Voici une declaration du quotidien AL-AQSA suite à des menaces de mort recues par son directeur après la publication d'un article relatant une oppération de tracfic d'armes dans laquelle serait impliquée le colonel Mohamed Ould Abdel aziz membre du CMJD et sa parentèle.
Déclaration relative aux retombées de la publication du quotidien « Alaqsa » d’une information sur le container d’armement camouflé au port de Las Palmas.
C’est à partir du Mardi après midi, 27/02/2007 qu’un groupe d’offenseurs est rentré en ligne avec moi sur mon téléphone portable. Des propos menaçants mélangés avec des insultes et invectives m’ont été adressées. Ce sont là des personnes concernées de près ou de loin par l’information publiée dans la livraison N° 198 du 27/02/2007 de notre quotidien.
Si bien que l’information a été rapporté au conditionnel et que nous avions appelé à plus d’investigation pour la confirmer ou l’infirmer, nous avons pris en considération l’aveu latent de l’un des présumés auteurs qui se défend, en prétendant que l’embarquement du container a bien été falsifié en son nom par la société Espagnole qui détenait toujours son passeport.
Quelques membres de la famille des présumés auteurs se sont pris au président Maawiya en vociférant des injures et insultes contre lui et les membres de sa tribu qui est la mienne.
Ceux qui pensent que les menaces peuvent me détourner de cette affaire se trompent carrément. Je n’ai rien à craindre et j’ai mon adresse somptueusement publiée dans les colonnes de mon journal : Immeuble Ennejah, 2ème étage appartement S07.
Cependant, les auteurs présumés de ces insultes auraient du adopter d’autres procédés, plus civique et plus respectueux que de vociférer des impolitesses. Lesquels procédés ont été suivi par Ali o/ Mouftah o/ Rabah en exerçant son droit de réponse sur les pages de notre journal. De même pour Devali o/ Gharrabi dit Moulaye Brahim o/ Gharrabi qui a nié en bloc la partie de l’information se rapportant à son frère. Ou tout simplement que o/ Lehah s’adresse aux tribunaux comme il l’a dit dans son coup de téléphone menaçant et contraire à tout comportement civique. Quand aux autres, je me réserve le droit de les dévoiler au moment opportun.
.De ma part, j’avais bien commencé par informer l’officier de permanence à la direction régionale de la sûreté la nuit du Mercredi. Je lui avait dressé un tableau exhaustif sur l’affaire depuis sa parution sur les colonnes de notre journal jusqu’aux récentes insultes que les présumés auteurs m’ont adressées. Aussi, le commissaire de Dar Naim 02 monsieur Isselmou ould Abdellahi a été édifié sur la question. Il a pu écouter lui personnellement la voix de la personne présumée à travers mon téléphone portable.
Les citoyens ne doivent pas être exposés aux insultes de ceux qui se disent proches ou membres du sérail soit-il de ould Taya ou d’Ely.
Maintenant que les présumés auteurs ont choisi le procédés des insultes et menaces, j’avais moi choisi d’édifier, la police et son directeur général le colonel Mohamed O/ Ghazwani, mes collègues journalistes et les représentations diplomatiques à Nouakchott, sur les rouages de cette affaire d’armements. Par contre je me réserve le droit de réplique surtout en l’absence des autorités sécuritaires concernées et dans le cadre de la légalité de l’autodéfense personnelle.
Il n’est donc permis à quiconque de se placer au dessus de la couverture des médias ou des appareils (exécutifs, législatifs et judiciaires) de l’Etat. Surtout que la vie en société moderne est régie par lois qui sanctionnent tout celui qui la transgresse.
En attendant que les conditions et niveau de respect de la profession de journaliste s’améliorent et l’ensemble des couches et catégories de lecteurs l’apprécient, je suis près à pardonner aux injurieux leur délit et publier leur droit de réponse même s’ils l’ont juridiquement perdu. Tout comme ils ont le droit de porter plainte contre et de recourir à la justice.
En fait, on aurait du suivre l’une des deux voies : le droit de réponse ou le recours à la justice. Tous procédés autres que ceux-là sont catégoriquement rejetés et vivement combattus. Si serai offensé ou même assassiné se serait honorable pour moi si bien que je ne serai pas le premier martyr sur cette voie. La voie des héros de la nation, celle qu’avait emprunté avant au début des années 60, notre cousin, le maire d’Atar monsieur Abdellahi o/ Oubeid.
