Le soutien du président Ibrahima Sarr à Ahmed Ould Daddah ne devrait surprendre personne. C’est une décision bien mûrie qui rentre dans l’ordre du combat de l’opposition démocratique en vue de débarrasser notre pays de tout ce qui est humiliant. Il s’agit d’une question de salubrité publique. Le parcours politique des deux candidats est similaire. Ils ont été les véritables opposants au régime dictatorial de Ould Sidi Ahmed Taaya.
En effet, le peuple mauritanien, qui a depuis le 3 Août 2005 exprimé avec ferveur la déposition de Tayaa, aspire au renouvellement et au changement de cap politique. Ce besoin s’est exprimé une seconde fois lors des élections législatives. Nous sommes certes conscient de ce que représente l’arrivé au pouvoir d’Ahmed Ould Daddah pour nos intérêts vitaux mais la plus grave des erreurs ce serait de rétablir démocratiquement un système politique qui n’a convaincu que par son expertise et sa capacité d’innovation négative. Quelque soit les défauts de Ould Daddah, ce dernier n’a pas attendu le coup d’Etat pour sortir du bois. Nous demandons à Ould Sidi Abdallah où était-il passé lorsque les mauritaniens agonisaient ? En plus il n’a dans aucun de ces discours condamné le système de Taya. Les peuples ont la mémoire courte, devons-nous nous rappeler de l’arrivée de Mouayia au pouvoir en 1984. Son discours et ses propositions avaient créé un véritable consensus national, mais une fois à l’œuvre, le réveil fût brutal pour la communauté africaine de Mauritanie.
Face à un inconnu, soutenons un candidat connu, quelque soit ses limites politiques. Ould Sidi Abdallah demeure le représentant du système de domination, le valet des tortionnaires et l’incarnation de ce qui divise notre pays. Ce deuxième tour est un référendum pour ou contre le changement. Optons pour le changement, car tous les pays sont en train de changer. Il serait dommageable de laisser passer une telle opportunité historique pour mettre le pays sur les bons rails du développement. C’est même une chance qui ne se répétera pas. Ne nous laissons pas leurrer par ceux-là mêmes que nous avons vu à l’œuvre. Essayons au moins Daddah pour voir. Les démocrates doivent avoir en vue l’alternance possible et ne pas se tromper d’ennemi. L’objectif est de faire de la démocratie un système pérenne dans la société mauritanienne.
Le climat politique actuel impose à tous les progressistes de faire front pour barrer la route aux forces du mal. Comme nous avons su le réaliser durant la campagne du premier tour, usons de nos petites cartes téléphoniques pour convaincre, parents, frères, sœurs et amis afin de voter Ould Daddah, le seul candidat en mesure d’établir l’alternance en Mauritanie.
Usons de tous nos moyens et nos énergies pour battre Ould Sidi Adallah, le candidat des voleurs de la république et permettre une véritable alternative en Mauritanie.
- Moulaye Dioum : (membre du comité de continuité du président Ibrahima Sarr).
En effet, le peuple mauritanien, qui a depuis le 3 Août 2005 exprimé avec ferveur la déposition de Tayaa, aspire au renouvellement et au changement de cap politique. Ce besoin s’est exprimé une seconde fois lors des élections législatives. Nous sommes certes conscient de ce que représente l’arrivé au pouvoir d’Ahmed Ould Daddah pour nos intérêts vitaux mais la plus grave des erreurs ce serait de rétablir démocratiquement un système politique qui n’a convaincu que par son expertise et sa capacité d’innovation négative. Quelque soit les défauts de Ould Daddah, ce dernier n’a pas attendu le coup d’Etat pour sortir du bois. Nous demandons à Ould Sidi Abdallah où était-il passé lorsque les mauritaniens agonisaient ? En plus il n’a dans aucun de ces discours condamné le système de Taya. Les peuples ont la mémoire courte, devons-nous nous rappeler de l’arrivée de Mouayia au pouvoir en 1984. Son discours et ses propositions avaient créé un véritable consensus national, mais une fois à l’œuvre, le réveil fût brutal pour la communauté africaine de Mauritanie.
Face à un inconnu, soutenons un candidat connu, quelque soit ses limites politiques. Ould Sidi Abdallah demeure le représentant du système de domination, le valet des tortionnaires et l’incarnation de ce qui divise notre pays. Ce deuxième tour est un référendum pour ou contre le changement. Optons pour le changement, car tous les pays sont en train de changer. Il serait dommageable de laisser passer une telle opportunité historique pour mettre le pays sur les bons rails du développement. C’est même une chance qui ne se répétera pas. Ne nous laissons pas leurrer par ceux-là mêmes que nous avons vu à l’œuvre. Essayons au moins Daddah pour voir. Les démocrates doivent avoir en vue l’alternance possible et ne pas se tromper d’ennemi. L’objectif est de faire de la démocratie un système pérenne dans la société mauritanienne.
Le climat politique actuel impose à tous les progressistes de faire front pour barrer la route aux forces du mal. Comme nous avons su le réaliser durant la campagne du premier tour, usons de nos petites cartes téléphoniques pour convaincre, parents, frères, sœurs et amis afin de voter Ould Daddah, le seul candidat en mesure d’établir l’alternance en Mauritanie.
Usons de tous nos moyens et nos énergies pour battre Ould Sidi Adallah, le candidat des voleurs de la république et permettre une véritable alternative en Mauritanie.
- Moulaye Dioum : (membre du comité de continuité du président Ibrahima Sarr).