Selon des sources proches du département, le ministre délégué chargé du budget aurait ordonné à ses services, la suspension de tous ceux qui ne disposent pas de numéro d’identification nationale (NIN). Cette mesure concernerait, selon, nos sources, environ 7000 personnes, et est déjà effective à compter du mois de décembre en cours. Elle frappe presque toutes les catégories de fonctionnaires actifs, de retraités mais aussi et surtout les fonctionnaires et agents de l’Etat, victimes des évènements de 1989 / 91, lesquels ont eu d’énormes difficultés pour se recenser et donc pour justifier leur demande d’intégration, de mise à la retraite…
Certains de ces derniers, qui couraient derrière une régularisation depuis bien longtemps et qui espéraient voir leur situation se décanter en cette fin d’année, ont déchanté. En effet, devant le président du Haut Conseil de la Fatwa, le ministre délégué au budget dont les services traînaient les pieds pour l’exécution de la régularisation leur a laissé entendre que l’arrêté permettant d’alimenter la régie est déjà à la direction du budget mais qu’il n’y a aucun sou, et que par conséquent, les intéressés doivent patienter jusqu’en 2018.
Un état de fait que ces malheureux redoutaient depuis quelque temps parce qu’ils ne comprenaient pas pourquoi la direction du budget les renvoyait comme des ballons chaque fois qu’ils pointaient le nez pour demander l’état d’avancement de leur régularisation, c’est-à-dire la signature de l’arrêté au cabinet du ministre délégué et l’alimentation de la régie pour les payements. Nous y reviendrons.
Source : Le Calame
Certains de ces derniers, qui couraient derrière une régularisation depuis bien longtemps et qui espéraient voir leur situation se décanter en cette fin d’année, ont déchanté. En effet, devant le président du Haut Conseil de la Fatwa, le ministre délégué au budget dont les services traînaient les pieds pour l’exécution de la régularisation leur a laissé entendre que l’arrêté permettant d’alimenter la régie est déjà à la direction du budget mais qu’il n’y a aucun sou, et que par conséquent, les intéressés doivent patienter jusqu’en 2018.
Un état de fait que ces malheureux redoutaient depuis quelque temps parce qu’ils ne comprenaient pas pourquoi la direction du budget les renvoyait comme des ballons chaque fois qu’ils pointaient le nez pour demander l’état d’avancement de leur régularisation, c’est-à-dire la signature de l’arrêté au cabinet du ministre délégué et l’alimentation de la régie pour les payements. Nous y reviendrons.
Source : Le Calame