APS- La ministre de la Famille et de la Solidarité, Maïmouna Dièye, a annoncé, lundi à Dakar, le démarrage prochain de la première phase du Projet de développement communautaire et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal (nord).
D’une durée de cinq ans (2024-2028), cette initiative a nécessité un financement de près de 120 milliards de francs CFA de la part de la Banque mondiale.
La première phase de ce projet débutera jeudi prochain et concernera 44 communes du Sénégal et quatre wilayas (une division territoriale) en Mauritanie, selon Mme Dièye.
Elle a parlé aux journalistes de cette initiative à l’issue d’une réunion des représentants de la Banque mondiale, du Programme d’urgence pour la modernisation des axes et territoires frontaliers du Sénégal et de plusieurs ministères concernés.
Il s’agit d’une approche « intégratrice et [fournisseur] des solutions aux zones frontalières », a-t-elle déclaré.
“Cette réunion a servi à harmoniser les positions, avant de lancer le projet”, a poursuivi Maïmouna Dièye.
Elle a cité l’agriculture, l’hydraulique, la transformation, les transports, la jeunesse et les sports comme cibles du projet dont la deuxième phase sera étendue aux communes maliennes situées à proximité de la Mauritanie et du Sénégal.
« Le Projet de développement communautaire et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal sera mis en œuvre par les gouvernements de la Mauritanie et du Sénégal, pour relever les multiples défis liés au développement socio-économique et aux phénomènes climatiques auxquels sont confrontées les communautés établies. des deux côtés de la vallée du fleuve Sénégal », lit-on dans un document remis à la presse.
La même Source parle d’un « projet sous-régional et intégrateur transfrontalier, destiné aux populations vivant de part et d’autre de la frontière entre la Mauritanie et le Sénégal ».
Le document indique que « les régimes de gouvernance et d’attribution des terres non inclusifs et non transparents, ainsi que les processus de planification du développement et de prise de décision insuffisants au niveau local, exacerbent les griefs et les tensions sous-adjacents entre les groupes, parmi les jeunes privés de leurs droits et frustrés par le manque de droits. d’opportunités notamment ».
CMS/ESF/BK
Source : APS - Sénégal
D’une durée de cinq ans (2024-2028), cette initiative a nécessité un financement de près de 120 milliards de francs CFA de la part de la Banque mondiale.
La première phase de ce projet débutera jeudi prochain et concernera 44 communes du Sénégal et quatre wilayas (une division territoriale) en Mauritanie, selon Mme Dièye.
Elle a parlé aux journalistes de cette initiative à l’issue d’une réunion des représentants de la Banque mondiale, du Programme d’urgence pour la modernisation des axes et territoires frontaliers du Sénégal et de plusieurs ministères concernés.
Il s’agit d’une approche « intégratrice et [fournisseur] des solutions aux zones frontalières », a-t-elle déclaré.
“Cette réunion a servi à harmoniser les positions, avant de lancer le projet”, a poursuivi Maïmouna Dièye.
Elle a cité l’agriculture, l’hydraulique, la transformation, les transports, la jeunesse et les sports comme cibles du projet dont la deuxième phase sera étendue aux communes maliennes situées à proximité de la Mauritanie et du Sénégal.
« Le Projet de développement communautaire et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal sera mis en œuvre par les gouvernements de la Mauritanie et du Sénégal, pour relever les multiples défis liés au développement socio-économique et aux phénomènes climatiques auxquels sont confrontées les communautés établies. des deux côtés de la vallée du fleuve Sénégal », lit-on dans un document remis à la presse.
La même Source parle d’un « projet sous-régional et intégrateur transfrontalier, destiné aux populations vivant de part et d’autre de la frontière entre la Mauritanie et le Sénégal ».
Le document indique que « les régimes de gouvernance et d’attribution des terres non inclusifs et non transparents, ainsi que les processus de planification du développement et de prise de décision insuffisants au niveau local, exacerbent les griefs et les tensions sous-adjacents entre les groupes, parmi les jeunes privés de leurs droits et frustrés par le manque de droits. d’opportunités notamment ».
CMS/ESF/BK
Source : APS - Sénégal