La pire chose dans l'article est le fait de se venter de la planification du ciblage des villages de la vallée à l'époque d'Ould Al-Ta`i, signé au nom du directeur de rédaction au ministère de l'Intérieur de l 'époque, M. Fadhili Ould Al-Rayyis.
1. Il a évoqué avec confiance et fierté ces faits dangereux en tant que "réalisations nationales", dans le cadre de son hommage au ministre de l'Intérieur sous le mandat duquel l'opération a eu lieu, M. Gabriel Ould Abd Allah.
2. Il a cité plusieurs personnalités impliquées dans l'opération, certaines sont toujours en vie, d'autres sont parties, et que, à l'exception de l'ancien ministre Ba Souley, aucune des personnes susmentionnées n'a démenti les informations (parmi les personnes citées, deux gouverneurs de deux régions qui ont connu les déportations les plus importantes au cours des événements 89, à savoir M. Mohamed El-Amin Al-Salem Ould Dah et Dah Ould Abdel-Jalil.
3 il décrit ces villages en doutant de la citoyenneté Mauritanienne de ses habitants, ce scepticisme apparaît à plusieurs reprises dans le témoignage, dont le point culminant aboutit à la provocation qui s'est traduit par l'utilisation du terme «colonisation» chargé de connotations négatives.
La gravité des aveux de Ould Rayyes ne réside pas dans ce qui a été révélé comme indices de préméditation du crime d'expulsion de dizaines de milliers de Mauritaniens pendant les années de braise de Maawouya, mais plutôt dans le fait que le détenteur du témoignage a jusqu'à présent occupé des positions influentes dans la prise et la formulation de décision , comme c'est le cas pour l'écrasante majorité des personnes impliquées dans ces crimes, qui bénéficient de la couverture des régimes successifs et de la protection contre Ils ont successivement protection contre tout jugement.
@Ahmeddou Ould wadi'a
1. Il a évoqué avec confiance et fierté ces faits dangereux en tant que "réalisations nationales", dans le cadre de son hommage au ministre de l'Intérieur sous le mandat duquel l'opération a eu lieu, M. Gabriel Ould Abd Allah.
2. Il a cité plusieurs personnalités impliquées dans l'opération, certaines sont toujours en vie, d'autres sont parties, et que, à l'exception de l'ancien ministre Ba Souley, aucune des personnes susmentionnées n'a démenti les informations (parmi les personnes citées, deux gouverneurs de deux régions qui ont connu les déportations les plus importantes au cours des événements 89, à savoir M. Mohamed El-Amin Al-Salem Ould Dah et Dah Ould Abdel-Jalil.
3 il décrit ces villages en doutant de la citoyenneté Mauritanienne de ses habitants, ce scepticisme apparaît à plusieurs reprises dans le témoignage, dont le point culminant aboutit à la provocation qui s'est traduit par l'utilisation du terme «colonisation» chargé de connotations négatives.
La gravité des aveux de Ould Rayyes ne réside pas dans ce qui a été révélé comme indices de préméditation du crime d'expulsion de dizaines de milliers de Mauritaniens pendant les années de braise de Maawouya, mais plutôt dans le fait que le détenteur du témoignage a jusqu'à présent occupé des positions influentes dans la prise et la formulation de décision , comme c'est le cas pour l'écrasante majorité des personnes impliquées dans ces crimes, qui bénéficient de la couverture des régimes successifs et de la protection contre Ils ont successivement protection contre tout jugement.
@Ahmeddou Ould wadi'a