Selon des informations concordantes, confirmées par des sources généralement bien informées, une tentative de coup d’Etat a avortée hier soir à Nouakchott, déjouée par les services de renseignements militaires. Une vague d’arrestation dans le milieu des colonels de l’armée s’en est suivie le même jour et a touché des hommes proches de l’ex-président déchu Ould Taya. Selon les mêmes sources ces hommes allaient mettre à exécution leur coup d’Etat avant le 25 juin courant, date du référendum sur la constitution. Les officiers qui seraient impliqués et arrêtés par les autorités de Nouakchott sont : le colonel Mohamed Ould El Vaïda , le colonel Aderrahmane Ould Lekwar, le colonel Cheikh Ould Chrouf, alors que l’incertitude plane ......
au sujet de l’arrestation du colonel Sidi Oul Rihaa ex chef d’Etat major de la Garde Nationale avant le coup d’état du 3 Août 2005. Par contre il semblerait que l’ex-diplomate mauritanien en arabie Séoudite, Mohamed O. Mohamed Ali est lui aussi en état d’arrestation. De même que le président du mouvement «Démocratie Sans Frontières », Ahmed Ould Saleck et Mini (fils du colonel Abderrahmane O. Lekwar)
Selon les services de renseignements mauritaniens, ce groupe était en relation avec Ould taya depuis sa destitution. Dans la foulée des évènements le Conseil Militaire pour la Justice et la démocratie, au pouvoir et dont les membres étaient en majorité à l’intérieur du pays pour battre campagne pour le OUI au scrutin de dimanche 25 juin, se serait réuni en session extraordinaire pour s’enquérir de la situation sécuritaire et prendre les mesures appropriées. Il s’agirait là du premier coup-d’Etat à intervenir après celui du 03 août qui a amené au pouvoir le CMJD
au sujet de l’arrestation du colonel Sidi Oul Rihaa ex chef d’Etat major de la Garde Nationale avant le coup d’état du 3 Août 2005. Par contre il semblerait que l’ex-diplomate mauritanien en arabie Séoudite, Mohamed O. Mohamed Ali est lui aussi en état d’arrestation. De même que le président du mouvement «Démocratie Sans Frontières », Ahmed Ould Saleck et Mini (fils du colonel Abderrahmane O. Lekwar)
Selon les services de renseignements mauritaniens, ce groupe était en relation avec Ould taya depuis sa destitution. Dans la foulée des évènements le Conseil Militaire pour la Justice et la démocratie, au pouvoir et dont les membres étaient en majorité à l’intérieur du pays pour battre campagne pour le OUI au scrutin de dimanche 25 juin, se serait réuni en session extraordinaire pour s’enquérir de la situation sécuritaire et prendre les mesures appropriées. Il s’agirait là du premier coup-d’Etat à intervenir après celui du 03 août qui a amené au pouvoir le CMJD