L’ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a affirmé, en marge d’une rencontre avec la diaspora mauritanienne mercredi à Bruxelles, qu’il va « continuer à faire de la politique », a rapporté le correspondant d’Alakhbar.
Ould Abdel Aziz a également indiqué l’importance de participer aux élections municipale, régionale et législative anticipées, tout en promettant de soutenir « certaines personnes ». « En cas de vol ou de fraude [électoraux], les gens doivent les dénoncer », a-t-il dit.
L’ex-président a par ailleurs dénoncé ce qu’il a appelé « un recul de la démocratie en Mauritanie » ou « beaucoup de partis politiques ne sont pas reconnus ».
Il a estimé « qu’il n’y a plus d’opposition en Mauritanie sauf celle en complicité avec le Gouvernement ».
Sur les accusations de corruption qui pèsent sur lui, l’ex-président a dit que » l’État mauritanien n’a pas pu démontrer que j’ai détourné de biens publics. Mais, on continue à me harceler pour m’empêcher de faire de la politique ».
S’agissant du Sahel, il a exprimé ses craintes de voir les choses s’empirer avec le retrait des troupes françaises.
Mohamed Ould Abdel Aziz, qui séjourne actuellement en Europe, avait récemment rencontré la diaspora mauritanienne à Bordeaux en France.
Source : Alakhbar
Ould Abdel Aziz a également indiqué l’importance de participer aux élections municipale, régionale et législative anticipées, tout en promettant de soutenir « certaines personnes ». « En cas de vol ou de fraude [électoraux], les gens doivent les dénoncer », a-t-il dit.
L’ex-président a par ailleurs dénoncé ce qu’il a appelé « un recul de la démocratie en Mauritanie » ou « beaucoup de partis politiques ne sont pas reconnus ».
Il a estimé « qu’il n’y a plus d’opposition en Mauritanie sauf celle en complicité avec le Gouvernement ».
Sur les accusations de corruption qui pèsent sur lui, l’ex-président a dit que » l’État mauritanien n’a pas pu démontrer que j’ai détourné de biens publics. Mais, on continue à me harceler pour m’empêcher de faire de la politique ».
S’agissant du Sahel, il a exprimé ses craintes de voir les choses s’empirer avec le retrait des troupes françaises.
Mohamed Ould Abdel Aziz, qui séjourne actuellement en Europe, avait récemment rencontré la diaspora mauritanienne à Bordeaux en France.
Source : Alakhbar