Vingt-huit personnes, dont des touristes étrangers, ont été tuées vendredi lorsqu'un homme armé a ouvert le feu dans un hôtel d'une station balnéaire près de Sousse, le pire attentat de l'histoire récente de la Tunisie.
Cette attaque frappe un pays qui voit monter la menace djihadiste depuis sa révolution en 2011 et survient près de trois mois après l'attaque sanglante contre le musée du Bardo à Tunis (22 morts, dont 21 touristes), qui avait déjà porté un coup dur au secteur vital du tourisme.
Elle intervient aussi le même jour qu'un attentat revendiqué par le groupe État islamique (25 morts) au Koweït et la décapitation d'un homme en France.
Le président Béji Caïd Essebsi, qui s'est rendu sur les lieux de l'attaque, a jugé que ces attaques étaient «la preuve qu'il faut une stratégie globale et que tous les pays actuellement démocratiques doivent unir leurs forces».
«La Tunisie est face à un mouvement international. Elle ne peut répondre toute seule à cela», a-t-il dit à l'AFP.
Aucun lien n'a été établi entre les différents attentats survenus de par le monde aujourd'hui, dont ceux dans l'Isère et au Koweït, mais plusieurs experts soulignent que le groupe armé État islamique a appelé ses djihadistes a redoublé d'ardeur durant le mois saint du ramadan.
Le premier ministre français, Manuel Valls, a réagi sur Twitter soulignant que le terrorisme n'épargne aucune nation.
Source: La Presse
Cette attaque frappe un pays qui voit monter la menace djihadiste depuis sa révolution en 2011 et survient près de trois mois après l'attaque sanglante contre le musée du Bardo à Tunis (22 morts, dont 21 touristes), qui avait déjà porté un coup dur au secteur vital du tourisme.
Elle intervient aussi le même jour qu'un attentat revendiqué par le groupe État islamique (25 morts) au Koweït et la décapitation d'un homme en France.
Le président Béji Caïd Essebsi, qui s'est rendu sur les lieux de l'attaque, a jugé que ces attaques étaient «la preuve qu'il faut une stratégie globale et que tous les pays actuellement démocratiques doivent unir leurs forces».
«La Tunisie est face à un mouvement international. Elle ne peut répondre toute seule à cela», a-t-il dit à l'AFP.
Aucun lien n'a été établi entre les différents attentats survenus de par le monde aujourd'hui, dont ceux dans l'Isère et au Koweït, mais plusieurs experts soulignent que le groupe armé État islamique a appelé ses djihadistes a redoublé d'ardeur durant le mois saint du ramadan.
Le premier ministre français, Manuel Valls, a réagi sur Twitter soulignant que le terrorisme n'épargne aucune nation.
Source: La Presse