L’ex-président ivoirien, Henri Konan Bédié, a tiré sa révérence ce mardi 1er août 2023 à la Polyclinique internationale Sainte Marie (Pisam) de Cocody, dans l’Est d’Abidjan, à l’âge de 89 ans.
Selon des sources proches de l’ex-chef d’Etat ivoirien, il a été évacué d’urgence depuis Daoukro, son village natal, dans l’Est du pays, par hélicoptère vers la Polyclinique internationale Sainte Marie (Pisam), mais il n’a pu survivre de son mal.
Henri Konan Bédié, surnommé « HKB », a succédé à feu Félix Houphouët-Boigny, le premier président de la République du 7 décembre 1993 au 24 décembre 1999. Il conduira ensuite le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), créé par le « Père » de l’indépendance du pays.
Président de l’Assemblée nationale à partir de 1980, il devient ainsi chef de l’État à la mort de Félix Houphouët-Boigny, en 1993. Élu deux ans plus tard lors de l’élection présidentielle, il est renversé par un coup d’État mené par le général Robert Guéï en 1999.
Soutenu par le PDCI, dont il est président, il est à nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2010, où il arrive troisième du premier tour ; il se rallie alors à la candidature d’Alassane Ouattara, qui sort vainqueur de la crise de 2010-2011.
Il soutient Alassane Ouattara pour un deuxième mandat en 2015. Plus tard, le PDCI refuse d’intégrer le Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), parti présidé par l’actuel chef de l’Etat ivoirien.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)
Selon des sources proches de l’ex-chef d’Etat ivoirien, il a été évacué d’urgence depuis Daoukro, son village natal, dans l’Est du pays, par hélicoptère vers la Polyclinique internationale Sainte Marie (Pisam), mais il n’a pu survivre de son mal.
Henri Konan Bédié, surnommé « HKB », a succédé à feu Félix Houphouët-Boigny, le premier président de la République du 7 décembre 1993 au 24 décembre 1999. Il conduira ensuite le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), créé par le « Père » de l’indépendance du pays.
Président de l’Assemblée nationale à partir de 1980, il devient ainsi chef de l’État à la mort de Félix Houphouët-Boigny, en 1993. Élu deux ans plus tard lors de l’élection présidentielle, il est renversé par un coup d’État mené par le général Robert Guéï en 1999.
Soutenu par le PDCI, dont il est président, il est à nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2010, où il arrive troisième du premier tour ; il se rallie alors à la candidature d’Alassane Ouattara, qui sort vainqueur de la crise de 2010-2011.
Il soutient Alassane Ouattara pour un deuxième mandat en 2015. Plus tard, le PDCI refuse d’intégrer le Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), parti présidé par l’actuel chef de l’Etat ivoirien.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)