Il est accusé d’avoir fait usage d’un faux décret pour se faire attribuer les insignes de Général de Brigade.
Le colonel Timan Yaya Seid ne fait plus partie des effectifs des élèves officiers et de l’armée tchadienne. Il a été radié de ce corps par arrêté du ministre de la Défense.
L’intéressé est accusé d’avoir fait usage d’un faux décret pour se faire attribuer les insignes de général de brigade.
L’affaire remonte au 30 juin. Une vidéo du jeune colonel de 26 ans recevant les insignes de général de brigade des mains du chef d’état-major particulier du président de transition est relayée sur les réseaux sociaux. Pour convaincre le chef d’état-major particulier du président, Timan Yaya Seid lui a remis l’acte du chef suprême des armées le nommant général de brigade. Cette nomination a suscité une vague d’indignation sur la toile.
Aussitôt, les renseignements militaires se sont intéressés à l’affaire. Le jeune officier a été interpellé. Les investigations ont conclu que le décret brandi par l’accusé n’est qu’un « document falsifié. » La sanction de la hiérarchie est sévère. Le mis en cause, encore élève officier, est radié des effectifs des élèves officiers, son incorporation dans les forces de défense et de sécurité est annulée, et son identifiant supprimé de la base des données de l’armée.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)
Le colonel Timan Yaya Seid ne fait plus partie des effectifs des élèves officiers et de l’armée tchadienne. Il a été radié de ce corps par arrêté du ministre de la Défense.
L’intéressé est accusé d’avoir fait usage d’un faux décret pour se faire attribuer les insignes de général de brigade.
L’affaire remonte au 30 juin. Une vidéo du jeune colonel de 26 ans recevant les insignes de général de brigade des mains du chef d’état-major particulier du président de transition est relayée sur les réseaux sociaux. Pour convaincre le chef d’état-major particulier du président, Timan Yaya Seid lui a remis l’acte du chef suprême des armées le nommant général de brigade. Cette nomination a suscité une vague d’indignation sur la toile.
Aussitôt, les renseignements militaires se sont intéressés à l’affaire. Le jeune officier a été interpellé. Les investigations ont conclu que le décret brandi par l’accusé n’est qu’un « document falsifié. » La sanction de la hiérarchie est sévère. Le mis en cause, encore élève officier, est radié des effectifs des élèves officiers, son incorporation dans les forces de défense et de sécurité est annulée, et son identifiant supprimé de la base des données de l’armée.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)