Alors que le jeune malade guinéen, qui était venu au Sénégal, est guéri et que les autorités sénégalaises sont en train d’organiser son retour en Guinée, restait l’inconnue concernant les personnes avec lesquelles le jeune homme avait pu être en contact au Sénégal avant d’être dépisté.
Les 21 jours de quarantaine sont passés et, si l'on croit l'annonce officielle faite par la ministre sénégalaise de la santé Awa Marie Coll Seck vendredi 19 septembre à Dakar, « les 74 personnes qui avaient été de près ou de loin en contact avec le jeune homme n’ont pas contracté la maladie ».
Selon la ministre sénégalaise de la Santé, sur les 74 personnes qui étaient entrées en contact avec le patient, 40 étaient des agents de santé et les 34 restants étaient membres de la famille du patient. «Toutes ces personnes ont bénéficié d'un suivi médical bi-quotidien et aucune d'entre elles n'a développé la maladie», a déclaré la ministre. Le suivi a duré 21 jours.
Les autorités sénégalaises en concluent que « le risque de dissémination de la fièvre à virus Ebola à partir des cas qui ont été diagnostiqués est nul » en ce qui concerne le Sénégal. Mais elles ne lâchent pas leur vigilance pour autant. C'est pourquoi, a expliqué la ministre, « le dispositif d'alerte de la surveillance épidémiologique reste maintenu à son plus haut niveau ».
Rfi.fr
Les 21 jours de quarantaine sont passés et, si l'on croit l'annonce officielle faite par la ministre sénégalaise de la santé Awa Marie Coll Seck vendredi 19 septembre à Dakar, « les 74 personnes qui avaient été de près ou de loin en contact avec le jeune homme n’ont pas contracté la maladie ».
Selon la ministre sénégalaise de la Santé, sur les 74 personnes qui étaient entrées en contact avec le patient, 40 étaient des agents de santé et les 34 restants étaient membres de la famille du patient. «Toutes ces personnes ont bénéficié d'un suivi médical bi-quotidien et aucune d'entre elles n'a développé la maladie», a déclaré la ministre. Le suivi a duré 21 jours.
Les autorités sénégalaises en concluent que « le risque de dissémination de la fièvre à virus Ebola à partir des cas qui ont été diagnostiqués est nul » en ce qui concerne le Sénégal. Mais elles ne lâchent pas leur vigilance pour autant. C'est pourquoi, a expliqué la ministre, « le dispositif d'alerte de la surveillance épidémiologique reste maintenu à son plus haut niveau ».
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