L’ancien chef de l’Etat mauritanien, Maaouiya ould Sid'Ahmed Taya, renversé le 3 août 2005 et actuellement en exil au Qatar, a été cité comme étant le cerveau du complot dont la découverte avait été annoncée le 19 juin dernier à Nouakchott, a appris la PANA mardi de sources proches de l’enquête.
On rappelle que cinq personnalités proches de l’ancien président, dont le colonel Abderahmane Ould Lekwar, ancien directeur de la Marine, ont été arrêtées et placées en détention préventive pour "atteinte à l’ordre constitutionnel", dans le cadre de ce complot annoncé par les autorités de la transition mauritanienne.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l’action des différentes personnalités et groupes impliqués dans cette affaire était coordonnée par l’ancien président depuis son exil qatari, ont indiqué les mêmes sources, qui ajoutent qu'outre les personnes arrêtées, des "cellules" contrôlées par l’ancien chef de l’Etat, y compris au sein de l’armée, se trouvent toujours dans le pays.
Ces sources indiquent par ailleurs que les comploteurs présumés comptaient sur l'appui d'un mouvement militaro-politique, le Mouvement de libération de l'Azawad en l'occurrence, dans leur entreprise.
La défense des personnes incarcérées à Nouakchott juge "sans valeur" les aveux de ces dernières, considérant qu’ils ont été extorqués en violation des règles de procédure pénale.
PanaPress via cridem
On rappelle que cinq personnalités proches de l’ancien président, dont le colonel Abderahmane Ould Lekwar, ancien directeur de la Marine, ont été arrêtées et placées en détention préventive pour "atteinte à l’ordre constitutionnel", dans le cadre de ce complot annoncé par les autorités de la transition mauritanienne.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l’action des différentes personnalités et groupes impliqués dans cette affaire était coordonnée par l’ancien président depuis son exil qatari, ont indiqué les mêmes sources, qui ajoutent qu'outre les personnes arrêtées, des "cellules" contrôlées par l’ancien chef de l’Etat, y compris au sein de l’armée, se trouvent toujours dans le pays.
Ces sources indiquent par ailleurs que les comploteurs présumés comptaient sur l'appui d'un mouvement militaro-politique, le Mouvement de libération de l'Azawad en l'occurrence, dans leur entreprise.
La défense des personnes incarcérées à Nouakchott juge "sans valeur" les aveux de ces dernières, considérant qu’ils ont été extorqués en violation des règles de procédure pénale.
PanaPress via cridem