Par-dessus cela, je suis pour une position responsable apaisée et modérée. Tout le monde me connaît à travers mon opposition civique et responsable du putsch du 03 Août 2005. Loin des émotions et calculs tribaux restreints j’étais contre le putsch du 03/08/2005 perpétré contre
Ould Taya avec qui je ne m’entendais pas comme il se doit. Surtout quant à son mauvais traitement du courant islamiste. Il faut dire aussi que les islamistes ont eux même participé d’une façon ou d’une autre dans cet engrenage.
Quant à ma position elle est fondée sur des concepts et principes que j’ai toujours épousés contre les dangers des coups d‘Etat. On ne doit pas accepter que l’enjeu politique et le processus du développement restent figés entre les murs des casernes.
Enfin, nous rappelons que ceux qui suivent la voie des menaces pour régler leur problème n’ont en fait aucun respect pour l’Etat et son autorité.
Que Dieu nous bénisse !
Nouakchott, 28 février 2007/ 09 safar 1428 de l’Hégir
Le directeur de publication e rédacteur en chef Abdel Vettah o/ Abeidna
Texte de l' Article paru dans le quotidien Al-AQSA
Container d’armements camouflés au port de Las Palmas et des Mauritaniens demandés par la sécurité Madrilène :
Derrière le container d’armements camouflés et saisi à Las palmas, Develli o/ Gharrabi, o/ Lehah, Rabah et d’autres sources parlent du Colonel Mohamed o/ Abd El Aziz ??!!!
Juste un jour avant le coup de théâtre du détournement de l’avion vers l’Espagne, une affaire d’achat d’armes en Espagne se trame déjà (un chargement d’armes camouflées sous forme d’appareil hydraulique). Les sources parlent des noms, du colonel Mohamed o/ Abd El Aziz, Develli o/ Gharrabi et le nommé(ould Lehah) de la tribu Kounta et dont la mère(Bint Ijjeyrib, la tante maternelle du colonel Mohamed o/ Abd El Aziz) qui elle, est de la même famille que les deux précédents noms cités là haut ; et enfin le nommé Rabah connu dans les milieux Espagnols comme étant un agent de l’homme d’affaires monsieur Ahmed Baba o/ Azizi o/ Elmamy, soupçonné dans le passé de trafiquant d’arme pour les Touaregs.
Cette fois-ci la sécurité Espagnole a facilement démasqué la charge d’armes camouflées dans le container. Ces armes et leurs munitions ont été achetées en Espagne. Elles ont été embarquées à Las Palmas sous prétexte que c’est un container d’objets de quincaillerie. Mais lorsque le chargement a passé sous contrôle des appareils de détection portuaire de Las Palmas il s’est avéré que tout le container est rempli d’armes et de munitions.
Les présumés responsables ont été interpellé tels ould Lehah, Develli ould Gharrabi et peut être d’autres.
Le colonel Mohamed o/ Abd El Aziz était immédiatement allé à leur rescousse en envoyant un fax urgent sous forme de licence d’importation d’arme signé par le ministère de la défense qui depuis le putsch du 03 Août 2005 n’a pas de ministre.
Cependant la licence livrée après la saisie des armes n’a pas dénoué la situation et la saisie du container se poursuit toujours. D’ailleurs – selon nos sources – le dossier à été transféré à l’appareil de sécurité centrale à Madrid pour dit-on s’édifier davantage sur les tenants et aboutissants de cette louche affaire de trafic d’armes, survenue un jour avant le détournement de l’avion Mauritanien. Qu’y’a t-il derrière cette affaire ? Est-ce l’arbre qui cache la forêt ?
La sécurité de notre patrie et ses hauts intérêts nous, poussent à poser les interrogations suivantes :
- Pourquoi le nom du colonel Aziz retentit dans cette histoire dangereuse ?!
- Est-ce une propagande offensive visant la crédibilité du colonel ? ou bien l’histoire est fondée puisque le colonel Aziz se fit de l’opinion publique nationale et agit en putschiste utilitariste et pragmatique qui importe les armes par le biais de ses courtiers qui ne sont que ses proches parents ?
