Nouakchott, - Les pouvoirs publics sont décidés à créer un Observatoire National pour la Surveillance des Elections, c'est ce qu'a annoncé ce vendredi M. Habib Ould Hemet, ministre secrétaire général de la Présidence du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie lors d'une réunion au Palais des congrès à Nouakchott avec les organisations de la société civile.
L'objectif de cette structure est de mettre sur pied un cadre juridique qui permette à toutes les organisations de la société civile de pouvoir surveiller les élections que tous voudraient transparentes, honnêtes et justes.
Le gouvernement de transition étudie une réglementation qui fixe les procédures juridiques pour créer le cadre adéquat et efficace de cette surveillance.
Les intervenants, qui s'exprimaient sur la forme de ce cadre, ont formulé le vœu que ce cadre puisse tenir compte des spécificités de la société civile en confiant les missions de surveillance des élections et de sensibilisation des citoyens sur leurs droits démocratiques aux organisations de cette société civile.
Certains ont insisté sur l'intérêt que revêt pour les ONGs la sensibilisation des électeurs sur leurs devoirs et leurs droits, les modalités de vote et ont mis en garde ces dernières contre les pressions qui tenteraient d'influencer leurs décisions. D'autres ont fait part de leur désagrément pour la marginalisation dont les ONGs font l'objet.
Pour sa part, M. Habib Ould hemet a répondu aux questions des intervenants soulignant la nécessité de mettre en oeuvre des mécanismes de concertation permanente entre les pouvoirs publics et la société civile rappelant la relation que le comité interministériel chargé du processus électoral entretient avec les ONGs se limite au cadre électoral.
A l'issue de la réunion, un comité technique de 8 membres a été créé. Il est chargé d'étudier les suggestions à propos de l'observatoire national des élections afin de permettre la mise sur pied de cet observatoire, de ses programmes de surveillance pour les échéances municipales et législatives prochaines.
AMI
L'objectif de cette structure est de mettre sur pied un cadre juridique qui permette à toutes les organisations de la société civile de pouvoir surveiller les élections que tous voudraient transparentes, honnêtes et justes.
Le gouvernement de transition étudie une réglementation qui fixe les procédures juridiques pour créer le cadre adéquat et efficace de cette surveillance.
Les intervenants, qui s'exprimaient sur la forme de ce cadre, ont formulé le vœu que ce cadre puisse tenir compte des spécificités de la société civile en confiant les missions de surveillance des élections et de sensibilisation des citoyens sur leurs droits démocratiques aux organisations de cette société civile.
Certains ont insisté sur l'intérêt que revêt pour les ONGs la sensibilisation des électeurs sur leurs devoirs et leurs droits, les modalités de vote et ont mis en garde ces dernières contre les pressions qui tenteraient d'influencer leurs décisions. D'autres ont fait part de leur désagrément pour la marginalisation dont les ONGs font l'objet.
Pour sa part, M. Habib Ould hemet a répondu aux questions des intervenants soulignant la nécessité de mettre en oeuvre des mécanismes de concertation permanente entre les pouvoirs publics et la société civile rappelant la relation que le comité interministériel chargé du processus électoral entretient avec les ONGs se limite au cadre électoral.
A l'issue de la réunion, un comité technique de 8 membres a été créé. Il est chargé d'étudier les suggestions à propos de l'observatoire national des élections afin de permettre la mise sur pied de cet observatoire, de ses programmes de surveillance pour les échéances municipales et législatives prochaines.
AMI