Mr Beddy Ould Ebnou
Projecteurs de l'AVOMM vous propose un entretien avec M. Beddy Ould Ebnou.
Poète-écrivain engagé, militant convaincu, il n'a cessé d'irriter et de déranger le pouvoir déchu de Ould Taya. Son engagement lui a valu tortures et prison.
Son exil en Europe a été aussi, pour lui, un autre combat : Violemment agressé dans son domicile Parisien, par un agent à la solde du pouvoir, il était aussi confronté à ceux qui l'ont combattus avec le plus de détermination et qui, paradoxalement, n'étaient pas les hommes du système, mais des opposants.
Toutes ces contraintes n'ont jamais entamé sa détermination. Il s'est toujours relevé et a repris le combat parce qu'il était convaincu que son pays méritait des combats plus sérieux, que les calculs politiciens et les règlements de comptes.
Sa persévérance lui a valu respect et estime de l'opposition en exil qui lui confia les fonctions de porte-parole du Forum de l'opposition mauritanienne en exil (FOME). Ses déclarations, ainsi que les face à face qu'il a soutenu avec brio face aux représentants du pouvoir déchu sur El Jazira, El Arabiya et autres chaînes satellitaires internationales ont fini par montrer la vrai nature du régime policier de Taya.
Pour lui, la politique est d'abord le courage intellectuel, l'audace de l'action, la force de suggestion, la participation à la réflexion, l'acceptation de la critique. Sa plume qui l'a propulsé dans le cercle très restreint des géants de la poésie arabe (un actif de sept ouvrages), il l'a d'abord mise au service de son combat. Son livre "C'est pour ceci que j'ai quitté cette terre" est une révolte contre la réalité des injustices dans notre pays.
Il a convaincu et réussi là où d'autres ont abandonné.
Aujourd'hui de retour au pays, Beddy nous livre ici ses impressions sur la Transition en cours, et sur bien d'autres sujets.
Med
Pour lire l'entretien cliquez sur : Projecteurs
Poète-écrivain engagé, militant convaincu, il n'a cessé d'irriter et de déranger le pouvoir déchu de Ould Taya. Son engagement lui a valu tortures et prison.
Son exil en Europe a été aussi, pour lui, un autre combat : Violemment agressé dans son domicile Parisien, par un agent à la solde du pouvoir, il était aussi confronté à ceux qui l'ont combattus avec le plus de détermination et qui, paradoxalement, n'étaient pas les hommes du système, mais des opposants.
Toutes ces contraintes n'ont jamais entamé sa détermination. Il s'est toujours relevé et a repris le combat parce qu'il était convaincu que son pays méritait des combats plus sérieux, que les calculs politiciens et les règlements de comptes.
Sa persévérance lui a valu respect et estime de l'opposition en exil qui lui confia les fonctions de porte-parole du Forum de l'opposition mauritanienne en exil (FOME). Ses déclarations, ainsi que les face à face qu'il a soutenu avec brio face aux représentants du pouvoir déchu sur El Jazira, El Arabiya et autres chaînes satellitaires internationales ont fini par montrer la vrai nature du régime policier de Taya.
Pour lui, la politique est d'abord le courage intellectuel, l'audace de l'action, la force de suggestion, la participation à la réflexion, l'acceptation de la critique. Sa plume qui l'a propulsé dans le cercle très restreint des géants de la poésie arabe (un actif de sept ouvrages), il l'a d'abord mise au service de son combat. Son livre "C'est pour ceci que j'ai quitté cette terre" est une révolte contre la réalité des injustices dans notre pays.
Il a convaincu et réussi là où d'autres ont abandonné.
Aujourd'hui de retour au pays, Beddy nous livre ici ses impressions sur la Transition en cours, et sur bien d'autres sujets.
Med
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