Pana : Le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), une alliance de 12 partis politiques opposée au coup d’état militaire du 12 août en Mauritanie, a réitéré son exigence de rétablissement dans ses prérogatives du président renversé, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, dimanche au cours d’une conférence de presse.
S’exprimant en réponse à une question relative à la position du FNDD par rapport à une initiative française pour une sortie de crise en Mauritanie, Mohamed Ould Maouloud, président de l’Union des forces de progrès (UFP) et haut responsable du FNDD, a soutenu que toute solution de sortie de crise en Mauritanie passe obligatoirement par le respect de la légalité constitutionnelle, du rejet du coup d’état et du fait accompli.
Il a par ailleurs rappelé la position de l’Etat français, exprimé au plus haut niveau par le président Nicols Sarkozy, qui refuse toute idée d’organisation d’une nouvelle élection présidentielle en Mauritanie.
Une mission française, conduite par Romain Sorman, conseiller diplomatique à la cellule diplomatique de l’Elysée pour l’Afrique subsaharienne, porteuse d’une initiative de sortie de crise en Mauritanie, séjourne actuellement à Nouakchott.
Elle a rencontré le président renversé, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le chef de la junte au pouvoir, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, le chef institutionnel de l’opposition, Ahmed Ould Daddah, et devrait poursuivre ses contacts pour écouter le point de vue de tous les protagonistes de la crise politique et institutionnelle qui prévaut en Mauritanie depuis plusieurs mois, dans le but de dégager une voie de sortie de crise.
Pana
S’exprimant en réponse à une question relative à la position du FNDD par rapport à une initiative française pour une sortie de crise en Mauritanie, Mohamed Ould Maouloud, président de l’Union des forces de progrès (UFP) et haut responsable du FNDD, a soutenu que toute solution de sortie de crise en Mauritanie passe obligatoirement par le respect de la légalité constitutionnelle, du rejet du coup d’état et du fait accompli.
Il a par ailleurs rappelé la position de l’Etat français, exprimé au plus haut niveau par le président Nicols Sarkozy, qui refuse toute idée d’organisation d’une nouvelle élection présidentielle en Mauritanie.
Une mission française, conduite par Romain Sorman, conseiller diplomatique à la cellule diplomatique de l’Elysée pour l’Afrique subsaharienne, porteuse d’une initiative de sortie de crise en Mauritanie, séjourne actuellement à Nouakchott.
Elle a rencontré le président renversé, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le chef de la junte au pouvoir, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, le chef institutionnel de l’opposition, Ahmed Ould Daddah, et devrait poursuivre ses contacts pour écouter le point de vue de tous les protagonistes de la crise politique et institutionnelle qui prévaut en Mauritanie depuis plusieurs mois, dans le but de dégager une voie de sortie de crise.
Pana