Raif Badawi est un écrivain et blogueur saoudien créateur en 2008 du site Free Saudi Liberals sur lequel il militait pour une libéralisation morale de l'Arabie saoudite.
Raif Badawi, fondateur d’un site internet, a été sanctionné de 10 ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende. Cet homme est un prisonnier d’opinion.
"Le régime saoudien s'émouvait donc d'une attaque contre des journalistes français tout en frappant, littéralement, un de ses propres journalistes! C'était assez pour que le slogan «Je suis Raif Badawi» prenne son envol. Assez pour injecter une puissante dose de stéroïdes au mouvement de défense du blogueur saoudien."
Le 1er septembre, la Cour d'appel de Djedda a confirmé la peine qui avait été prononcée le 7 mai contre Raif Badawi. Cet homme a été condamné à dix ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende d'un million de riyals saoudiens (soit presque 290 000$ CAN). Une fois sa peine de prison purgée, il restera soumis à une interdiction de voyager pendant dix ans ainsi qu'à une interdiction d'utiliser les médias. Le jugement rendu contre Raif Badawi est lié à la création de son site internet, « Libérez les libéraux saoudiens » (dont la cour a ordonné la fermeture), et à des accusations selon lesquelles il aurait « insulté l’islam ».
Malheureusement Raif Badawi a commencé à recevoir les premiers 50 coups de fouet vendredi le 9 janvier 2015. La flagellation a eu lieu en public, après la prière du vendredi, devant la mosquée d'Al Jafali à Djedda. Nous craignons qu’il continue à recevoir les coups à chaque semaine. Selon la décision finale de la cour, il ne devra pas recevoir plus de 50 coups de fouet consécutifs, et un intervalle d'au moins une semaine devra être observé entre chaque série. La flagellation aura lieu en public, après la prière du vendredi, devant la mosquée d'Al Jafali à Djedda.
Raif Badawi était initialement inculpé d'« apostasie », crime passible de la peine de mort en Arabie saoudite. Raif Badawi est détenu depuis le 17 juin 2012 à la prison de Briman, à Djedda. Son avocat, Waleed Abu al Khair, est également en prison. Il purge une peine de 15 ans de réclusion en raison de son militantisme pacifique.
L'avocat de Raif, Waleed Abu Khair, est également en prison, accusé de charges liés son militantisme pacifique. Raif Badawi a été inculpé d’« apostasie », crime passible de la peine de mort en Arabie saoudite. Il est détenu depuis le 17 juin 2012 dans une prison de Briman, à Djedda.
La famille de Raif Badawi vit maintenant au Canada. Sa femme et ses trois enfants s'ennuient tellement de Raif. Demandons la libération de Raif Badawi et sa réunification avec sa famille au Canada!
Signez la pétition:
http://www.jesuisraif.ca/
"C’est le vendredi 9 janvier dernier, quatre jours avant son anniversaire, que Raif Badawi, prisonnier d’opinion, a reçu les 50 premiers coups de fouet de sa sentence injuste. Accusé d’avoir insulté l’islam, il n’a pourtant jamais renoncé à sa religion, prônant simplement l’égalité entre les croyances et la liberté de religion. En prison depuis 2012 et loin des siens, il en paie le prix de sa liberté."
Source: Amnistie Internationale
Raif Badawi, fondateur d’un site internet, a été sanctionné de 10 ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende. Cet homme est un prisonnier d’opinion.
"Le régime saoudien s'émouvait donc d'une attaque contre des journalistes français tout en frappant, littéralement, un de ses propres journalistes! C'était assez pour que le slogan «Je suis Raif Badawi» prenne son envol. Assez pour injecter une puissante dose de stéroïdes au mouvement de défense du blogueur saoudien."
Le 1er septembre, la Cour d'appel de Djedda a confirmé la peine qui avait été prononcée le 7 mai contre Raif Badawi. Cet homme a été condamné à dix ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende d'un million de riyals saoudiens (soit presque 290 000$ CAN). Une fois sa peine de prison purgée, il restera soumis à une interdiction de voyager pendant dix ans ainsi qu'à une interdiction d'utiliser les médias. Le jugement rendu contre Raif Badawi est lié à la création de son site internet, « Libérez les libéraux saoudiens » (dont la cour a ordonné la fermeture), et à des accusations selon lesquelles il aurait « insulté l’islam ».
Malheureusement Raif Badawi a commencé à recevoir les premiers 50 coups de fouet vendredi le 9 janvier 2015. La flagellation a eu lieu en public, après la prière du vendredi, devant la mosquée d'Al Jafali à Djedda. Nous craignons qu’il continue à recevoir les coups à chaque semaine. Selon la décision finale de la cour, il ne devra pas recevoir plus de 50 coups de fouet consécutifs, et un intervalle d'au moins une semaine devra être observé entre chaque série. La flagellation aura lieu en public, après la prière du vendredi, devant la mosquée d'Al Jafali à Djedda.
Raif Badawi était initialement inculpé d'« apostasie », crime passible de la peine de mort en Arabie saoudite. Raif Badawi est détenu depuis le 17 juin 2012 à la prison de Briman, à Djedda. Son avocat, Waleed Abu al Khair, est également en prison. Il purge une peine de 15 ans de réclusion en raison de son militantisme pacifique.
L'avocat de Raif, Waleed Abu Khair, est également en prison, accusé de charges liés son militantisme pacifique. Raif Badawi a été inculpé d’« apostasie », crime passible de la peine de mort en Arabie saoudite. Il est détenu depuis le 17 juin 2012 dans une prison de Briman, à Djedda.
La famille de Raif Badawi vit maintenant au Canada. Sa femme et ses trois enfants s'ennuient tellement de Raif. Demandons la libération de Raif Badawi et sa réunification avec sa famille au Canada!
Signez la pétition:
http://www.jesuisraif.ca/
"C’est le vendredi 9 janvier dernier, quatre jours avant son anniversaire, que Raif Badawi, prisonnier d’opinion, a reçu les 50 premiers coups de fouet de sa sentence injuste. Accusé d’avoir insulté l’islam, il n’a pourtant jamais renoncé à sa religion, prônant simplement l’égalité entre les croyances et la liberté de religion. En prison depuis 2012 et loin des siens, il en paie le prix de sa liberté."
Source: Amnistie Internationale