APA - Paris (France) L’Opposition sénégalaise envisagerait de constituer une liste unique pour les législatives de 2007, à en croire Abdoulaye Bathily, Secrétaire général de la Ligue démocratique, mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) une des formations membres de la Coalition pour l’Alternative (CPA), décidées à changer de majorité au parlement actuellement dominé par la coalition favorable au Président Abdoulaye Wade.
Dans une déclaration faite samedi à Paris, à une conférence des femmes de son parti en France, Bathily a exprimé la décision des partis de la CPA de faire une liste unique et indiqué et indiqué à ce propos que « Wade sait très bien qu’une liste unique de la CPA sera la liste victorieuse ».
Selon le secrétaire général de la Ld/Mpt dont la communication, a été axé sur ‘‘Politique et programme de développement au Sénégal, impact sur les femmes et leur environnement’’, le régime actuel « a perdu toutes chances » de remporter les prochaines élections présidentielle et législatives au vu du bilan qu’il a réalisé à la tête du Sénégal depuis l’avènement de l’alternance en 2000.
L’ancien compagnon de l’actuel chef de l’Etat sénégalais pour l’élection de 2000 s’est toutefois refusé à s’avancer quant à une éventuelle candidature unique de l’opposition pour faire face à Abdoulaye Wade qui va solliciter un nouveau mandat, le 25 février prochain, date retenue pour les élections présidentielle et législatives groupées.
Pour Abdoulaye Bathily, la priorité n’est pas de savoir s’il faut ou non présenter un candidat unique de la CPA. « Une candidature unique, si elle intervient, c’est tant mieux, mais ce n’est pas la question fondamentale », concède t-il ajoutant : « la question sera discutée ».
« La CPA ne se focalise pas sur qui va être président de la République. Elle se focalise sur une question beaucoup plus importante à savoir quelle équipe mettre en place pour diriger le pays après les élections et dans cette équipe il y aura un président qui ne sera pas omnipotent, un Premier ministre et une assemblée nationale », précise Abdoulaye Bathily.
« Dans notre programme alternatif, nous avons prévu une réforme des institutions qui débouchera sur une réforme de la Constitution avec l’accord du peuple (qui sera consulté par voie référendaire) pour que les pouvoirs du Président soient limités, que le Parelement retrouve sa dignité, que le Premier ministre ait plus de pouvoirs ».
Dans une déclaration faite samedi à Paris, à une conférence des femmes de son parti en France, Bathily a exprimé la décision des partis de la CPA de faire une liste unique et indiqué et indiqué à ce propos que « Wade sait très bien qu’une liste unique de la CPA sera la liste victorieuse ».
Selon le secrétaire général de la Ld/Mpt dont la communication, a été axé sur ‘‘Politique et programme de développement au Sénégal, impact sur les femmes et leur environnement’’, le régime actuel « a perdu toutes chances » de remporter les prochaines élections présidentielle et législatives au vu du bilan qu’il a réalisé à la tête du Sénégal depuis l’avènement de l’alternance en 2000.
L’ancien compagnon de l’actuel chef de l’Etat sénégalais pour l’élection de 2000 s’est toutefois refusé à s’avancer quant à une éventuelle candidature unique de l’opposition pour faire face à Abdoulaye Wade qui va solliciter un nouveau mandat, le 25 février prochain, date retenue pour les élections présidentielle et législatives groupées.
Pour Abdoulaye Bathily, la priorité n’est pas de savoir s’il faut ou non présenter un candidat unique de la CPA. « Une candidature unique, si elle intervient, c’est tant mieux, mais ce n’est pas la question fondamentale », concède t-il ajoutant : « la question sera discutée ».
« La CPA ne se focalise pas sur qui va être président de la République. Elle se focalise sur une question beaucoup plus importante à savoir quelle équipe mettre en place pour diriger le pays après les élections et dans cette équipe il y aura un président qui ne sera pas omnipotent, un Premier ministre et une assemblée nationale », précise Abdoulaye Bathily.
« Dans notre programme alternatif, nous avons prévu une réforme des institutions qui débouchera sur une réforme de la Constitution avec l’accord du peuple (qui sera consulté par voie référendaire) pour que les pouvoirs du Président soient limités, que le Parelement retrouve sa dignité, que le Premier ministre ait plus de pouvoirs ».