- Est-ce la quantité d’armes saisie était destinée au bataillon de la sécurité présidentielle et l’achat a été supervisé par lui-même pour en tirer plus de profits et jouer avec les prix ? ou plutôt ces armes étaient destinées à la vente dans des zones en dehors du pays ? Ce qui veut dire que le pays s’est transformé en période transitoire et putschiste, un pays hors la loi et source d’approvisionnement en armes pour des groupes ou nébuleuses extérieurs
- Ces armes n’étaient-elles pas déstinées à des milices locales relevant de ould Abd El Aziz ou autres commerçants d’armes militaires ou civiles si bien que cette probabilité soit difficile à vérifier vu le niveau élevé de responsabilité morale et religieuse de la plupart des Mauritaniens.
Je dirai en toute en bref que notre pays a sombré dans le plus bas niveau de l’insécurité et de la débandade sociale, juridique et morale. Le souci de tout le monde surtout les membres du CMJD et leurs proches parents reste l’argent
Nous lançons à partir de cette tribune, un appel pour qu’une enquête soit ouverte sur cette affaire pour définir ses tenants et aboutissants. Surtout qu’après l’affaire de Sidi Mohamed o/ Bouh dans laquelle le nom du colonel Aziz a aussi été cité le voilà de nouveau cité dans une autre louche affaire auprès des milieux européens qui, contrairement aux marocains risquent de pousser l’affaire jusqu’au haut niveau.
Si nous nous sommes tus lors de la visite de Zouerate ce n’est que pour des raisons de professionnalisme. Cependant, nous ne pouvons pas nous taire devant les menaces qui risquent de nuire à l’existence de notre pays.
A rappeler que les histoires d’achat d’armes existaient même en la période de Taya. C’était le directeur de la sûreté Ely o/ ould Mohamed Vall qui s’en occupait pour le corps de la police par le biais de son courtiers et proche ami le notaire Maître Mohamed Lemine ould Haicine.
On aurait du procéder à l’achat des armes par le biais d’un commissaire au grade de directeur. Aujourd’hui, cette affaire est entre les main des médias libres dans un Etat libre.
D’autre part, on signale que monsieur Mohamed Salem ould Mahfoud Ould Ntehah a été soupçonné de trafic d’armes mais sa parenté avec le président Taya l’a paraît-il sauvé et le dossier a été classé. Quant à ceux de l’affaire du container, pourquoi on les arrête pas ?
Que le peuple et l’opinion nationale, découvrent l’aspect dangereux de cette affaire et ses répercussions sur l’avenir de ce pays.
source : m-net
Déclaration relative aux retombées de la publication du quotidien « Alaqsa » d’une information sur le container d’armement camouflé au port de Las Palmas.
C’est à partir du Mardi après midi, 27/02/2007 qu’un groupe d’offenseurs est rentré en ligne avec moi sur mon téléphone portable. Des propos menaçants mélangés avec des insultes et invectives m’ont été adressées. Ce sont là des personnes concernées de près ou de loin par l’information publiée dans la livraison N° 198 du 27/02/2007 de notre quotidien.
Si bien que l’information a été rapporté au conditionnel et que nous avions appelé à plus d’investigation pour la confirmer ou l’infirmer, nous avons pris en considération l’aveu latent de l’un des présumés auteurs qui se défend, en prétendant que l’embarquement du container a bien été falsifié en son nom par la société Espagnole qui détenait toujours son passeport.
Quelques membres de la famille des présumés auteurs se sont pris au président Maawiya en vociférant des injures et insultes contre lui et les membres de sa tribu qui est la mienne.
Ceux qui pensent que les menaces peuvent me détourner de cette affaire se trompent carrément. Je n’ai rien à craindre et j’ai mon adresse somptueusement publiée dans les colonnes de mon journal : Immeuble Ennejah, 2ème étage appartement S07.
Cependant, les auteurs présumés de ces insultes auraient du adopter d’autres procédés, plus civique et plus respectueux que de vociférer des impolitesses. Lesquels procédés ont été suivi par Ali o/ Mouftah o/ Rabah en exerçant son droit de réponse sur les pages de notre journal. De même pour Devali o/ Gharrabi dit Moulaye Brahim o/ Gharrabi qui a nié en bloc la partie de l’information se rapportant à son frère. Ou tout simplement que o/ Lehah s’adresse aux tribunaux comme il l’a dit dans son coup de téléphone menaçant et contraire à tout comportement civique. Quand aux autres, je me réserve le droit de les dévoiler au moment opportun.
