" Nous, signataires de la présente déclaration, réalistes et conscients de la nécessité de plus d'engagement, de plus de détermination et de plus de courage dans le combat que nous menons pour une Mauritanie juste et égalitaire dans laquelle seraient bannis à jamais l'injustice, le racisme, l'esclavage, le tribalisme et le népotisme, décidons de mettre en place FLAM/Rénovation ", lit-on dans la déclaration de l'aile dissidente.
FLAM/Rénovation affirme en outre avoir " la volonté sincère de travailler avec les acteurs politiques et sociaux sans exclusive, pour le progrès, le bien-être, la justice et la démocratie en Mauritanie".
Le courant "rénovateur" des FLAM, une des principales forces d'opposition en Mauritanie, a porté à sa présidence Mamadou Bocar Bâ, ancien président du Forum de l'opposition mauritanienne en exil (FOME).
Les nouveaux responsables des FLAM/Rénovation ont indiqué qu'ils s'occuperont dès leur prise de fonction du problème des Mauritaniens déportés au Mali et au Sénégal après les émeutes raciales de 1989.
" Pour nous, il s'agit d'une question essentielle que le Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD) ne peut, sous aucun prétexte, éluder. Une solution à ce problème est bien possible, il suffit d'avoir la volonté politique de le régler", a estimé M. Ba.
On rappelle que les FLAM, qui regroupent principalement les Négro-Mauritaniens, avaient été créées en 1983 pour s'opposer au régime de Nouakchott contre lequel elles envisageaient alors de mener la lutte armée.
Le 6è congrès du mouvement tenu en décembre dernier aux Etats-Unis n'avait pas permis de surmonter les divergences entre les tenants d'une ligne intransigeante vis-à-vis de la junte militaire mauritanienne et les partisans d'une " approche plus réaliste ".
FLAM/Rénovation affirme en outre avoir " la volonté sincère de travailler avec les acteurs politiques et sociaux sans exclusive, pour le progrès, le bien-être, la justice et la démocratie en Mauritanie".
Le courant "rénovateur" des FLAM, une des principales forces d'opposition en Mauritanie, a porté à sa présidence Mamadou Bocar Bâ, ancien président du Forum de l'opposition mauritanienne en exil (FOME).
Les nouveaux responsables des FLAM/Rénovation ont indiqué qu'ils s'occuperont dès leur prise de fonction du problème des Mauritaniens déportés au Mali et au Sénégal après les émeutes raciales de 1989.
" Pour nous, il s'agit d'une question essentielle que le Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD) ne peut, sous aucun prétexte, éluder. Une solution à ce problème est bien possible, il suffit d'avoir la volonté politique de le régler", a estimé M. Ba.
On rappelle que les FLAM, qui regroupent principalement les Négro-Mauritaniens, avaient été créées en 1983 pour s'opposer au régime de Nouakchott contre lequel elles envisageaient alors de mener la lutte armée.
Le 6è congrès du mouvement tenu en décembre dernier aux Etats-Unis n'avait pas permis de surmonter les divergences entre les tenants d'une ligne intransigeante vis-à-vis de la junte militaire mauritanienne et les partisans d'une " approche plus réaliste ".