la Protection civile doivent être plus nombreuses que celles exercées aujourd'hui et qu'elles doivent être présentes et associées à l'élaboration de tous les programmes et plans urbains et de développement.
Il s'est engagé à disponibiliser et à diversifier les moyens et la formation et à oeuvrer pour faire de la Protection civile une unité autonome par ses compétences et ses moyens tout en renforçant sa présence et l'efficacité de son action dans l'ensemble du territoire national.
Le ministre a souligné que la disponibilisation des moyens sera toutefois accompagnée de la plus grande fermeté, transparence et contrôle dans leur gestion.
Il a écouté les problèmes soulevés au cours de la visite et qui ont axé sur les ressources matérielles et humaines et la mise en place d'un arsenal juridique protégeant les éléments de la Protection civile et assurant leur rôle dans la vie civile.
Créée en 1969, la Protection civile compte actuellement 247 éléments alors que la couverture du pays requiert l'existence de 3.000 éléments, selon des experts en la matière.
Le ministre était accompagné pendant la visite par le secrétaire général de ce département, M. Mohamed El Hadi Massina.
AMI