.De ma part, j’avais bien commencé par informer l’officier de permanence à la direction régionale de la sûreté la nuit du Mercredi. Je lui avait dressé un tableau exhaustif sur l’affaire depuis sa parution sur les colonnes de notre journal jusqu’aux récentes insultes que les présumés auteurs m’ont adressées. Aussi, le commissaire de Dar Naim 02 monsieur Isselmou ould Abdellahi a été édifié sur la question. Il a pu écouter lui personnellement la voix de la personne présumée à travers mon téléphone portable.
Les citoyens ne doivent pas être exposés aux insultes de ceux qui se disent proches ou membres du sérail soit-il de ould Taya ou d’Ely.
Maintenant que les présumés auteurs ont choisi le procédés des insultes et menaces, j’avais moi choisi d’édifier, la police et son directeur général le colonel Mohamed O/ Ghazwani, mes collègues journalistes et les représentations diplomatiques à Nouakchott, sur les rouages de cette affaire d’armements. Par contre je me réserve le droit de réplique surtout en l’absence des autorités sécuritaires concernées et dans le cadre de la légalité de l’autodéfense personnelle.
Il n’est donc permis à quiconque de se placer au dessus de la couverture des médias ou des appareils (exécutifs, législatifs et judiciaires) de l’Etat. Surtout que la vie en société moderne est régie par lois qui sanctionnent tout celui qui la transgresse.
En attendant que les conditions et niveau de respect de la profession de journaliste s’améliorent et l’ensemble des couches et catégories de lecteurs l’apprécient, je suis près à pardonner aux injurieux leur délit et publier leur droit de réponse même s’ils l’ont juridiquement perdu. Tout comme ils ont le droit de porter plainte contre et de recourir à la justice.
En fait, on aurait du suivre l’une des deux voies : le droit de réponse ou le recours à la justice. Tous procédés autres que ceux-là sont catégoriquement rejetés et vivement combattus. Si serai offensé ou même assassiné se serait honorable pour moi si bien que je ne serai pas le premier martyr sur cette voie. La voie des héros de la nation, celle qu’avait emprunté avant au début des années 60, notre cousin, le maire d’Atar monsieur Abdellahi o/ Oubeid.
Par-dessus cela, je suis pour une position responsable apaisée et modérée. Tout le monde me connaît à travers mon opposition civique et responsable du putsch du 03 Août 2005. Loin des émotions et calculs tribaux restreints j’étais contre le putsch du 03/08/2005 perpétré contre
Ould Taya avec qui je ne m’entendais pas comme il se doit. Surtout quant à son mauvais traitement du courant islamiste. Il faut dire aussi que les islamistes ont eux même participé d’une façon ou d’une autre dans cet engrenage.
Quant à ma position elle est fondée sur des concepts et principes que j’ai toujours épousés contre les dangers des coups d‘Etat. On ne doit pas accepter que l’enjeu politique et le processus du développement restent figés entre les murs des casernes.
Enfin, nous rappelons que ceux qui suivent la voie des menaces pour régler leur problème n’ont en fait aucun respect pour l’Etat et son autorité.
Que Dieu nous bénisse !
Nouakchott, 28 février 2007/ 09 safar 1428 de l’Hégir
Le directeur de publication e rédacteur en chef Abdel Vettah o/ Abeidna
Texte de l' Article paru dans le quotidien Al-AQSA
Container d’armements camouflés au port de Las Palmas et des Mauritaniens demandés par la sécurité Madrilène :
Derrière le container d’armements camouflés et saisi à Las palmas, Develli o/ Gharrabi, o/ Lehah, Rabah et d’autres sources parlent du Colonel Mohamed o/ Abd El Aziz ??!!!
Juste un jour avant le coup de théâtre du détournement de l’avion vers l’Espagne, une affaire d’achat d’armes en Espagne se trame déjà (un chargement d’armes camouflées sous forme d’appareil hydraulique). Les sources parlent des noms, du colonel Mohamed o/ Abd El Aziz, Develli o/ Gharrabi et le nommé(ould Lehah) de la tribu Kounta et dont la mère(Bint Ijjeyrib, la tante maternelle du colonel Mohamed o/ Abd El Aziz) qui elle, est de la même famille que les deux précédents noms cités là haut ; et enfin le nommé Rabah connu dans les milieux Espagnols comme étant un agent de l’homme d’affaires monsieur Ahmed Baba o/ Azizi o/ Elmamy, soupçonné dans le passé de trafiquant d’arme pour les Touaregs.
Cette fois-ci la sécurité Espagnole a facilement démasqué la charge d’armes camouflées dans le container. Ces armes et leurs munitions ont été achetées en Espagne. Elles ont été embarquées à Las Palmas sous prétexte que c’est un container d’objets de quincaillerie. Mais lorsque le chargement a passé sous contrôle des appareils de détection portuaire de Las Palmas il s’est avéré que tout le container est rempli d’armes et de munitions.
Les présumés responsables ont été interpellé tels ould Lehah, Develli ould Gharrabi et peut être d’autres.
Le colonel Mohamed o/ Abd El Aziz était immédiatement allé à leur rescousse en envoyant un fax urgent sous forme de licence d’importation d’arme signé par le ministère de la défense qui depuis le putsch du 03 Août 2005 n’a pas de ministre.
Cependant la licence livrée après la saisie des armes n’a pas dénoué la situation et la saisie du container se poursuit toujours. D’ailleurs – selon nos sources – le dossier à été transféré à l’appareil de sécurité centrale à Madrid pour dit-on s’édifier davantage sur les tenants et aboutissants de cette louche affaire de trafic d’armes, survenue un jour avant le détournement de l’avion Mauritanien. Qu’y’a t-il derrière cette affaire ? Est-ce l’arbre qui cache la forêt ?
La sécurité de notre patrie et ses hauts intérêts nous, poussent à poser les interrogations suivantes :
- Pourquoi le nom du colonel Aziz retentit dans cette histoire dangereuse ?!
- Est-ce une propagande offensive visant la crédibilité du colonel ? ou bien l’histoire est fondée puisque le colonel Aziz se fit de l’opinion publique nationale et agit en putschiste utilitariste et pragmatique qui importe les armes par le biais de ses courtiers qui ne sont que ses proches parents ?
- Est-ce la quantité d’armes saisie était destinée au bataillon de la sécurité présidentielle et l’achat a été supervisé par lui-même pour en tirer plus de profits et jouer avec les prix ? ou plutôt ces armes étaient destinées à la vente dans des zones en dehors du pays ? Ce qui veut dire que le pays s’est transformé en période transitoire et putschiste, un pays hors la loi et source d’approvisionnement en armes pour des groupes ou nébuleuses extérieurs
- Ces armes n’étaient-elles pas déstinées à des milices locales relevant de ould Abd El Aziz ou autres commerçants d’armes militaires ou civiles si bien que cette probabilité soit difficile à vérifier vu le niveau élevé de responsabilité morale et religieuse de la plupart des Mauritaniens.
Je dirai en toute en bref que notre pays a sombré dans le plus bas niveau de l’insécurité et de la débandade sociale, juridique et morale. Le souci de tout le monde surtout les membres du CMJD et leurs proches parents reste l’argent
Nous lançons à partir de cette tribune, un appel pour qu’une enquête soit ouverte sur cette affaire pour définir ses tenants et aboutissants. Surtout qu’après l’affaire de Sidi Mohamed o/ Bouh dans laquelle le nom du colonel Aziz a aussi été cité le voilà de nouveau cité dans une autre louche affaire auprès des milieux européens qui, contrairement aux marocains risquent de pousser l’affaire jusqu’au haut niveau.
Si nous nous sommes tus lors de la visite de Zouerate ce n’est que pour des raisons de professionnalisme. Cependant, nous ne pouvons pas nous taire devant les menaces qui risquent de nuire à l’existence de notre pays.
A rappeler que les histoires d’achat d’armes existaient même en la période de Taya. C’était le directeur de la sûreté Ely o/ ould Mohamed Vall qui s’en occupait pour le corps de la police par le biais de son courtiers et proche ami le notaire Maître Mohamed Lemine ould Haicine.
On aurait du procéder à l’achat des armes par le biais d’un commissaire au grade de directeur. Aujourd’hui, cette affaire est entre les main des médias libres dans un Etat libre.
D’autre part, on signale que monsieur Mohamed Salem ould Mahfoud Ould Ntehah a été soupçonné de trafic d’armes mais sa parenté avec le président Taya l’a paraît-il sauvé et le dossier a été classé. Quant à ceux de l’affaire du container, pourquoi on les arrête pas ?
Que le peuple et l’opinion nationale, découvrent l’aspect dangereux de cette affaire et ses répercussions sur l’avenir de ce pays.
source : m-net